Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. Ce soir, maman est seule et des bruits étranges nous parviennent de sa chambre. Nous décidons d’aller voir et la trouvons se masturbant face à son ordinateur. Excités par le spectacle nous forniquons à sa porte et elle nous surprend, nous obligeant à entrer dans sa chambre et à copuler ma soeur et moi devant elle et mon père, qui est en visio sur l’ordinateur ! Nous finissons à 3 avec une sublime sodomie de maman. Mon père se délecte du spectacle et nous déclare sa hâte de rentrer.
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XXXV
J’avoue que quand papa est rentré nous l’attendions tous les 3 avec un peu d’appréhension. Mais à notre grande surprise, et déception avouons-le, il a fait comme si de rien n’était. Après le repas, sans surprise, papa et maman sont vite allés se coucher et nous ont offert un spectacle sonore de première qualité. Coralie et moi en avons longuement profité sur le lit de ma soeur. Même pas besoin de coller l’oreille au mur, les vannes vocales étaient grandes ouvertes, sans doute libérées par l’évolution récente de la situation. Nous avons vécu ce moment de retrouvaille très tendrement de notre côté, laissant l’excitation monter doucement en nous embrassant langoureusement, en nous prodiguant mille caresses tendres et attentives, ne glissant vers le jeu sexuel que par petites touches. Inconsciemment, un jeu s’était mis en place entre nous dans ce genre de situations, laissant l’autre prendre l’initiative de progresser vers le sexe en résistant à l’envie, pour se qui me concerne, de glisser une main vers ses petits seins ou vers sa fente. C’est à qui craquerait le dernier à aller jusqu’aux attouchements et à ce petit jeu je dois dire que je n’étais pas trop mauvais. J’étais bien souvent le premier à me faire sucer et à jouir dans la bouche de ma soeur, même si dans ma tête j’étais plutôt dans celle de ma mère, voire dans son petit cul étroit.
Le soir de leurs retrouvailles, mes parents nous ont offert un show d’une telle durée que j’eu le temps de jouir 3 fois et de porter autant de fois ma soeur à l’orgasme. Ce fut finalement une très belle soirée, même si nous ne l’avions pas imaginée ainsi. Mais je suis persuadé que malgré la cloison qui nous séparait, mes parents avaient également entendu nos grognements de plaisir et je paris que cela avait dû les stimuler également. Toujours est il que les jours qui ont suivi, mes parents ne firent aucune allusion à ce qui s’était passé il y a quelques jours à peine, alors que mon père était en visio à l’autre bout du pays. Pourtant je sentais bien que quelque chose se préparait et quand je m’en ouvrais à Coralie, elle m’avoua qu’elle ressentait la même chose. Cette situation d’incertitude était à la fois très frustrante mais aussi tellement excitante !
XXXVI
Le suspens a pris fin le mardi soir suivant, soirée que Coralie consacrait systématiquement à son cours de danse puis à une sortie restaurant/bar avec ses copines danseuses. Nous n’étions donc que tous les trois à la maison. C’est papa qui a lancé le sujet tandis que nous débarrassions la table du diner en m’apostrophant :
- Tu sais que tu es un sacré petit veinard ? me dit-il
Je le regardais interrogateur et il poursuit.
- En 24 ans de vie commune, ta mère en m’a jamais offert son petit trou comme elle l’a fait pour toi la semaine dernière. Elle me l’a toujours refusé alors tu imagines ma surprise quand je l’ai vu te l’offrir comme une chienne et toi l’enfiler avec autant d’aisance. Je t’avoue que je l’ai presque mal vécu.
Je ne sais que dire et je bafouille quelques mots d’excuse et de justification que mon père n’écoute même pas. Je crois bien que je rougis aussi, comme un gamin, et ça c’est un peu la honte quand même… Mon père en relève pas et continue de parler.
- Mais je ne t’en veux pas bien sûr. D’abord ta mère fait ce qu’elle veut et ensuite, j’ai largement pu en profiter depuis mon retour. Mais je crois que vous vous en êtes bien rendu compte l’autre soir ta soeur et toi ! ajoute t’il avec un clin d’oeil et un grand sourire qui a le don de me détendre. Serais tu disposé ce soir à nous rejoindre ta mère et moi dans notre chambre pour tenter de nouvelles expériences ?
XXXVII
Je n’en reviens pas. Et Coralie ? Mais je comprend qu’elle n’est pas dans le plan et bien sûr j’acquiesce immédiatement. Il faut dire que depuis que j’ai gouté au corps voluptueux de maman je ne pense qu’à lui. Je ne pense qu’à ses seins lourds et volumineux, à ses belles hanches et à ses superbes fesses rebondies entre lesquelles j’ai tant aimé planter ma queue. Je ne rêve que de recommencer. Et c’est d’ailleurs maman qui, me prenant par la main, m’entraine vers leur chambre. Par jeu, elle me débarrasse de mes vêtements en chemin avec une habileté déconcertante, si bien que j’arrive totalement nu à proximité de leur lit. Papa est dans la salle de bain, prenant une douche, et maman me pousse et me fait tomber allonger sur le dos dans son lit. Puis c’est son tour de se déshabiller et je ne perd pas une miette du striptease qu’elle m’offre. Quand ses seins jaillissent de son soutient-gorge, je ne peux retenir un petit cri de joie qui la fait sourire. Je remarque également qu’elle s’est intégralement épilé le pubis et que cela lui donne un air juvénile qui me rappelle celui de Coralie et m’excite en diable.
Aussitôt, maman vient me chevaucher au niveau de l’abdomen, enlève les oreillers que j’ai sous la tête et me fait glisser légèrement vers le bas. Puis posée sur ses genoux, remontant vers mon visage, elle vient poser sa chatte directement sur ma bouche.
