Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. Ce soir, maman est seule et des bruits étranges nous parviennent de sa chambre. Nous décidons d’aller voir et la trouvons se masturbant face à son ordinateur. Excités par le spectacle nous forniquons à sa porte et elle nous surprend, nous obligeant à entrer dans sa chambre et à copuler ma soeur et moi devant elle et mon père, qui est en visio sur l’ordinateur ! Au retour de mon père nous offrons à maman, et en l’absence de Coralie à son cour de danse, une superbe double pénétration. Quand Coralie rentre, excitée par un certain Victor avec qui elle a dansé toute la soirée. Elle soupçonne quelque chose et m’oblige à tout lui raconter.
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XLI
Sans même me laisser placer un mot, ma soeur me pousse brutalement sur mon lit, faisant même tomber la serviette qui entourait ma taille, me retrouvant nu comme un ver et quelque peu interloqué. Aussitôt elle se jette sur moi agenouillée et attrape ma queue pour la porter immédiatement à sa bouche et commencer à me sucer frénétiquement. Malgré le début de soirée intense avec papa et maman, j’ai déjà le dard dur et tendu prêt à en découdre. Il faut dire que Coralie est déchainée et que sa petite bouche fait des merveilles, ses lèvres chaudes et sa langue humide me procurent des sensations délicieuses qu’il me semble redécouvrir à chaque fois avec émerveillement. Je remercie le fameux Victor d’avoir mis ma soeur dans cette état et je me demande jusqu’à quel point leurs danses ont put être langoureuse pour en arriver là. Mais j’évacue bien vite ces pensées futiles tant le plaisir est en train de prendre possession de mon cerveau. Bientôt je ne pense plus qu’à la bouche de ma soeur qui coulisse avec force et douceur sur mon pieu et au plaisir qui monte inexorablement. Les mains de Coralie me malaxent habilement les testicules et un de ces index va même se perdre du côté de ma prostate, m’arrachant les premiers râles de jouissance. Je ne vais pas tenir bien longtemps à ce rythme là et de fait, je finis par gicler puissamment dans la bouche de ma soeur qui semble ne pas vouloir en perdre une goutte. Elle lâche avec regret ma queue ramollie et vient s’allonger à côté de moi, posant sa tête sur mon épaule.
- Parle moi de ce Victor, lui dis-je. Il t’a fait de l’effet je vois…
- Oh oui c’est clair, désolé si j’ai été un peu brutale mais il s’est frotté à moi tout la soirée. Tu verrais comme il est bien fait, et j’ai clairement senti qu’il était bien monté aussi ! On doit se voir demain soir au bar si ça te dit de te joindre à nous, ça peut être fun.
Vaguement jaloux je maugrée une réponse qui veut dire « peut être ». Mais Coralie reprend très vite, se levant pour se déshabiller et me lance.
- Mais je crois que c’est plutôt toi qui a quelque chose à me raconter non ?
XLII
Coralie vient reprendre, nue, sa place à mes côtés dans mon lit, posant sa tête sur mon épaule et sa jambe gauche venant se poser sur mes cuisses. J’adore ce contact avec son corps et je commence à lui caresser doucement les cheveux. Prenant la voix la plus neutre possible, je lui raconte ce qu’il s’est passé il y a à peine une heure ou deux. Je commence par une version passablement résumée mais Coralie veut des détails, beaucoup de détails, elle aime que je lui raconte tout et je sens son attention, son souffle retenu quand j’entretien le suspens ou décris l’excitation qui grandit et le plaisir qui monte. Sa petite main caresse mon torse mais bien vite, elle descend au niveau de mon sexe et entreprend de le branler, de plus en plus fort au fur et à mesure que j’avance dans mon récit. Je commence même à avoir du mal à parler clairement et je prend sur moi pour continuer le plus posément possible, voulant offrir un moment de plaisir intense à ma soeur par la seule puissance de mon récit, agrémenté de quelques caresses.
