Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. De fil en aiguille, nous développons notre relation incestueuse à 4. En l’absence de Coralie, papa et moi offrons une magnifique double pénétration à maman mais ma soeur soupçonne quelque chose et m’oblige à tout lui raconter. Je découvre alors la puissance aphrodisiaque de mes récits qui mettent Coralie en transe. Elle doit voir un ami avec qui elle flirte, Victor, au bar le lendemain et m’invite à l’accompagner.
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XLIV
Quand nous poussons la porte du bar avec ma soeur, je note qu’elle marque un bref arrêt de surprise quand elle aperçoit son ami Victor, déjà assis à une table mais en charmante compagnie. Je lis la déception sur son visage bien vite effacée par un grand sourire de convenance.
- Victor je te présente mon frère que j’ai invité comme je te le disais dans mon dernier texto. Mais je vois que tu n’es pas venu seul…
- Coralie, répond Victor, je te présente Alice, ma soeur.
En une fraction de seconde je vois le visage de Coralie s’illuminer et sa joie de vivre se répandre sur notre groupe d’un coup et pour toute la soirée. Nous discutons beaucoup en vidant pas mal de verres et en grignotant quelques tapas dans une atmosphère des plus détendues. Coralie s’est faufilée à côté de Victor, ils sont collés l’un à l’autre, tandis qu’Alice s’est rapprochée de moi et cherche régulièrement mon contact avec sa jambe. Coralie est la grande animatrice de la soirée et s’amuse de me mettre mal à l’aise en évoquant notre grande proximité (nous partageons la même chambre n’est ce pas !?) ou mon goût pour raconter des histoires (depuis qu’elle est toute petite précise t’elle, mais mes histoires ont évoluées depuis le grand méchant loup !). Je guette la réaction de nos nouveaux amis mais ils ne semblent pas voir de mal à ce que raconte ma soeur. Tant mieux.
Et puis vient l’heure de rentrer et sans même me demander mon avis, Coralie invite Victor et Alice à venir finir la soirée à l’appartement. Papa et maman sont absents toute la semaine et je n’ai donc guère d’arguments à opposer à la proposition. Et puis Victor est cool et Alice tellement mignonne ! Moins de 15 minutes plus tard nous sommes tous les 4 vautrés dans les 2 canapés du salon, Coralie et moi d’un côté et Victor et Alice de l’autre.
XLV
Coralie s’est de suite mise à l’aise en arrivant, comme pour montrer l’exemple en enlevant ses chaussures et son sweat. Elle est à moitié allongé dans le canapé et a posé ses longues jambes sur mes genoux et je laisse mes mains divaguer le long de leur galbe magnifique. C’est Victor qui, le regard braqué sur mes mains qui se baladent sur les bas noirs de Coralie qui lance le défi.
- Quel genre d’histoire aimes tu raconter à ta soeur, me demande t’il.
Je lui répond de façon évasive, que ça dépend du mood de Coralie, s’il s’agit de l’endormir paisiblement ou au contraire de la réveiller ! Victor hoche la tête d’un air approbateur et je ne sais comment interpréter ce signe. Mais c’est lui qui relance.
- Tu nous en raconterais une ? J’aimerais quelque chose de vraiment engagé, fantasmagorique, rien de réaliste.
- Une histoire façon Seigneur des Anneaux ?
- Houla non, on a pas toute la nuit ! me répond il en riant. Non juste quelque chose de l’ordre du fantasme.
Victor toussote et se tourne vers Alice comme pour chercher son approbation. Mais elle garde un air impassible et cela semble lui suffire. Il reprend.
- Je peux te donner un thème non ? Par exemple, raconte nous comment ça s’est passé quand Alice et moi avons eu notre première relation sexuelle incestueuse !
Je crois que ma mâchoire s’est décrochée et pendant quelques secondes je me suis demandé ce qui arrivait. Coralie avait elle tout raconté à Victor ? Victor avait il vraiment une relation incestueuse avec sa soeur ? J’étais déboussolé mais Coralie me remet très vite sur les rails :
- Oh oui quelle bonne idée ! Vas y frangin, montre nous ce dont tu es capable ! Je suis sûre que tu sauras trouver l’inspiration… Et puis ça n’est qu’une histoire.
XLVI
« Victor et Alice sont jumeaux et ont toujours tout partagé : leur chambre, le bain (jusqu’à un certain âge) et même leurs jouets. Il y avait toujours une très grande tendresse et proximité entre eux. Victor aimait l’odeur d’Alice, particulièrement quand il coiffait ses longs cheveux châtains qui tombaient en cascade ondulée sur ses épaules et sa poitrine. Il aimait sentir son corps chaud lorsqu’ils faisaient de doux câlins quand ils se retrouvaient même après une seule journée de séparation.
