Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous, à tel point qu’un soir nous jouons à reproduire les jeux sexuels de nos parents, d’un cunilingus à une fellation. Puis Coralie me propose d’aller les mater depuis le couloir.
X
Coralie se redresse d’un bond et me prend la main pour me tirer hors du lit. Elle m’entraine dans le couloir tout doucement, accompagnant nos mouvements d’un inutile doigt sur la bouche pour m’intimer l’ordre de me taire. Je suis terrorisé à l’idée que nos parents nous voient mais la curiosité est si forte et les bruits provenant de leur chambre, bien audibles depuis le couloir, sont si attractifs… Alors que nous approchons de leur porte, effectivement entrouverte, ma soeur me pousse devant elle et m’indique de longer le mur de gauche pour bien voir. En effet, la lampe de chevet du côté de ma mère est allumée et par chance c’est celle qui est du côté de la porte, nous plaçant ainsi à contre-jour pour eux et donc quasiment invisibles.
J’avance à pas de loup et enfin j’aperçois les pieds de mon père, puis ses genoux. Enfin, maman m’apparait, qui comme annoncé par Coralie chevauche mon père. Elle est magnifique, sa taille de guêpe surmontant une croupe délicieusement rebondie et des cuisses musclées, enserrant de part et d’autre les hanches de mon père. Ses mains sont posées sur les cuisses de mon père pour faciliter les mouvements de son bassin du haut vers le bas mais aussi d’avant en arrière. Ses seins généreux et son torse sont projetés vers l’avant et mon père en profite, les caressant et les massant vigoureusement. Je les entends tous deux qui halètent et qui grognent, l’extase se lisant sur le beau visage de ma mère.
Je suis complètement subjugué par le spectacle que je découvre pour la première fois. Comment ai-je pu ne pas avoir cette idée plus tôt !? Je réalise que j’ai depuis quelques minutes ma main dans mon caleçon qui caresse ma queue, dure comme elle l’a rarement été. Je soupire de plaisir et commence à me masturber. Maman vient de basculer vers l’avant, prenant appui sur les pectoraux de papa pour accélérer encore un peu plus les mouvements de son bassin. Ses fesses sont cambrées vers l’arrière et je mesure enfin la beauté extraordinaire de ce cul. J’ai tellement envie de le toucher, le caresser, l’embrasser et même d’y planter ma queue me dis-je un peu honteux.
Leurs ébats sont si bruyants maintenant que Coralie se permet de me murmurer à l’oreille.
- Ca te plait on dirait ?
Je hoche la tête rapidement mais je n’ai que faire de ses remarques, mes pensées sont focalisées sur le postérieur maternel, ses mouvements et la queue paternelle que j’imagine le labourer. Mon Dieu que c’est excitant ! Je me masturbe de plus belle, freinant mon excitation pour ne pas partir trop vite ! Coralie semble avoir compris mon dilemme et vient se coller derrière moi, chassant ma ma main de mon caleçon et m’intimant l’ordre de la laisser faire. Un peu déstabilisé, je lui laisse la place et découvre le plaisir de me concentrer à 100% sur le spectacle que j’ai sous les yeux.
XI
Ses petits doigts se referment lentement sur mon sexe, sa main est fraiche et délicieusement douce. Elle baisse mon caleçon de l’autre main pour plus de confort puis commence à me branler tout doucement. Tandis que sa main droite commence ses mouvements de va et viens sur mon pieu turgescent, sa main gauche vient délicatement se placer sous mes couilles. Elle se garde bien de les masser, parfaitement consciente que cela ne ferait qu’accélérer mon éjaculation. Je sens également ses tétons dans mon dos et les coussins confortables de ses seins pressés contre mes omoplates. Je pose ma main droite sur ses fesses qui y trouve une position fort agréable.
Coralie poursuit son oeuvre avec une douceur et une lenteur infernales. Le plaisir monte de façon un peu effrayante et je crains même que mes soupirs finissent par donner l’alerte. Heureusement, j’ai gardé la petite culotte de ma soeur et je la presse contre ma bouche. Maman et papa sont maintenant couverts de sueur mais ne semblent pas sur le point de s’arrêter, ni même de ralentir. Les mouvements de maman sont toujours aussi vigoureux tandis que papa produit de violent coups de bassin vers le haut, significatifs de son état d’excitation et de sa volonté d’empaler maman toujours plus profondément. Il me semble même être dans leurs têtes et de les entendre penser !
Je sens le plaisir monter dans mon bas-ventre et je produit des efforts considérable pour le maitriser. Coralie aussi commence à haleter et je me demande si elle n’imagine pas avoir la queue de papa entre les mains. Une pensée absurde mais qui m’excite encore un peu plus. Je laisse glisser ma main droite vers son entre-jambe et vais directement à sa fente que je commence aussitôt à frotter. Coralie tressaille et se colle encore un peu plus à moi. Mon index se promène de son clitoris à son vagin, lui tirant de petits cris et des flots de cyprine. Je porte mon doigt à ma bouche curieux de découvrir ce goût mais ma soeur réclame rapidement que je reprenne mon ouvrage ! Je m’exécute avec plaisir.
XII
Sur leur lit, les parents semblent vouloir changer. Ils sont loin d’en avoir fini mais maman s’est subitement arrêtée et redressée sur un pied, sortant la queue de mon père de sa grotte. Elle se place immédiatement à 4 pattes à côté de lui, lui décrochant un rapide baiser pour lui signifier de se dépêcher ! Elle laisse tomber sa tête sur l’oreiller tout en cabrant outrageusement sa croupe. Quelle vision merveilleuse et que n’aurais-je pas donné pour être à la place de mon père à ce moment-là ! Il se redresse avec nonchalance et vient se placer derrière son épouse. Pour la première fois je vois le sexe paternel et je le trouve très beau. Coralie aussi manifestement, qui s’est arrêtée de me branler mais tiens toujours ma queue entre ses doigts crispés. Elle a les yeux rivés sur le pieu paternel et j’en conçois une légère jalousie.
