Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous, à tel point qu’un soir nous jouons à reproduire les jeux sexuels de nos parents, d’un cunilingus à une fellation avant d’aller les mater depuis le couloir et copuler en coeur. A priori ils ne nous ont pas vus ni entendus mais en est-on vraiment sûr ?
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XV
Papa est maintenant parti en déplacement professionnel depuis 10 jours et il commence à me manquer. Lui et ses ébats avec maman dont les effluves sonores, si excitantes, nous font vivre de si intenses séances de sexe avec ma soeur Coralie. Mais nous nous sommes habitués au calme de nos soirées et Coralie et moi nous sommes tout de même offert un peu de plaisir mutuel en matant un porno. Mais il faut reconnaitre que ce n’est pas la même chose, loin s’en faut. Je préfère à la limite me masturber seul en repensant aux petits seins de ma soeur ou à la vue de sa magnifique croupe quand je l’empalais sauvagement devant la porte de mes parents. Repenser à ma queue qui coulissait dans son sexe chaud et étroit est un plus puissant excitant que le meilleur des pornos.
Chaque soir ou presque, nous savons que maman est installée dans son lit pour bouquiner et vers 23h00, nous entendons le clic de l’interrupteur de sa lampe de chevet qu’elle éteint pour se lover dans les bras de Morphée. C’est devenu presque un signal pour nous aussi et nous éteignons également nos lampes. Je traine un peu sur Instagram mais la vacuité de l’exercice à un effet quasiment somnifère et je pose rapidement mon portable. Demain je serai en forme pour aller en cours à la Fac…
XVI
Mais ce soir là, alors que nous avons éteint depuis quelques minutes à peine, Coralie m’appelle.
- Pssst ! me chuchote t’elle
Je lui lance un regard interrogateur mais dans la pénombre je distingue juste ça main qui me fait signe de venir. Je suis en forme ce soir et je ne me fais pas prier, j’espère que Coralie veut me proposer une petite séance de masturbation mutuelle voire même mieux et l’imaginer en train de me sucer doucement, comme elle sait si bien le faire, provoque d’emblée un début d’érection. Je saute du lit et en trois pas de loup je suis assis à côté de ma soeur dans son lit. Elle a l’oreille collée au mur et me fait signe de l’imiter. Je plaque mon oreille à mon tour et je me retrouve à quelques centimètres de son visage. Son regard me transperce intensément et la beauté de ses traits me frappe. Ses yeux en amandes, au gris-bleu profond, sont magnifiquement surlignés par de fins sourcils, tandis que sa bouche petite aux lèvres charnues est superbement encadrée par une mâchoire légèrement carrée surmontée de petites pommettes elles aussi quelque peu écartées. Je la trouve totalement irrésistible et alors qu’elle allait me parler, je m’approche rapidement et lui décoche un rapide baiser sur la bouche.
Elle me regarde interloquée et après quelques secondes, me fait un grand sourire. Elle s’approche à son tour et m’embrasse doucement, un peu plus longuement mais nos lèvres ne font que s’effleurer. J’en adore le goût et je demande à y retourner. Mais Coralie pose sa main sur ma poitrine et lève le doigts pour réclamer mon attention. Ce n’est pas pour faire ça qu’elle m’a appelé, même si…
XVII
- Maman parle toute seule, écoute ! me dit elle.
Je plaque mon oreille contre la cloison mais je n’entends rien, sauf peut être le souffle de maman qui pourrait dormir mais j’avoue que cela ressemble plus à des halètements qu’à un léger ronflement. Je lance un regard interrogateur à Coralie qui me fait signer d’être patient. Et en effet, il me semble entendre ma mère qui murmure quelque chose, impossible à distinguer mais dans le même temps nous entendons de mieux en mieux ce qui ressemble clairement à des soupirs de plaisir. Mon père absent depuis longtemps, notre imagination démarre au quart de tour ! Ma mère regarderait-elle un porno en se donnant du plaisir ? Mais dans ce cas pourquoi parler ? De l’autre côté de la cloison le niveau sonore monte et les soupirs de plaisir se font râles de jouissance. Nous parvenons à distinguer quelques mots prononcés par maman : plus vite ! plus vite ! dit elle.
Nous ne nous quittons pas des yeux avec Coralie mais ma vision périphérique m’indique que sa main gauche est dans sa traditionnelle culotte blanche en coton et titille lentement son clitoris. Ses yeux mi-clos et sa bouche entrouverte montre la montée de son plaisir et je réalise que j’ai moi-même attrapé ma queue et commencé à la caresser doucement. Elle est dure comme du bois. Je lance un nouveau regard interrogateur à ma soeur qui hausse les sourcils : nous n’avons aucune idée de ce que maman fait. D’un rapide mouvement de tête sur le côté, je propose à Coralie d’aller voir. Elle acquiesce immédiatement et quitte précipitamment son lit en m’attrapant la main, poussé par le mélange détonant de la curiosité et de l’excitation.