Alice aimait se sentir blottie dans les bras solides de son frère et sentir ses mains dans son dos, qui parfois descendaient jusqu’au haut de ses fesses et la faisait frissonner. »
J’interromps quelques secondes mon récit pour voir s’il prend et je découvre trois paires d’yeux fixées sur moi, bouches bées. Coralie, dont j’ai toujours les jambes sous les mains, me mets un léger coup de talon pour me signifier son impatience. Je souris en découvrant l’étendu de mon pouvoir et je poursuis.
« Un jour, Victor et Alice sont invités à finir une soirée chez leurs amis, également frère et soeur. On aurait pu penser que les deux familles se mélangent et forment deux couples conventionnels mais il n’en fut rien. Victor et Alice se retrouvèrent dans le même canapé, en face de leurs amis, eux-même bien installés dans un deuxième canapé. L’alcool aidant, un curieux climat s’installe et Victor observe que Coralie s’est allongée sur son frère qui lui caresse les jambes avec une sensualité étonnante, remontant parfois bien haut sur ses cuisses sous couvert de massage délassant. Sans dire un mot, Alice et Victor se regardent et décident d’entamer un jeu silencieux d’imitation. Alice se couche à son tour dans le canapé et pose ses jambes sur les genoux de son frère. Elle est vêtue d’un jean moulant et Victor peut sans difficulté entamer un massage efficace des cuisses de sa soeur.
Coralie et son frère comprennent immédiatement le jeu que viennent de lancer leurs hôtes et décident d’embrayer. Prenant appui sur ses épaules, Coralie se cambre et enlève ses bas pour sentir les mains de son frère sur sa peau, c’est tellement meilleur ! Aussitôt son frère redouble d’énergie passant des cuisses aux mollets, assouplissant les genoux avant d’attraper un des petits pieds de Coralie pour le porter à sa bouche. Il l’embrasse délicatement de tous côtés puis vient fourrer dans sa bouche les orteils aux ongles vernissés de rouge pour les sucer délicatement et profondément. Coralie laisse échapper un soupir de plaisir et quand son frère lève les yeux vers leurs vis à vis, c’est pour constater qu’Alice a également enlever son jean et que Victor a ses orteils dans la bouche, jouant à fond le jeu du mimétisme. »
XLVII
J’arrête à nouveau mon histoire pour prendre la température de mon auditoire. Elle est manifestement montée de quelques degrés puisqu’Alice a effectivement les jambes sur les genoux de son frère qui les masse énergiquement. Coralie quant à elle a commencé à se caresser discrètement (du moins le pense t’elle) les tétons au travers de son chemisier, incapable de résister à l’excitation. Je les regarde tous les trois et je n’ai pas besoin de dire un mot pour qu’ils comprennent ce que j’attend d’eux : qu’ils obéissent au doigt et à l’oeil à mon histoire. Alice et Victor ont une pointe d’hésitation que Coralie lève instantanément en donnant l’exemple. Elle enlève ses bas et même sa robe pour se retrouver en sous-vêtements. Alice l’imite et enlève son jean et son t-shirt. Elle ne porte pas de soutient-gorge et le spectacle de ses petits seins bien fermes m’enchante. Chacun reprend vite sa place pour que le récit reprenne. Mon cerveau tourne à 200% pour savoir ce que j’allais faire de cette situation et des merveilleux petits seins d’Alice !
« Victor suce avec avidité les pieds de sa soeur qu’il goute pour la première fois. Tout deux sont aux anges et Alice ne peut retenir de petits glapissements quand ses propres mains vont de ses tétons à son entrejambe, pinçant ou frottant frénétiquement tout ce qu’elles rencontrent. Son regard trouble passe de Victor à Coralie et son frère dont les grognements de plaisir l’excitent au plus haut point. Alice regarde alors, captivée, Coralie qui ôte ses pieds de la bouche de son frère, se redresse et vient déboutonner son jean. Sans surprise, sa queue dure et tendue jaillit de son pantalon, gonflée de veines prêtes à exploser. Alors Alice semble voir au ralenti, comme dans un filme, la bouche de son amie s’entrouvrir en même temps qu’elle se penche vers le bassin de son frère pour finalement engloutir la queue avec une avidité stupéfiante. C’est Victor qui, ne perdant pas non plus une miette du somptueux spectacle, déboutonne son pantalon pour exhiber à son tour son organe massif. Sa bite est clairement hors norme, énorme, aussi bien en longueur qu’en largeur. Alice la découvre dans cet état et ne peut retenir un petit cri de surprise, ou de joie, je ne saurais dire. Comme pour mieux la mesurer, Alice commence par de grands coups de langue sur le dard de son frère qui aussitôt se met à haleter. Léchant la hampe, embrassant le bout de sa queue, elle finit par se décider à la prendre dans sa bouche. Ses lèvres ont du mal à faire le tour de la queue de son frère et elle ne parvient à enfourner que quelques centimètres. Cela semble suffire à Victor qui s’avachit sur le dossier, tête en arrière et yeux clos, et se met à couiner.
