Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur moi. Je me masturbe souvent en écoutant les sons puissants du plaisir pris par ma mère et mon père. Mais j’ai un doute quant à ma discrétion et le niveau de conscience de ma soeur lors de mes séances nocturnes.
IV
Cela fait des années que je me masturbe délicieusement en écoutant mes parents faire l’amour. Je crois qu’il n’y a pas de plus grand excitant que ces sons étouffés provenant de la chambre voisine qui rayonne de plaisir ! Mais depuis la dernière fois, le doute est né concernant ma soeur. J’ai toujours fait ça quand elle dormait, du moins le pensais-je jusqu’à hier soir où il m’a semblé discerner un masque ironique sur son doux visage. Se peut-il qu’elle ait compris mon manège ? Se peut-il qu’elle soit également sensible aux cris de plaisir de mes parents ? Et pourquoi ne le serait elle pas d’abord ? Elle est une femme depuis longtemps maintenant. Il me semble que nos regards sont désormais chargés de sous-entendu, mais ne me fais-je pas des idées ? Impossible de le savoir sans aborder le sujet et cela me semble impossible bien sûr.
Les jours passent ainsi et je me couche chaque soir en guettant les bruits émanant de la chambre de papa et maman mais c’est le calme plat pour l’instant. J’essaye alors d’imaginer la réaction de Coralie aux sons amoureux de nos parents. Est-elle aussi excitée que moi ? Se masturbe t’elle également ? J’imagine sa main qui retrousse son éternelle chemise de nuit blanche et va se perdre dans sa culotte en coton. J’imagine ses doigts qui stimulent son clitoris et vont écarter ses lèvres intimes pour pénétrer sa grotte au rythme des gémissements de ma mère. Peut être lui arrive t’il de coller son oreille au mur pour mieux entendre ! Je suis bien décidé à laisser passer la prochaine fois et à faire semblant de dormir pour mieux pouvoir l’observer. En attendant, imaginer ses doigts fins qui travaillent délicatement dans sa toison à la recherche de ses zones érogènes m’excite fort et suffit à me pousser à me branler ce soir-là, malgré le calme qui règne chez nous. J’éjacule abondamment quand j’imagine sa main refermée sur ma queue et qui l’astique doucement, caressant mon gland avec son pouce. C’est délicieux !
V
Comme souvent, c’est tard un soir de fin de semaine que monte de nouveau, en provenance de la chambre conjugale, les doux murmures du sexe. Je m’en réjouis car le week-end, les séances sont plus longues, encouragées par la perspective réjouissante de la grasse matinée. Pour l’instant j’entend juste maman geindre doucement, presque imperceptiblement. Fidèle à ma stratégie, je me couche en chien de fusil orienté en direction de ma soeur pour pouvoir la surveiller dans la pénombre. Je constate qu’elle a adopté une position similaire, comme si elle voulait elle aussi m’observer. Je ferme les yeux et adopte le visage le plus serein possible, prenant la peine d’exagérer une respiration lente et profonde que je pensais le signe indiscutable d’un sommeil bien établi.
Je reste ainsi de longues minutes pendant lesquelles Coralie ne bouge pas d’un pouce, tandis qu’à côté, les préliminaires semblent avancer de façon satisfaisante vu le niveau sonore des gémissements de ma mère. J’ai du mal à ne pas caresser mon sexe déjà complètement raide dans mon caleçon et à entamer une masturbation en bonne et due forme. Mais je m’accroche d’autant plus qu’il m’a semblé percevoir un léger mouvement du côté de ma soeur. Coralie a t’elle également la tentation d’utiliser sa main à des fins de plaisir personnel et n’a pu empêcher un mouvement en direction de sa culotte ? Difficile à dire mais je décide de tenir bon. Maman halète maintenant sans retenu de l’autre côté du mur et je sens ma détermination qui commence à faiblir. Après tout, pourquoi ne pas simplement se retourner et s’offrir ce plaisir qui déjà semble enfler dans mon bas-ventre ? Je suis sur le point de céder au désir lorsque j’entend Coralie prononcer ces mots si banals :
- Tu dors ?
VI
Je lui répond un peu trop vite, presque précipitamment.
- Non.
- Je sais que tu aimes ce qu’on entend là. D’habitude tu te branles mais pas ce soir. Pourquoi ?
Je suis complètement estomaqué par la question de ma soeur ! Ainsi elle sait tout depuis longtemps ! Quel idiot j’ai été de penser pouvoir être discret dans ces conditions. On ne se contrôle pas très bien quand on se masturbe en plus… Estomaqué, je le suis aussi par la franchise de son discours. Nous avons toujours eu une relation franche et directe mais sur un sujet aussi intime et sensible, c’est pas évident. Je n’en reviens pas et ne sais que répondre. C’est donc elle qui reprend.
