Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. De fil en aiguille, nous développons notre relation incestueuse à 4. En l’absence de Coralie, papa et moi offrons une magnifique double pénétration à maman mais ma soeur soupçonne quelque chose et m’oblige à tout lui raconter. Je découvre alors la puissance aphrodisiaque de mes récits qui mettent Coralie en transe. Coralie invite alors son crush Victor et sa soeur Alice à la maison et me mets au défi de les ensorceler avec une histoire. Le résultat ira bien au-delà de nos espérances… Comment va finir cette soirée ?
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LXXIV
Alice et moi nous laissons tomber dans le canapé aux côtés de Coralie. Nous sommes en sueur et nos cuisses ruisselant de liquides en tout genre… Il faudra mettre un bon coup de nettoyage au velours avant le retour des parents demain ! je songe. Mais le jeu en valais la chandelle, et il n’est pas terminé j’ai l’impression ! Victor nous regarde avec des yeux où brillent l’excitation mais aussi l’inquiétude de nous voir éreintés par la sauvage copulation à trois qui vient tout juste de prendre fin. C’est finalement Coralie, plutôt spectatrice ces derniers temps, qui vient à la rescousse.
- Alice, tu mas bien dit que tu étais en licence de Lettres c’est ça ?
Alice opine du chef et Coralie de reprendre.
- Alors c’est peut être à ton tour de nous raconter une histoire, je crois que le frangin a besoins de souffler ! Tu es partante ?
Nous nous tournons tous les trois vers Alice, le regard gourmand et interrogateur. En voilà une bonne idée qui nous permettra de nous reposer un peu et de redémarrer la machine si Alice se révèle bonne conteuse, ce que je pressens. Elle n’hésite pas longtemps pour notre plus grand bonheur.
- Très bien dit-elle, j’ai même une idée qui me vient mais je compte sur vous pour me dire si c’est nul hein !?
- Fonce ! lui dis-je, j’ai hâte de t’entendre et ta voix me transporte déjà !
- Il était une fois…
D’un coup le visage d’Alice change et se pare d’une certaines gravité, effaçant les sourires un peu niais de nos visages. Le ton de sa voix baisse d’un octave et adopte un rythme lent et monocorde qui nous saisis et nous hypnotise presque.
LXXV
- « Il était une fois une Princesse orientale qui vivait dans un immense palais, au coeur d’un royaume que son père dirigeait avec bienveillance et fermeté. Elle était d’une très grande beauté, haute de stature et aux formes sportives et épanouis. Elle venait d’atteindre la majorité et son mariage était à l’ordre du jour. Pour cela, le roi devait organiser un tournoi de joute à cheval car son gendre était appelé à diriger l’armée et devait donc exceller dans l’art de la guerre. Ce tournoi eu lieu un mardi du mois de juin, dans une chaleur étouffante qui à elle seule mettait déjà les corps à l’épreuve.
Les joutes s’enchainaient et la Princesse les observait avec attention depuis son trône, confortablement installé sous une tente où grouillait les serviteurs attentionnés. Au fil des tours, deux prétendants se distinguèrent par leur talent mais aussi par leur grande beauté, particulièrement mise en valeur par la transpiration et la poussière qui accentuaient le dessin de leurs muscles et de leurs abdominaux. A la grande joie de la Princesse, les deux arrivèrent en finale. Mais ceci la plongea dans une abime de perplexité pour déterminer qui aurait sa préférence. Les deux, quoi que très différents, lui plaisaient ! L’un, prénom Victor, était grand, élancé aux muscles saillants, au regard dur amplifié par des cheveux coupés court. L’autre, appelons le Franck, était légèrement plus petit et nettement plus charpenté, des épaules larges et un cou de taureau qui contrastait avec son regard doux encadré par de longs cheveux ondulés. Lequel finirait dans sa couche ? Peu importe finalement et le hasard faisait bien les choses, la réconciliant quelque peu avec son père qui lui avait imposé son choix, contre sa volonté, au nom de traditions qu’elle jugeait archaïques.
Mais la nuit tombait vite sur la palais et malgré les nombreuses torches allumées, la joute finale n’allait pas pouvoir avoir lieu ce soir. Il faudrait attendre le lendemain. Déçu, le public commença à refluer, regagnant ses foyers. La Princesse, maitresse de cérémonie, ordonna que l’on mette à disposition le confortable appartement qui jouxtait le sien dans le Palais pour que les deux prétendants puissent se laver, se restaurer et se reposer avant la finale. Ses ordres donnés, la Princesse salua les deux combattants et fit demi-tour pour se diriger vers ses appartements. Certains relevèrent le petit sourire qui ornait son beau visage au moment de quitter les lieux.
