Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. Ce soir, maman est seule et des bruits étranges nous parviennent de sa chambre. Nous décidons d’aller voir et la trouvons se masturbant face à son ordinateur. Excités par le spectacle nous forniquons à sa porte et elle nous surprend, nous obligeant à entrer dans sa chambre et à copuler ma soeur et moi devant elle et mon père, qui est en visio sur l’ordinateur !
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XXVIII
Maman se rapproche de moi et me repousse doucement, m’obligeant à m’assoir sur le lit où Coralie se prélasse désormais. Je suis face à l’ordinateur sur l’écran duquel je vois mon père qui se tortille. Je crois deviner sa frustration et je compatit en lui adressant un petit clin d’oeil. Assis, je suis à la hauteur des seins de maman et je m’en empare sans hésiter. Je repense aux nombreuses fois où je les ai contemplés sans pouvoir les toucher et je laisse libre cours à mes envies.
Ils sont lourds et chauds, et tellement doux ! J’ai envie de les téter et les approche de ma bouche. Mes pouces excitent ses tétons avant que mes lèvres ne s’emparent de celui de droite. J’entend maman respirer bruyamment et rapidement. Son halètement s’amplifie tandis que mes mouvements de succions s’intensifie et que mes mains massent les mamelles maternelles. J’ai la sensation d’un tel accomplissement ! Tantôt je mordille le téton tantôt je tente d’absorber complètement le sein, produisant des bruits étranges mais je n’en ai que faire. D’ailleurs, un rapide coup d’oeil à l’écran me montre que mon père a l’air d’apprécier le spectacle de sa femme en chaleur sous les coups de langue de son fils.
Je me calme un peu passant d’un seul à l’autre, mes lèvres les embrassant tour à tour. J’en profite pour faire glisser mes mains sur le fessier charnu de maman que j’empoigne à pleines mains. Il est bien plus imposant que celui de Coralie mais j’aime cette générosité douce et élastique. Après avoir pris la mesure de mon nouveau terrain de jeu, je laisse ma main droite filer entre les cuisses et du tranchant de l’index, écarter les lèvres du sexe maternel. Maman soupire bruyamment en écartant un peu les jambes pour me faciliter la tache. Ma main gauche vient se positionner sur la toison pubienne et part à son tour en mission exploratoire du côté de son clitoris. Maman est prise de soubresauts et se met à couiner bruyamment, ses mains poses dans mes cheveux pour plaquer ma bouche sur son téton. Mes lèvres et mes deux mains s’affairent ardemment stimulées par les résultats obtenus. Déjà deux doigts de ma main gauche viennent se positionner à la verticale de la grotte humide de maman et entreprennent de la pénétrer. Ses jambes frissonnent sous l’effet du plaisir et je l’entend qui me murmure :
- Oh oui vas-y enfile moi je t’en supplie ! Plus fort !
XXIX
Je joins un troisième doigts aux deux premiers et j’entame de vigoureux mouvements de pénétration. La cyprine ruisselle sur ma main que je regarde travailler fasciné, écartelant le vagin maternelle en un trou béant. Je réalise alors que ma main droite à commencé à travailler autour de l’anus de ma mère et que déjà le majeur tente de le pénétrer. Maman ne semble pas contrarier bien au contraire et d’un simple coup d’oeil, je vois sur l’écran mon père qui de nouveau se branle. Sa queue doit être douloureuse à force mais je l’entend et il me semble qu’il proteste sur le fait que maman s’est toujours refusée à lui pour la sodomie alors que là elle ressemblait à une chatte en chaleur tendant son cul effrontément.
Curieusement, cela me stimule et c’est avec délicatesse que j’entreprend de poursuivre la stimulation et l’échauffement de l’anus de maman. J’alterne les lents massages circulaires autour du petit trou serré avec de lentes pénétrations à un doigt, puis deux lorsque je constate que le sphincter se détend. Je parviens même à pénétrer suffisamment pour que les doigts de mes deux mains parviennent à se sentir au travers de la fine membrane qui sépare les deux conduits. Notre mère ne parvient manifestement plus à se contrôler et semble proche de convulser de bonheur tout en poussant des rugissements de plaisir. Cela intrigue Coralie qui, ayant repris ses esprits, décide de s’intéresser de nouveau à la situation.
XXX
Elle passe derrière moi et découvre mes mains bien occupées avec les orifices maternels. Elle voit l’écran de l’ordinateur à peine à 2 ou 3 mètres devant nous et constate l’activité frénétique de papa. Elle se lève pour aller chercher l’ordinateur et s’adressant à son géniteur, lui propose une « visite guidée » (c’est son expression) du spectacle. Elle se transforme alors en guide-cameraman et montre à papa en approchant l’ordinateur au plus près de l’action ce qu’elle considère comme le best-of de cette séance de baise mère-fils.
- Regarde comme il la tète, on dirait un bébé ! Et ses seins qui pointent comme ceux d’une jouvencelle devant son premier porno ! Et ses mains t’as vu ça ? Vous auriez dû lui faire faire du piano au frangin il a l’air de savoir s’en servir !