- Je ne veux pas te mettre mal à l’aise hein !? Moi aussi j’aime entendre papa et maman faire l’amour. J’aime qu’il s’aime et j’aime ce spectacle sonore. Moi aussi il m’arrive de me toucher dans ces moments-là, il n’y a pas de honte. Je pensais que tu l’avais remarqué d’ailleurs.
J’osais enfin prononcer un mot.
- Non désolé…
Je me mord les lèvres devant le ridicule de cette réponse. Je l’entend rire doucement.
- Pas de quoi être désolé, t’inquiète. Mais je me disais que peut être tu pourrais venir à côté de moi pour mieux profiter du spectacle. On entend bien mieux l’oreille collée au mur…
Sans blague…? Sans l’ombre d’une hésitation, je rejette ma couette et viens me placer à côté de Coralie qui s’est assise dans son lit, l’oreille plaquée au mur. Je fais de même et tout de suite, j’ai la spectaculaire impression d’être à côté de mes parents. J’entend très clairement maman qui soupire bruyamment de plaisir tandis que papa semble totalement silencieux. Mon érection, un temps calmée par l’échange avec Coralie, repart de plus belle et j’essaye de la masquer négligemment avec mon bras. Ma soeur me murmure à l’oreille :
- Tu as une idée de ce qu’il lui fait ?
- Un peu et toi ?
- Bien sûr, il lui fait un cunilingus. Tu sais ce que c’est ?
- Evidemment !
Elle replaque son oreille contre le mur en levant un doigt en l’air comme pour m’inviter, fort de cette information, à vérifier que les sons émis sont conformes. Et de fait, il me semble percevoir en plus des gémissements de ma mère, des bruits de succion. Elle a raison ! Je visualise le beau visage de mon père entre les cuisses musclées de maman, fouillant avec sa langue dans sa fente pour en tirer le jus magique. J’imagine ma mère attrapant l’abondante tignasse de papa pour mieux plaquer sa bouche sur son sexe et s’assurer de l’intensité du plaisir. Je ne peux m’empêcher de porter ma main droite sur ma queue et de commencer à la caresser. Je note tout de suite que cela n’a pas échappé à ma soeur mais je m’en moque tant mon désir est violent.
- Je peux te proposer un jeu ? Me dit-elle doucement. Je tourne vers elle un regard interrogateur qui vaut approbation.
- Je te propose tout simplement que nous cherchions à deviner ce que papa et maman font et qu’une fois que nous sommes d’accord là-dessus, nous le fassions de notre côté. T’es chaud ?
VII
Immédiatement, je hoche rapidement la tête de haut en bas. Je suis si excité !
- Très bien ! Me dit-elle. Tu sais ce qu’il te reste à faire ?
Je la vois s’adosser au mur de mes parents, toujours assise dans son lit. Elle se soulève légèrement sur ses pieds repliés au bord de son lit pour retirer rapidement sa petite culotte blanche et remonter sa robe de chambre. Elle s’installe confortablement et écarte les cuisses avant de me regarder fixement. Je suis un peu perdu par l’enchainement des événements mais je décide de suivre mes envies et mon instinct. Je viens me placer devant ma soeur à genou au pied du lit et je pose doucement mes deux mains sur l’intérieur des cuisses de Coralie.
Je suis frappé par la douceur de sa peau et le spectacle de son sexe qu’elle m’offre sans retenu. Je suis comme pétrifié. Je vois sa main droite descendre vers son pubis et ses doigts se poser sur son clitoris qu’elle commence à masser en lents mouvements circulaires. Je suis subjugué par ce que je vois et sur le coup j’ai presque envie de ne pas m’en mêler et de simplement profiter de la vue qui m’est offerte pour la première fois. Passif, les sons de la chambre voisine parviennent de nouveau à mon cerveau et j’entend maintenant très nettement ma mère qui est manifestement proche de l’orgasme. J’entend également ma soeur qui commence à haleter sous l’effet du travail de ses doigts et cette combinaison de sons de plaisir féminin m’électrise.
J’approche lentement mon visage du sexe de Coralie et je commence par chasser ses doigts d’un doux baiser sur son clitoris, immédiatement suivi par de plus vigoureuses succions. Je la sens se raidir immédiatement et commencer à gémir bruyamment. Je lève les yeux vers elle et constate avec soulagement qu’elle a porté sa culotte à sa bouche pour étouffer les sons. Je peux continuer sans crainte. J’opte pour de grands coups de langue sur toute la hauteur de sa fente, tantôt en surface, tantôt en pénétrant autant que possible dans son vagin. Je finis parfois par masser son clitoris de la pointe drue de ma langue et je sais que je suis dans le juste quand sa main gauche vient violemment se poser sur ma tête pour accentuer la pression.