Lavés et repus, Franck et Victor devisaient tranquillement sur leurs couches respectives, en dépit de la rivalité qui les opposerait le lendemain. Les deux jeunes hommes partageaient un grand nombre de passion commune et notamment leur fascination amoureuse de la Princesse. Leurs participations au tournoi étaient bien plus motivées par l’amour que par l’attrait de la position, même si elle renforçait clairement l’attrait de celui-ci. Le sommeil commençait à les gagner quand on toqua à leur porte, qui s’ouvrit sans attendre leur réponse. Interloqués, les deux jeunes guerriers virent entrer un colosse à la peau d’ébène qu’ils avaient repéré depuis longtemps aux côtés de la Princesse, sans connaitre précisément son rôle.
– Messieurs veuillez me suivre s’il vous plait, dit-il, la Princesse désire vous voir sur le champs.
Le ton de la voix ne soufflait ni contestation ni délai et les deux jeunes hommes sautèrent au bas de leurs lits et emboitèrent le pas du numide qui s’éloignait déjà. Ils ne firent que quelques mètres et pénétrèrent à la suite du serviteur dans les appartements de la Princesse qui les attendait, assise au centre d’un grand canapé.
– Pardonnez moi ce dérangement, dit la Princesse à ses deux hôtes, mais je tenais à vous soumettre une idée avant la joute finale de demain. J’espère que vous la trouverez aussi bonne que moi !
– Nous sommes à votre service Princesse ! dit Victor en inclinant la tête respectueusement.
– Fort bien ! dit elle. Appelez moi par mon prénom alors, appelez moi Coralie puisque nous allons passer une longue soirée ensemble. Victor et Franck, venez vous assoir à côté de moi, chacun d’un côté si vous le voulez bien. »
LXXVI
Alive interrompit son récit et prit le temps d’examiner son auditoire. Il semblait d’ores et déjà subjugué par le récit et une grande tension régnait.
- Qu’attendez-vous !? demanda Alice. Action !
C’est Coralie qui la première percuta, se leva et vint s’assoir au centre du canapé, tenant la main de son frère pour qu’il vienne s’assoir à sa droite. Victor comprit à son tour et vint s’assoir à la gauche de Coralie. Alice les regarda satisfaite. Elle les trouva tous les trois magnifiques. Elle reprit son récit.
- « Regardant droit devant elle, la Princesse leur expliqua enfin la raison de leur présence.
- Vous êtes tous deux de grands guerriers cela ne fait aucun doute. Mais ferez vous de bons amants ? Je veux que cela soit désormais ce qui vous départagera et je veux que cette joute quitte le domaine militaire pour se poursuivre dans celui du plaisir. Je veux vous tester tout les deux, en êtes vous d’accord ? dit elle en se tournant alternativement vers la droite puis la gauche.
Les deux jeunes soldats restèrent silencieux mais hochèrent la tête en signe d’assentiment, échangeant un rapide regard. Nous sommes vos serviteurs dit finalement Franck parlant au nom de son camarade.
- Fort bien dit la Princesse. Je veux donc que vous suiviez désormais mes instructions à la lettre, sans un mot, est ce clair ?
Tout deux opinèrent du chef, tous leurs sens en éveil.
- Victor, nous commencerons par toi pour la première épreuve qui me permettra de déterminer qui de vous deux est le meilleur amant. Je te demande de me faire un cunilingus, tu as 5 minutes pour me faire jouir, ce sablier sera ton juge. Allez !
Coralie retourna le sablier, s’affaissa dans le canapé pour avancer son bassin et remonta sa tunique sous laquelle elle était nue, exhibant sans pudeur son entrejambe. Victor admira les cuisses fines et galbées de la Princesse, son sexe surmonté d’une petite touffe de poil brun et sa fente délicatement dessinée et où luisait déjà quelques gouttes de liquide. Il jeta un oeil au sablier et constata qu’il n’avait déjà que trop perdu de temps en contemplation. Il se jeta à genoux aux pieds de la Princesse et posa ses mains sur ses cuisses. Elles étaient si douces qu’il ne put s’empêcher de les caresser doucement pour les admirer. Coralie commença à soupirer bruyamment ce qui le sortit de sa torpeur et le ramena à sa mission. Se penchant en avant il vint déposer un baiser sur le sexe de la Princesse qui ne put contenir un petit cri.