XVIII
Comme la dernière fois, nous avançons à pas de loup dans le couloir en direction de la chambre de mes parents. Coralie devant longe silencieusement le mur, me tirant et je ne peux m’empêcher d’admirer ses magnifiques fesses que sa culotte blanche moule parfaitement et que le t-shirt qui lui sert de pyjama ne masque pas du tout. Nous jetons un oeil prudent dans la chambre maternelle, la lumières y est éteinte mais sur le lit se trouve un ordinateur portable allumé, dont le reflet lumineux éclaire maman. Il est posé devant elle, entre ses mollets, l’écran orienté vers elle. Elle est entièrement nue et porte des oreillettes. Ses yeux sont rivés sur l’écran tandis que sa main gauche joue avec le téton de son sein. Nous apercevons sa main droite qui elle s’active au niveau de sa vulve, faisant de rapides mouvements d’avant en arrière qui nous laissent penser qu’elle est en train de se doigter vigoureusement.
Nous l’entendons plus distinctement qui parle à quelqu’un :
- Continue comme ça oui ! Remonte un peu l’écran de ton ordi je vois pas bien ! Oh oui continue je t’en prie.
Et ma mère de se doigter de plus en plus fort, gémissant de plaisir malgré ses efforts pour rester silencieuse. Coralie semble subjuguer et sa petite main court déjà sous sa culotte à la recherche de son bouton en érection. Je me plaque derrière elle et tend la tête, ma joue au contacte de la sienne pour mieux voir l’intérieur de la chambre. Je presse ma queue contre ses petites fesses pour rappeler à Coralie son existence. Elle tortille légèrement du cul comme pour mieux caler ma bite dans la raie et la frotter. Je la sens qui durcit dangereusement et j’envoie ma main droite prendre le relais de celle de ma soeur dans sa culotte.
Coralie de ne fait pas prier pour céder la place, elle me sait expert en la matière et elle peut ainsi se concentrer sur le spectacle offert par ma mère. J’essaye d’ailleurs de me synchroniser sur le rythme de maman et je commence à masser son clitoris, à passer un doigt entre ses grandes lèvres.
XIX
La fente de Coralie est déjà très humide et très vite je ressens le besoin de glisser un doigt, puis deux dans son vagin. Je l’entend soupirer de bonheur, elle renverse la tête en arrière et ferme les yeux. Sa bouche cherche la mienne et je ne me fais pas prier pour gouter à nouveau ses lèvres. Nous nous embrassons longuement, doucement et de plus en plus profondément. Nos langues se lient et se caressent, je mordille ses lèvres et elle pince les miennes, nos baisers sont délicieux et m’excitent terriblement. Cela semble réciproque car Coralie baisse sa culotte, puis mon caleçon et empoigne mon sexe. Elle le dirige avec autorité en direction de ses fesses qu’elle cabre et qui sont plus attirantes que jamais.
Très vite, mon gland trouve le chemin de sa vulve et se retrouve au chaud. Je pousse délicatement et mon pieu pénètre sans difficulté dans sa grotte chaude et humide. Coralie râle de plaisir et j’ai moi-même bien du mal à me contrôler. Je la pénètre à fond jusqu’à ce que je sente mon bassin plaqué contre ses fesses. Coralie ne peut retenir un cri de surprise et, comme si elle avait peur que je me retire, pose sa main sur mes reins pour me retenir au fond d’elle. Puis je commence de petits mouvements de va et vient, ma main droite massant toujours délicatement son clitoris et ma main gauche, passée sous son t-shirt, qui joue avec son sein.
Nous continuons à nous embrasser lentement et profondément, tandis que ma queue continue d’élargir sa grotte magique, la pénétrant doucement jusqu’à taper au fond, puis ressortant complètement pour provoquer la frustration et ses grognements de protestation que je stoppe immédiatement d’un vigoureux coup de rein qui lui arrache de puissants soupires.
C’est si bon que j’en oublie presque où nous sommes et ma mère. Je me redresse et j’ouvre les yeux, désireux de combiner le plaisir d’empaler ma soeur avec celui de mater ma mère. Mais quand je recouvre la vue, ce que je vois me stoppe net dans mon élan !
Maman est devant nous, toute nue, qui nous regarde avec un sourire sarcastique.
Lire la suite : chapitre 5
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.