Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. Ce soir, maman est seule et des bruits étranges nous parviennent de sa chambre. Nous décidons d’aller voir et la trouvons se masturbant face à son ordinateur. Excités par le spectacle nous forniquons à sa porte et elle nous surprend !
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XX
Aussitôt je me retire de Coralie, la queue pendante penaude. Coralie proteste, ouvre les yeux puis les écarquille. Nous sommes bouches bées face à maman, ne sachant comment réagir. C’est donc elle qui s’en charge et sans dire un mot, prend le poignet de Coralie et la tire dans sa chambre, l’asseyant sur le bord de son lit. Je les suis sans réfléchir, tandis que maman fait pivoter son ordinateur vers nous. Nous y découvrons mon père manifestement nu bien que nous ne voyons que le haut de son corps. Il arbore le même sourire sarcastique que maman et ne semble guère surpris.
- Enfin pris en flagrant délit ! s’exclame maman avec un petit rire.
Ainsi ils savaient tout ou presque. Cela ne me surprenait pas vraiment tant il est difficile de rester discret dans ces situations… Je décide d’affronter la situation avec dignité et je constate que Coralie a abandonné sa mine contrite et regarde maintenant l’écran avec curiosité. Elle ne cherche pas à cacher ses petits seins qui, je le devine, sont l’objet de toute l’attention de mon père. Sa voix résonne dans les hauts-parleurs du laptop de ma mère.
- Alors bande de petits vicieux, vous pensiez pouvoir continuer comme ça longtemps ? nous dit il de sa belle voix posée. Puis s’adressant directement à moi il ajoute : tu es l’homme de la maison en mon absence et je vais donc te demander de t’occuper des femmes du foyer. Tu te sens de taille ? me demande t’il sur un léger air de défi qui je l’avoue me pique à vif. Sans réfléchir ni même en mesurer les conséquences, je répond d’un ton bravache :
- Bien sûr ! J’ai pour moi la vigueur de la jeunesse !
XXI
Papa sourit puis fait un signe de tête destiné à ma mère. Il se recule en se tassant dans les coussins de son lit d’hôtel, se préparant manifestement pour le spectacle. En posant son ordinateur entre ses jambes, nous découvrons sa queue qui, bien qu’au repos, semble imposante. Un spectacle qui n’échappe pas à Coralie et qui a le don d’aiguillonner ma jalousie.
Maman pose des coussins sur sa tête de lit et s’installe avec Coralie, côte à côte, sur le lit. Dans le mouvement et avec une grande douceur, elle enlève le t-shirt et la culotte de Coralie qu’elle me lance, provocatrice. Elles sont toutes les deux assises, toutes nues, les jambes droites et légèrement écartées. Maman me tend l’écran d’ordinateur et me demande de le placer tout au bout de leur lit king-size, face à elles, pour que mon père les voient toutes les deux. Je m’applique à choisir le meilleur angle, aidé en cela par les conseils de mon père. Il choisit un angle du lit plutôt que le centre dans la perspective de ce qu’il sait qui va arriver. Maman me donne alors la dernière consigne.
- Enlève moi ce caleçon et vient nous rejoindre ici ! dit elle en pointant l’espace entre leurs jambes que toutes deux reserrent légèrement.
XXII
Je me faufile à 4 pattes sur le lit et vient me placer face à leur 2 vulves qui semblent me regarder. Je ne sais trop que faire et j’attend les instructions qui ne tardent pas.
- Fait nous jouir toutes les deux en même temps, nous avons été interrompues l’une et l’autre je te rappelle !
Dans le même temps maman écarte les cuisses, aussitôt imitée par Coralie qui ne veut manifestement pas être en reste. Je me rapproche de leurs bassins, bien posé sur les genoux et je temps ma main gauche vers le sexe de Coralie que je connais déjà bien. Je pose directement la main à plat sur sa chatte, le majeur posé sur son clitoris et je commence de vigoureux mouvements circulaires. Ma main droite est posée sur la cuisse de maman et se rapproche timidement de sa toison. Sans doute impatiente, et comprenant ma timidité, c’est elle qui prend ma main et vient la poser sur son pubis.
Je m’y sens tout de suite très bien et je décide de dupliquer les mouvements de mes deux mains pour ne pas avoir à trop réfléchir. La vulve de maman est un peu plus proéminente mais le massage à plat de son clitoris fonctionne aussi bien qu’avec ma soeur. Toutes deux se mettent immédiatement à geindre, écartant leurs cuisses au maximum qui se mêlent et malaxant leurs seins. Leurs réactions sont étonnamment similaires mais est ce bien surprenant ? Coralie vient placer sa main sur la mienne et la dirige doucement vers son conduit humide. Alors mes deux mains viennent placer des doigts entre leurs grandes lèvres et commencent à les pénétrer.
Je peux d’emblée mettre l’index et le majeur dans leurs deux vagins. Maman pousse un cri de plaisir dont la puissance me fait presque sursauter tant nous sommes habitués à la contrainte de discrétion. Mais maintenant les vannes peuvent s’ouvrir en grand et maman comme Coralie se mettent à jouir bruyamment de concert. Tellement heureux du résultat, j’accélère le mouvement et vient même ajouter un 3eme doigts à ma double pénétration digitale. Mes deux mains sont bientôt trempées et les cris des deux femmes si excitants que ma queue est presque douloureuse de tension.