Victor commença par sucer son petit clitoris, à le pincer de ses lèvres et à le brutaliser tendrement avec sa langue. La Princesse renonça à toute discrétion, par ailleurs totalement inutile tant les murs du palais étaient épais, et se mit à gémir. Encouragé par ces premiers résultats, Victor accentua la pression de sa bouche sur la vulve royale et durcit sa langue pour l’envoyer fouiller plus profondément. Il la faisait tournoyer avec vigueur entre les lèvres de Coralie qui avait attrapé les cheveux de Victor pour s’assurer qu’il ne stopperai pas son travail. Le sable s’écoulant inexorablement, il ne restait plus beaucoup de temps à Victor. Il approcha alors sa main de la fente de Coralie, écarta délicatement les lèvres et introduisit timidement dans sa grotte humide son index, pour voir la réaction de la Princesse. Son cri d’extase lui confirma qu’il était sur le bon chemin et son majeur vint prêter main forte à l’index, tout deux commençant un puissant mouvement circulaire et de va-et-vient qui eu pour effet de faire perdre la tête à son amante. Elle arracha littéralement sa tunique pour libérer sa généreuse poitrine et la malaxer, pinçant et tordant ses propres tétons sous l’effet d’une excitation et d’un plaisir extrêmes. Elle se cambra violemment en gémissant avant de s’affaisser sur le canapé, trempée de sueur et l’entrejambe ruisselant de sa cyprine et de la salive de Victor. Comme par magie, le sablier indiqua la fin de la session au même moment.
Victor se releva promptement et ne put s’empêcher d’adresser un petit sourire de défis à Franck, tandis que la Princesse s’éclipsait derrière un paravant pour se laver et reprendre ses esprits. Elle haletait encore légèrement quand elle revint vers le salon. Elle y trouva les 2 beaux éphèbes debout qui la regardaient interrogateurs. Elle sourit à Victor en hochant la tête, entérinant ainsi sa belle performance. Puis se tournant vers Franck, elle lui dit :
- A ton tour maintenant. Je pense que tu sais ce qu’il te reste à faire.
LXXVII
Dans son regard Franck lut le défi et une soif de plaisir sans fin. La Princesse était donc une bête de sexe qui lui rappelait sa soeur dont elle portait d’ailleurs le même prénom… Coralie reprit sa place avachie dans le canapé et remonta une nouvelle fois sa tunique. Mais Franck ne l’entendait pas de cette façon et lui prit doucement les deux mains pour l’inviter à se lever. A sa grande surprise, la Princesse lui obéit sans broncher et se retrouva debout devant lui. Délicatement il dégrafa sa tunique qui tomba aux pieds de Coralie la laissant totalement nue devant le jeune homme. Celui-ci la guida pour qu’elle se tourne puis vienne poser ses genoux sur l’assise du canapé, dos à lui et l’invita à poser ses coudes sur le dossier. Du plat de la main posé au bas de son dos, il lui demanda silencieusement de se cambrer, ce qu’elle fit de bonne grâce, illuminant la scène de sa croupe magnifique, des ses fesses merveilleusement rebondies et mises en valeur par une taille de guêpe et ses jambes fuselés.
Franck s’accroupit lentement et vint plaquer sa bouche sur la vulve proéminente de Coralie puis en de grands mouvements de bas en haut, écarta ses lèvres à coups de langue. Le sexe encore sensible, la Princesse s’abandonna bien vite aux délicieuses sensations qui envahissaient son bas ventre. Elle se mit à gémir doucement, poussant des Ahhh sonores à chaque fois que la langue de Franck s’engageait dans sa fente et remontait jusqu’à son anus où elle ne manquait pas de s’attarder. Coralie fut enchantée de cette audace et prit soin de l’encourager par de petits cris de plaisir. Posées sur chaque fesse, les mains de Franck les écartaient pour libérer au maximum son champs d’action tout en en appréciant la rondeur et la fermeté. Sentant le plaisir de la Princesse grimper en flèche, il se mit à téter bruyamment son clitoris en alternant avec son petit trou qu’il forçait avec sa langue.
Tandis que Coralie se laissait emporter par un deuxième orgasme, le sablier égrenait ses derniers grains, signifiant la fin de cette partie. »
Alice arrêta son récit et laissa le silence envahir le salon. Elle contempla le spectacle dont elle était responsable. Sur le canapé, Coralie était effondrée, en sueur, sur le dossier, son frère juste derrière elle semblant encore se demander ce qui venait de se passer. Assis sur le bord gauche, son frère Victor ne parvenait pas à quitter des yeux la croupe ruisselante de Coralie, sa queue à la main et un mouchoir dans l’autre, dans lequel il venait de décharger une belle dose de sperme après s’être masturbé frénétiquement devant le spectacle incroyable du frère broutant le cul de sa soeur.
Alice sourit et demanda :
- On fait une petite pause et on repart ?