J’attrape son poignet et lui fait lâcher mon sexe. Je la fait passer devant moi et je relève sèchement sa chemise de nuit tout en posant mes mains sur ses deux hanches. Elle soupire bruyamment et se penche légèrement en avant. Je viens caler ma queue dans son sillon fessier, comme papa est exactement en train de le faire à maman ! Je décide alors de suivre son rythme et je commence à frotter mon pieu contre ses fesses, la faisant parfois passer dessous pour venir poncer sa fente et son clitoris. Coralie utilise sa main pour appuyer sur ma queue et accentuer la pression. Je décide de lui laisser l’initiative de la pénétration et de me régaler du spectacle de nos parents en pleine levrette. Maman attrape le pieu de mon père et le guide vers sa grotte humide. Il est presque couché sur son dos et je le vois immédiatement qui donne de vigoureux coups de reins. Sa queue entame un magnifique mouvement dans les fesses de maman et je la vois disparaitre et réapparaitre à une vitesse qui me parait folle !
Je sens alors ma queue à son tour absorbée par le sexe chaud et étroit de Coralie. Je pousse délicatement et elle y pénètre sans aucune difficulté. Je le pousse d’emblée à fond et je sens ma soeur qui se cabre sous l’effet de la surprise et du plaisir. Je la tiens fermement par les hanches et j’admire la peau lisse de ses petites fesses, de sa taille étroite et de mon sexe qui entre et sors de sa chatte. C’est elle également qui pousse et donne le rythme, pressée que je la remplisse de mon pieu de chair. Je peux alors lâcher une main et partir à l’exploration de sa poitrine. Ses deux seins pendent légèrement et tombent parfaitement dans le creux de ma main, lourds, chauds et si doux. Je donne des coups de reins et je constate que nos deux couples sont parfaitement synchrones. Maman et Coralie gémissent de concert et par prudence je place la culotte sur la bouche de ma soeur. Mais il y a bien peu de chances que maman l’entende !
XIII
Je continue ainsi de pénétrer Coralie pendant de longues minutes. Il me semble que nos deux coïts se synchronisent grâce aux sons de plaisir émis par maman et ma soeur, qui nous guident et qui nous rythment papa et moi. Mes mains passent de sa délicieuses poitrines à ses hanches, en passant par ses bras que je tire doucement vers l’arrière pour la cambrer au maximum et l’enfiler le plus profondément possible. Je sens Coralie qui défaille sur ses jambes, tremblante de plaisir tandis que ma queue continue de la labourer. Elle a même du mal à conserver sa culotte sur sa bouche et je dois m’en emparer pour l’y replacer. Mais elle choisit de me l’arracher de la main et de la jeter au sol. Puis m’attrapant le poignet, elle conduit ma main vers son visage avant de mettre deux de mes doigts dans sa bouche et de commencer à les sucer frénétiquement.
Je crois qu’elle imagine sucer la queue de papa pendant que je la prend par derrière ! En tout cas je découvre le plaisir de cette succion digitale qui m’excite terriblement. Je sens la chaleur de sa bouche et la douceur de sa langue sur mes doigts. Mon bras libre fait le tour de sa taille et je la soulève presque pour la pénétrer sauvagement. Coralie commence à geindre bruyamment et je dois plaquer ma main sur sa bouche pour que nous ne soyons pas entendus. Mais dans la chambre, papa et maman ont également monté les décibels et je les entend clairement approcher de l’orgasme. Maman enchaine les « oui » et les « encore » tandis que papa grogne. Je sens que chez nous aussi l’orgasme est proche, Coralie secouant son bassin en gestes brusques et désordonnés.
XIV
Me redressant et attrapant ma soeur par le bassin, je me cambre et laisse l’éjaculation venir. De longs traits de sperme giclent abondamment au fond de la chatte de ma soeur qui, appuyée au mur, se laisse envahir par le plaisir. Dans la chambre, mon père s’est effondré sur le dos de maman et se vide en elle bruyamment. Sa queue est déjà à moitié sortie et je vois un filet de sperme qui ruisselle de la fente écartelée de maman, coulant sur le pieu de mon père et sur ses cuisses. Tout deux respirent bruyamment. Je regarde entre mes cuisses pour constater que du sperme coule également de la fente de Coralie directement sur ses cuisses. Je me contorsionne pour ramasser sa petite culotte et commencer à l’essuyer tendrement. Car il ne faut pas trainer ! Papa et maman ne vont probablement pas tarder à sortir de leur chambre.
C’est à mon tour d’attraper la main de Coralie qui semble perdue. Je la serre un peu fort pour la sortir de sa torpeur. D’un mouvement de tête je lui indique le chemin de notre chambre et je la vois avec soulagement qui acquiesce. Nous nous esquivons à pas de loup et refermons la porte derrière nous. A peine dans la chambre, Coralie se jette dans mes bras et me serre si fort que j’entend mon dos craquer légèrement ! Je serre à mon tour son corps brulant et nous restons longtemps ainsi à nous étreindre.
Puis nous nous dirigeons vers nos lits respectifs et nous glissons rapidement dans nos draps. A peine fermons nous les yeux que nous entendons la porte s’entrebâiller doucement. J’entre-ouvre un oeil pour constater que c’est papa qui jette un oeil sur ses petits pour vérifier que tout va bien. Ou peut être a t’il entendu quelque chose… Si tel est le cas, quel châtiment nous réservera t’il ? Il me semble que je crains autant que je désire la réponse.
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.