De ma gauche je perçois enfin la voix lointaine de mon père qui jure comme un charretier devant la scène à laquelle il assiste à distance. Ses yeux sont exorbités et il se masturbe avec frénésie. Je vois sa main droite qui astique violemment son manche tandis que la gauche git le long de son corps, tenant ce qui ressemble à un mouchoir sans doute en prévision de l’éjaculation massive à venir. Je l’entend prononcer des Nom de Dieu ! en série avant un râle qui accompagne les jets de sperme qui giclent de sa bite. Je suis fasciné par se spectacle ce qui provoque un sérieux ralentissement des mouvements masturbatoires que je produis. Je me tourne vers Coralie et ma mère qui ne protestent pas. Elles ont également les yeux rivés sur l’écran d’ordinateur et semble médusées par le liquide séminal qui gicle abondamment de la queue paternelle.
XXIII
Je continue mollement à les doigter puis je m’arrête sentant que nous étions arriver à une étape. Ma mère se penche par dessus Coralie et attrape son ordinateur.
- Tu as goûté le spectacle j’ai l’impression non ? dit elle avec un grand sourire. J’espère que c’était aussi bon pour toi que ça l’a été pour nous !
- Absolument, vous avez été fantastiques ! lui répond il. J’ai hâte de voir la suite. Qu’est ce que tu proposes ?
- J’ai besoin de souffler un peu, qu’est ce que tu dirais de laisser la main aux jeunes pour la prochaine étape ? D’autant plus qu’il doit y en avoir un de frustré ! ajoute t’elle en me regardant.
Maman se lève du lit et s’installe dans un fauteuil posé dans le coin de leur chambre et destiné habituellement au chaussage d’escarpins ou à se débarrasser des vêtement du jour. Toujours nue, elle s’installe confortablement au fond du fauteuil en velours marrons et pose l’ordinateur sur un des accoudoirs, la caméra et l’écran pointé vers le lit. C’est manifestement à nous de jouer et je vois dans le regard de Coralie qu’elle l’a également compris. Alors elle se rapproche de moi et m’indique de m’allonger au bord du lit, du côté du fauteuil pour que papa et maman aient la meilleure vue.
XXIV
Je m’étend sagement et aussitôt la petite main de ma soeur vient s’emparer de mon dard. J’ai le temps de voir le regard fixe de maman sur ma queue et sa bouche entrouverte de désir contenu avant de sombrer moi-même dans le plaisir. Les petits doigts de Coralie ont le don de me rendre dingue et dès lors qu’elle commence à me branler, je souhaite que cela ne s’arrête jamais. D’abord en petits mouvements, son pouce massant mon gland, je sens le plaisir qui prend naissance au plus profond de mes tripes et qui commence à enfler. Ma soeur semble décidée à prendre son temps et m’astique délicatement à deux main, l’une branlant mon dard doucement et l’autre jouant de la paume sur mon gland hyper-sensible, avide de sensations.
Je me tortille d’excitation et Coralie comprend qu’il ne faut pas trop jouer avec mes nerfs. J’entend la voix de papa qui sort des hauts-parleurs de l’ordinateur sans bien comprendre ce qu’il dit. C’est maman qui se fait son porte-voix et s’adressant à ma soeur, lui dit :
- Ton père souhaiterait que tu suces ton frère maintenant, avant qu’il n’explose !
Comme téléguidée, Coralie s’exécute immédiatement et son visage plonge vers ma queue qu’elle engloutie avidement. Aussitôt, je vois ses lèvres qui coulissent vigoureusement le long de mon pieu, tout heureux d’avoir trouvé une place au chaud. Comme d’habitude, je me demande comment ma soeur avec sa petite bouche fait pour prendre entièrement ma bite dans sa cavité buccale mais comme à chaque fois que je sens mon gland déformer sa gorge et sa langue en appui sur ma queue, le plaisir est extraordinaire. Coralie s’affaire ainsi pendant un temps qui me parait à la fois interminable et très court mais je sens l’éjaculation qui commence à monter dangereusement. Il est beaucoup trop tôt pour décharger et nul doute que nos deux spectateurs seraient très déçus. De la main droite j’attrape les cheveux de ma soeur et la tire doucement pour lui signifier d’arrêter avant qu’il ne soit trop tard.
XXV
Au comble de l’excitation je me redresse tandis que Coralie roule sur le côté en s’essuyant la bouche. Je jette un oeil du côté du fauteuil où maman se doigte vigoureusement, manifestement proche de l’orgasme. Sur l’écran je distingue papa avec sa queue à la main, la caressant mi-molle, un mouchoir souillé à son côté.
- Ne vous arrêtez pas ! nous supplie maman dont les trois doigts continuent de défoncer sa vulve.