Ces cris attirent l’attention de Coralie qui abandonne la queue de son frère pour se tourner et contempler ses amis. Elle lâche un petit juron quand elle découvre la taille du pieu de Victor et ne peut s’empêcher de rejoindre sa nouvelle amie au chevet de se phénomène. Ca tombe bien car Alice commence à suffoquer et même à prendre des crampes à la mâchoire à force d’essayer d’ingurgiter l’énorme morceau de chair gonflé de sang de son frère. Coralie prend aussitôt le relais et forte de son expérience avec son propre frère, donne une toute autre dimension à la fellation. Aussitôt Victor manifeste son contentement par des jurons et des grognements qui encourage Coralie à le sucer avec toujours plus d’audace. Voilà donc à quoi ressemble cette queue qu’elle avait sentit hier soir lors du cours de danse et qui l’avait mise dans un état d’excitation indescriptible ! »
J’ai le plaisir de voir que mes trois marionnettes sont des plus dociles et surtout qu’elles semblent vivre une expérience de plaisir exceptionnelle. Curieusement je ne ressent aucune frustration, prenant énormément de plaisir à mener ce récit directif. J’estime qu’il est alors temps qu’Alice et Victor perdent leurs virginités incestueuses avec l’aide de Coralie.
XLVIII
« Victor commence à perdre manifestement le contrôle la queue entre les lèvres expertes de ma soeur.
- Coralie arrête s’il te plait, je ne vais pas tenir longtemps sinon !
Coralie s’interrompt car elle sait que son temps viendra mais que pour l’instant, la priorité est l’initiation de leurs invités au délice de la chair incestueuse. Elle se relève et prenant la main d’Alice, la relève avec elle. Puis elle la pousse doucement dans le bas du dos pour qu’elle vienne se mettre à califourchon sur les jambes de son frère. Les deux se regardent avec un désir teinté d’inquiétude. Mais Coralie est encore à côté d’eux qui les poussent et les accompagnent. Bientôt Alice pose sa vulve sur la queue de Victor et commence à la frotter doucement, fermant aussitôt les yeux. Victor garde une main sur les fesses de sa soeur pour accompagner le mouvement de frottement tandis que l’autre part explorer ses petits seins qu’il connait si bien mais qu’il touche pour la première fois avec délice.
Coralie les laisse se découvrir ainsi puis Alice tourne son regard vers elle comme pour lui donner un signal. Alors se soulevant légèrement, elle laisse Coralie attraper l’énorme pieu de son frère et de le dresser au contact de sa fente avant de se laisser retomber doucement mais lourdement sur cette queue tant désirée. Bien que son fourreau soit grand ouvert et parfaitement lubrifié, ce premier coup porté à fond lui arrache un cri de surprise et de plaisir. Victor lui-même se redresse d’un coup électrisé par la jouissance et vient nicher son visage sur les seins de sa soeur. Ses deux larges mains sont posées sur les petites fesses de sa soeur et cherche à les écarter doucement pour faciliter la pénétration. Mais après deux ou trois aller-retours, les pièces s’emboitent parfaitement et la violence de ce premier rapport total, attendu depuis si longtemps, se déchaine. Alice saute littéralement sur le canapé pour s’empaler toujours plus fort et plus profond sur la queue de Victor rendu complètement fou par le désir et le plaisir. Coralie s’est un peu éloignée à l’autre bout du canapé et se masturbe frénétiquement tant le spectacle est saisissant.
Par le miracle des bonnes ondes, les trois protagonistes vont jouir en même temps. Après un dernier va et vient, Alice s’effondre sur le pieu de son frère, exténuée et heureuse, tandis qu’elle sent de violente giclées de sperme qui se déversent au fond de ses entrailles. Tout deux restent ainsi de longues minutes tandis que Coralie retourne s’assoir à côté de son frère.
- T’es trop fort ! lui dit-elle en l’embrassant sur la joue. C’était dingue !
Alice quitte avec regret les genoux de son frère et, attrapant un mouchoir au passage, se pose face à ses hôtes les cuisses grandes ouvertes pour essuyer le sperme qui ruisselle abondamment.
- Désolé pour le spectacle ! nous lance t’elle. Je ne sais pas ce qui nous a pris mais c’était incroyable. Ca fait presque peur ce pouvoir que tu as avec tes histoires, mais merci ! Je crois que ça faisait des années qu’on attendait ça.
A côté d’elle je vois Victor qui opine du chef pour confirmer ce que dit sa soeur, qui reprend :
- Reste à savoir maintenant comment remercier notre narrateur !
Lire le chapitre 10.
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.