- Bouffe moi le minou s’il te plait. Me dit elle déjà haletante. Ce soir c’est ma fête alors applique toi.
Du coin de l’oeil je vois papa qui entre dans la chambre parfaitement propre, et nu ! Mais je place très vite mes mains sous les fesses de maman et je commence à envoyer ma langue dans tous les recoins de son orifice. Aussitôt elle commence à gémir et je vois mon père qui vient se placer à côté d’elle pour l’embrasser et surtout peloter sa généreuse poitrine. Il mordille ses lèvres et pince ses tétons ce qui, combiné à mes coups de langue, a le don de la rendre folle de désir et de plaisir.
XXXVIII
Je remarque que la main droite de papa est déjà à l’oeuvre pour assouplir l’entrée de son petit trou, juste au dessus de mon visage. Il y a pris goût le coquin ! Je reste concentrer sur le plaisir de ma mère mais ma langue commence à fatiguer à force de se tendre pour pénétrer autant que possible dans le fourreau humide de ma mère. Son instinct maternelle doit le lui dire car je sens la pression sur ma bouche diminuer, son corps partir lentement vers l’arrière et sa main venir enserrer ma queue dure comme du métal. J’entend mon père qui lui dit qu’elle peut y aller, que c’est le moment. Alors, sans que je n’ai besoin de bouger, maman descend son bassin au niveau de mon pieu, se soulève légèrement et vient s’empaler sans ménagement. Je sens encore une petite résistance dans son conduit chaud mais la sensation de retrouver ma queue installée au fond de ses entrailles est délicieuse et je ne peux retenir un bruyant grognement de plaisir auquel le couinement puissant de ma mère fait écho.
Les mains bien en appui sur mon torse musclé, maman commence des mouvements complexes de haut en bas et d’avant en arrière pour que, sans effort, je lime sa chatte avec vigueur. Progressivement je la vois qui se penche vers moi tandis que mon père reste sagement à ses côtés, la main toujours active du côté de son arrière-train. Sa poitrine pend maintenant généreusement devant mon visage et ma bouche parcours les quelques centimètres qui la séparent des tétons que je commence à sucer avidement. L’effet est violent sur maman qui libère une de ses mains pour attraper un sein et le pousser dans ma bouche, comme pour être sûre que je vais bien la téter.
- Vas y maintenant ! lance t’elle à papa.
XXXIX
Je vois alors papa qui enjambe mes cuisses et vient se placer derrière maman. Bon sang ! me dis je, comment n’y ai-je pas pensé avant. C’est l’heure de la double pénétration ! D’ailleurs maman ralentit fortement les mouvements de ses hanches et pour garder le rythme, c’est moi qui donne de légers coups de reins pour continuer à poncer sa grotte. Je sens la pression qu’exerce mon père sur le fondement de maman par la pression de ses mains sur mon torse qui augmente. J’observe son beau visage aux yeux clos et à la bouche entrouverte, très concentré sur le double plaisir qui s’apprête à envahir ses orifices. Enfin papa semble avoir franchit le portail et je suis surpris de sentir sa queue contre la mienne tant la paroi de maman est fine et, peut être aussi, par la belle taille de nos mandrins. Je reprend mes mouvements de bas en haut avec un peu plus de vigueur et je sens maman qui commence à trembler de jouissance sur ses genoux.
Papa a maintenant bien ouvert la voie du fondement maternelle et commence à avoir des mouvements amples et réguliers qui viennent frotter délicieusement ma queue. Nous jouons ainsi à synchroniser nos mouvements pour maximiser notre plaisir mais nous constatons bien vite que celui de maman réclame un mouvement alternatif de nos deux pistons. Nous lui donnons facilement satisfaction et entamons une série de coups de boutoirs crescendo. Papa est maintenant bien en place et a redressé d’autorité sa femme pour dévorer sa bouche et malaxer ses seins grâce à sa position favorable. Je suis subjugué par le spectacle de ses mains sur la poitrine de maman et par la presque violence de ses empoignades. Mais maman a l’air d’aimer ça puisqu’elle a posé les siennes sur celles de papa pour l’inciter à continuer.
Je les entends râler de plaisir tout les deux et j’ai presque l’impression de les espionner depuis le lit de ma soeur et d’être entré par effraction. C’est pourtant bien ma queue qui élargit le sexe maternel, ruisselant de cyprine et dont je vois les grandes lèvres se déplier et se replier à chacun des mouvements de piston. La voix de maman monte dans les aigus et ses cris de jouissance extrême produisent le même effet sur papa et moi puisque nous éjaculons ensemble dans les orifices chauffées à blanc de maman. Je sens le pieu de mon père qui se contracte pour expulser de longues giclées de sperme tandis que je me vide au fond du vagin de maman. Très vite le liquide blanchâtre se met couler de la cavité de ma mère le long de ma queue et sur mon ventre. Elle s’effondre sur moi suivi par mon père qui semble à bout de souffle.
XL
Quand je sors de la douche, après papa et maman à qui j’ai naturellement laissé la priorité et qui ont encore pris un temps anormalement long, je croise Coralie dans le couloir qui rentre de sa soirée. Elle me regarde interrogative tant il est inhabituel que je prenne une douche à cette heure tardive. Je lui souris sans doute un peu bêtement car elle me dit :
- Viens par ici toi j’ai l’impression que tu as des choses à me raconter ! Et je veux tout savoir hein ?! J’ai dansé toute la soirée avec Victor et il m’a bien chauffée…
C’est qui ce Victor ? Me demande-je en suivant ma soeur qui m’a attrapé par le poignet. Je me sens épuisé mais ma queue, déjà en plein redressement, me dit le contraire…
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Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.