Je me tourne vers Coralie et l’attrapant sous les fesses et les épaules, je la déplace couchée à la place que j’occupais quelques secondes plus tôt. Je me laisse alors glisser entre ses jambes et posant mes 2 mains sur ses 2 cuisses, je les écarte avec autorité. Mais ma soeur ne résiste guère et je me retrouve bien vite avec les lèvres collées à son sexe, fouillant avec ma langue sa cavité ruisselante d’humidité. Coralie et maman commencent à geindre de concert et ces vocalises en duo m’excitent au plus haut point. Je veux maintenant manger le sexe de ma soeur et même ma soeur toute entière si je le pouvais tant son corps me rend dingue. Mes mains glissent de ses cuisses à ses petites fesses que j’écarte pour mieux pouvoir fouiller sa fente avec ma langue. Le petit trou de son anus m’apparait même et je ne peux résister à l’envie de l’explorer également. Ma langue s’y glisse doucement, provoquant un léger soubresaut de surprise de Coralie mais qui bien vite me signifie sa satisfaction en posant sa main sur mes cheveux et en pressant sur ma tête.
Je jette un regard oblique sur l’écran, je vois que le pieu paternel a repris de la vigueur et que papa l’astique de nouveau avec ferveur, les yeux exorbités manifestement rivés sur l’écran. Je crois qu’il est temps de passer à l’étape suivante qu’il doit attendre avec un mélange d’impatience et d’extrême excitation.
XXVI
Alors ma bouche quitte le sexe de ma soeur et par de légers baisers, entame une remontée vers son beau visage. Rampant sur son corps je pose mes lèvres sur son ventre, puis ses seins, son cou et enfin sa bouche que je me contente d’effleurer. Ses yeux sont grands ouverts et me regarde fixement tandis que sa bouche s’entrouvre et se tend vers la mienne. Nos lèvres entrent de nouveau en contact et lentement se trouvent, se mêlent et semblent vouloir fusionner. Nos baisers se font de plus en plus puissants et bientôt nos langues entrent en jeu. Le premier je prend l’initiative de pénétrer sa bouche avec ma langue et d’aller chercher la sienne. Je sens ses mains qui enserrent ma tête et sa bouche qui me répond.
Coralie passe ses jambes par dessus ma taille et les croisent dans mon dos. Son bassin entre en mouvement pour frotter ma queue plaquée contre son sexe. Je sens ses grandes lèvres qui enveloppent mon pieu et la chaleur humide de sa vulve. Nous continuons à nous embrasser longuement et je décide de lui laisser l’initiative de la pénétration. Enfin, sa main vient attraper ma queue pour la guider vers sa grotte, la plaçant face à l’entrée. Je n’ai alors qu’à exercer une légère pression pour que mon pieu pénètre dans son fourreau étroit en une sensation de plénitude dont j’aurai voulu qu’elle dure pour l’éternité.
Mais l’instinct prend rapidement le dessus et je commence à pilonner le sexe de ma soeur dont les jambes me donnent le rythme et l’amplitude. Manifestement il me faut être vigoureux et je passe mes bras derrière ses genoux pour libérer mes mouvements et faire basculer son bassin vers le haut. Je place mes genoux de part et d’autre de ses hanches pour pouvoir la pénétrer à fond et utiliser au mieux toute la longueur de mon sexe. Coralie sursaute à chaque coup de boutoir et couine de plaisir, m’intimant l’ordre d’y aller plus fort. La voix de maman me parvient qui, haletante, me demande également de défoncer ma soeur et de ne pas hésiter. Je suis presque surpris de ces demandes mais je m’exécute.
XXVII
Je me redresse et j’attrape les petits pieds de ma soeur. J’ai toujours eu un faible pour eux et je veux les associer à ce moment de plaisir symbiotique. Je les masse et j’en dirige un vers ma bouche que j’écartèle pour en engloutir les orteils. Je me mets à les sucer frénétiquement au même rythme que ma queue dans la chatte de Coralie. Elle semble apprécier et se tortille de plaisir, faisant des mouvements circulaires avec son bassin qui provoquent une montée fulgurante du plaisir dans mon bas-ventre. Rallant de bonheur je lache alors de longues giclées de sperme au fond de ma soeur dont les orteils se crispent de plaisir dans ma bouche. Je maintient ma queue dans le sexe de Coralie jusqu’à la dernière onde de jouissance avant de m’écrouler en sueur sur elle. Je sens ma queue ramollir doucement et se retirer mécaniquement de la caverne de ma soeur. Du sperme se met à couler également et je nous tourne, toujours enlacés, de trois-quart vers le centre du lit dans l’espoir que mes parents auront une vue satisfaisante sur le trou béant de Coralie, recrachant mon sperme qui coule sur ses cuisses et ma queue au repos.
Je vois au regard de maman rivé vers les fesses de ma soeur que l’objectif est atteint. Mais je lis également dans ce regard quelque chose qui me fait un peu peur. Elle me fixe maintenant et se lève lentement du fauteuil.
- J’espère qu’il te reste un peu de ta fameuse énergie de la jeunesse. Me dit elle avec un sourire chargé de bienveillance et d’espoir.
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.