Ses petits doigts passent maintenant de ma queue à sa fente, ne sachant plus à quel saint se vouer. Je me cantonne volontairement dans de chaste caresses sur son dos ou sa croupe, la laissant seul avec son imagination et la gestion de ses désirs. Je commence à prendre goût au pouvoir de mon récit et j’avoue même ajouter quelques détails inventés pour exciter toujours plus l’imagination de ma soeur. Et je sens que ça marche, ses mouvements deviennent compulsifs et elle se met à commenter mon histoire pour en souligner les aspects les plus torrides. Sa main maintenant ne quitte plus sa vulve et son clitoris qu’elle frotte avec énergie, envoyant ses doigts parfois élargir sa grotte ruisselante de lubrification.
Quand j’arrive au sommet de mon histoire, au moment où papa présente sa queue à l’entrée du petit trou de maman pour la double pénétration, je laisse volontairement un temps de silence qui ne me parait pas si long mais qui semble percuter Coralie de pleine face. Elle se met alors à rugir, sans égard pour nos parents qui doivent dormir désormais, du moins je l’espère, elle se met donc à rugir en se redressant d’un coup sur ses genoux et en me dominant.
- Et maintenant !?! Tu vas me dire ce que vous avez fait, si vous avez jouis ??!! Dis moi tout je t’en supplie. Papa a t’il éjaculer dans les fesses de maman ? Et toi ?
Tout en parlant, elle vient se placer à califourchon sur moi et empoigne ma queue, s’empalant sans aucune retenu. Son sexe est un gouffre dans lequel s’engouffre sans difficulté mon pieu et aussitôt, Coralie se met à sauter et se trémousser, les mains en appuie sur mon torse. Je suis aussi surpris qu’enchanté par la tournure que prennent les choses et je pose mes mains sur les hanches de ma soeur pour accompagner son mouvement et l’inciter à s’enfiler bien à fond sur ma queue. Je sens son pubis contre le mien et je suis aux anges. Mais Coralie me rappelle à l’ordre.
- Alors raconte, ne t’arrête pas ! me dit elle en haletant bruyamment.
XLIII
Alors je lui donne tous les détails de nos deux pieux qui liment les fourreaux chauds et étroits de maman, qui trouvent le rythme parfait qui l’envoie au 7ème ciel et même au-delà. Je lui raconte nos éjaculations parfaitement synchronisées avec l’orgasme de maman et la magie incroyable de ce moment. J’adapte mon discours à l’orgasme que je sens monter chez ma soeur et les synchronise pour qu’elle vive à posteriori cet instant de grâce avec nous. Je la sens qui commence à trembler, ses yeux se ferment ou se révulsent, Coralie atteint manifestement un orgasme exceptionnel par les puissances combinées de nos sexes qui communient et de mon récit. Du liquide commence à jaillir de sa fente, plus clair et plus abondant que la cyprine, et s’écoule, tout chaud sur mon ventre. Coralie semble à peine s’en rendre compte et mon instinct me fait tendre la main vers son sexe et poser mon pouce sur son clitoris, gonflé comme jamais. Coralie se met aussitôt à grogner de plaisir et à pousser de petits glapissements, tandis que le jet de liquide s’intensifie d’un coup et vient inonder mon ventre. Comme d’habitude, la voir jouir me fait éjaculer en elle, longuement, bien que la fatigue commence à se faire sentir de ce côté là… Je me tais enfin et me laisse aller à mon plaisir. Coralie se repose sur ses genoux et tente de me garder en elle encore quelques secondes. Elle pose sa tête sur ma poitrine et je caresse son dos légèrement collant de transpiration tandis que nos ventres baignent dans son liquide de jouissance avec délectation.
- Merci, c’était incroyable ! me dit elle. Tu racontes super bien les histoires, j’ai cru perdre la tête ! Je crois n’avoir jamais connu un tel plaisir, c’est fou. Tu sais que tu devrais les écrire pour les partager au plus grand nombre ? Je connais un site au top pour ça, j’y vais parfois, il s’appelle xstory. Si tu veux on te trouve ensemble un pseudo pour les publier ! ajoute t’elle en riant.
J’avoue que l’idée m’a plu.
Lire la suite – chapitre 9
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.