Je l’attrape alors par la taille et utilise ses hanches pour pouvoir enfouir toujours plus profondément ma langue dans sa grotte, la faisant la plus rigide possible pour obtenir toujours plus de jus qui ruisselle maintenant de sa chatte, sous l’effet de l’excitation et du plaisir, Coralie qui se cabre et se tortille, sa main qui pince ses tétons ou malaxe son sein, ses doigts qu’elle aspire et qui se perde dans sa bouche pour, avec sa culotte, essayer d’amortir les cris de jouissance qu’elle ne peut retenir. Je suis aux anges de voir que je suis capable d’offrir ce plaisir à ma soeur et je l’observe avec amour tandis que je souffle un peu.
Nous reprenons nos esprits pour constater ensemble que le bruit s’est tut du côté de la chambre de mes parents. Nous nous regardons inquiet. Avons nous été repérés !?
VIII
Mais rien ne bouge dans le couloir, nous respirons. Nous collons notre oreille au mur et percevons de nouveau des bruits de succion. Mais ils accompagnent cette fois-ci des grognements paternels. Nous nous regardons et n’avons pas besoin d’échanger un mot pour comprendre la suite du programme. Ma soeur me tend la main pour que je l’aide à se lever. Je remarque à quel point l’intérieur de ses cuisses est trempé et ruisselle du mélange de ma salive et de sa cyprine. Debout, elle me pousse gentiment à la place encore chaude qui était la sienne. Puis elle me tend sa petite culotte blanche, tachée de sa salive.
- Tiens ! Tu pourrais en avoir besoin…
Je l’attrape et la porte directement à ma bouche. Je tombe immédiatement amoureux de son odeur, mélange du propre de la lavande et de son odeur corporelle. Pendant ce temps, Coralie s’est agenouillée à son tour devant moi et fait glisser mon caleçon par terre. De l’autre côté du mur j’entend encore les grognements de mon père et les bruits gutturaux vigoureux de maman. Mais mon attention est vite accaparée par la main que Coralie pose sur mon pieu. Elle commence à le caresser avec le pouce tandis que son autre main part se poser sous mes testicules. Mon Dieu ! Comment vais-je résister plus de trente secondes à ce traitement ! J’essaye de me concentrer sur les sons émis de l’autre côté de la cloison mais ils ne m’apaisent guère, bien au contraire.
Je plonge la culotte de ma soeur dans la bouche pour essayer d’identifier un goût, mais en vain. Pendant se temps, Coralie à commencer à me masturber tout doucement, consciente que j’ai la sensibilité à fleur de peau. Elle approche alors sa bouche que je ne peux pas quitter des yeux. Elle l’entrouvre au dessus de ma queue et vient prendre mon gland dans un lent mouvement de succion vers le haut, accompagné de sa langue. Après avoir totalement sortie ma queue de sa bouche elle recommence aussitôt en enchaînant trois ou quatre mouvements sur la pointe turgescente de mon sexe. Je me mets immédiatement à râler et j’ai l’impression d’être l’écho de mon père ! Maman doit être aussi bonne suceuse que Coralie me dis-je, non sans un peu de honte pour ma vulgarité. Mais la vérité c’est que l’image de ma soeur et de ma mère unie dans la même action m’excite atrocement !
Coralie aspire maintenant presque complètement ma queue que je vois déformer ses joues et parfois sa gorge. Elle s’est légèrement remonté pour que sa bouche et son cou soient mieux alignés pour pouvoir engloutir plus à fond mon dard gonflé de sang. Une main toujours sous mes couilles qu’elle malaxe et tire vigoureusement, elle a maintenant accéléré le mouvement et semble décider à en finir rapidement. Mes cris étouffés semblent résonner dans la pièce contiguë et je mettrais ma main au feu que mon père et moi avons jouis pratiquement au même moment. Ma queue profondément enfoncée dans la gorge de Coralie, je déverse ce qui me semble être des litres de sperme dans sa bouche. Elle attend patiemment la fin des spasmes de ma queue avant de la retirer de sa bouche et de déglutir en s’essuyant délicatement le bord de la bouche. Je suis éreinté de plaisir et je cache tout mon visage dans sa culotte, comme si j’en avais honte.
IX
Coralie vient s’assoir à côté de moi en essayant de reprendre son souffle. Nous ne disons mot et nous focalisons à nouveau sur les bruits qui nous parviennent de la chambre de nos parents. J’entend comme un claquement. Coralie se tourne vers moi.
- Maman est en train de chevaucher papa !
Je la regarde interloqué.
- Comment tu peux le savoir ?
- Parce que c’est ce qu’ils font habituellement.
- Qu’est ce que tu en sais ?
- Parce que je les vois pardi !
Je la dévisage franchement surpris. Elle poursuit.
- Tu ne t’es jamais levé pour aller voir ? En général, ils laissent leur porte entre-ouverte et une lampe de chevet allumée. C’est très simple.
Je n’en reviens pas. La sérieuse Coralie est donc une mateuse de ses propres parents !
- Tu veux que je te montre ?
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.