Et Coralie d’approcher à 20 ou 30 cm du cul de maman son ordinateur de voyeuse. Mais le jeu finit par la lasser et elle décide de s’installer à côté de nous dans le lit, adossée aux oreillers. Plaçant le portable sur ses genoux elle demande :
- Dis moi papounet, qu’est ce qui te ferait plaisir ? Ca te dirait que je me masturbe pour toi ?
Je me tourne vers elle de surprise, lâchant de se fait les seins de maman qui proteste mollement. Je n’en reviens pas. Coralie place l’ordinateur entre ses genoux, ajuste l’écran vers le bas et commence à se frotter le clitoris avec l’index, les jambes bien écartées pour offrir la meilleure vue à papa. Maman l’aperçoit à son tour et s’arrache à mes griffes pour venir se positionner à côté de Coralie, sur sa droite, la tête quasiment sur son épaule et me tournant carrément le dos. Ca alors, et moi ?!
XXXI
C’est maman qui prend de nouveau l’initiative et qui vient pousser doucement la main de Coralie pour la remplacer. Sa main droite experte entreprend immédiatement d’explorer le sexe de sa fille utilisant son infinie expérience pour lui donner un maximum de plaisir. Coralie se laisse aller dans un soupire profond et utilise ses mains désormais libre pour se caresser les seins. Aussitôt ses petits gémissements reprennent au grand plaisir de mon père dont le sexe redonne des signes de vigueur. Comment pourrait il en être autrement face au spectacle cru de sa femme donnant du plaisir à sa fille adorée.
Je n’ai pas envie de perturber ce très beau moment et je viens me lover en chien de fusil derrière maman, plaquant ma queue et mon bassin contre ses fesses. Je me frotte quelques instants avant de prendre mon dard à pleine main et de l’orienter vers sa vulve. Maman tourne la tête légèrement vers moi et me souris en guise d’encouragement. Je pousse vers l’avant et mon pieu pénètre en un doux glissement le vagin maternel si accueillant. J’entame aussitôt des va-et-viens qui arrache enfin une réaction à ma mère. Elle se met à haleter comme si elle venait de courir un 100m et ses mouvements de main sur la vulve de ma soeur deviennent quelque peu désordonnés, quoique toujours aussi efficaces.
XXXII
Enfin je te pénètre ! pense je alors que mon pieu besogne vigoureusement la chatte de ma mère. Après toutes ces années à fantasmer en te mettant ! Je regarde ma queue qui entre et sort des magnifiques fesses de maman, légèrement tâchée du blanc de ses sécrétions. Je prend plaisir à la sortir complètement, à la prendre en main et à repénétrer brutalement les fesses de ma mère qui se tendent vers moi sous l’effet de la frustration. Et je plonge mon dard jusqu’au plus profond de ses entrailles, lui arrachant à chaque coup de boutoir un cri de surprise et un rugissement de plaisir. Je défouraille longuement au fond de son sexe, allant jusqu’à soulever son bassin par la seule puissance de la poussée de ma queue.
Maman ne se contrôle plus et ne parvient pas à continuer à donner du plaisir à ma soeur. Coralie ne semble pas contrariée et jouit du spectacle de sa mère abandonnée à la jouissance. Elle glisse sa main vers le pubis maternel et vient frotter son clitoris avec ses petits doigts. Je les sens qui parfois viennent caresser ma verge et c’est terriblement excitant. Coralie profite d’une sortie de ma queue pour la remplacer avec ses doigts dans le sexe de maman qui semble approuve la manoeuvre à grands cris de plaisir. Je suis un peu déstabilisé avec la queue dure et trempée dans la main et je me sens ridicule et frustré.
XXXIII
Maman semble lire dans mes pensées et de la main droite elle attrape ma queue et la dirige vers son petit trou. Il n’en fallait pas plus pour me remettre sur les bons rails ! Attrapant ma queue fermement, je pose mon gland sur le petit renflement de son anus et tente une légère poussée. Bien sûr la résistance est bien plus grande que dans son sexe mais mon travail préparatoire a porté ses fruits et les premiers centimètres de mon pieu pénètrent la porte étroite du sphincter. Le plus dur est fait et très vite ma queue est au chaud dans le couloir étroit de l’anus de maman. La sensation est délicieuse et je constate que maman reste silencieuse face à la vague de plaisir intense qui monte dans ses entrailles.
C’est très délicatement que je fais les premiers aller-retour et je sens le fourreau de maman s’assouplir et s’élargir doucement. Je sens les doigts de Coralie au travers de la fine paroi qui sépare les deux cavités et j’ai même l’impression que ma soeur essaye de jouer avec ma queue à ce moment là avec son pouce. La sensation est totalement folle, mon bas-ventre fourmille de plaisir et mes mains passent des seins lourds de ma mère aux petits seins de ma soeur sans parvenir à choisir ! Bien vite, trop vite, j’éclate au fond de maman en longues giclées de sperme qui se déversent au fond de son anus. Je m’effondre épuisé tandis que j’entend maman et Coralie qui reprennent elles aussi leurs souffles.
XXXIV
C’est la voix étonnamment forte de papa dans le calme retrouvé qui nous sort de notre torpeur.
- Hé merci pour le spectacle les chéris ! J’ai vraiment hâte de rentrer maintenant, j’ai quelques idées pour vous !
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.