Résumé : ma soeur Coralie et moi partageons la même chambre dans notre petit appartement parisien, avec nos parents. Les murs sont fins et leurs ébats ont un puissant effet aphrodisiaque sur nous. De fil en aiguille, nous développons notre relation incestueuse à 4. En l’absence de Coralie, papa et moi offrons une magnifique double pénétration à maman mais ma soeur soupçonne quelque chose et m’oblige à tout lui raconter. Je découvre alors la puissance aphrodisiaque de mes récits qui mettent Coralie en transe. Coralie invite alors son crush Victor et sa soeur Alice à la maison et me mets au défi de les ensorceler avec une histoire. Le résultat ira bien au-delà de nos espérances… Comment va finir cette soirée ?
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LXIX
Raconter cette histoire et manipuler mes trois marionnettes m’a épuisé. Je suis effondré dans mon canapé et laisse ma soeur Coralie jouer avec mes cheveux. Je souris à Alice, comme pour la remercier de son compliment et l’encourager dans son idée de me récompenser. Elle se lève d’ailleurs, quittant le canapé qu’elle partageait avec son frère pour venir prendre la place de Coralie qu’elle expulse gentiment. Coralie semble n’attendre que cela et se précipite à côté de Victor contre qui elle vient se serrer affectueusement. Aussitôt ils s’embrassent, libérant manifestement une envie qui les tenaillaient depuis des heures. Je suis bien sûr terriblement jaloux mais je ne peux m’empêcher de penser qu’ils forment un couple magnifique. Je constate avec plaisir que déjà les mains de Victor sont parties explorer les délicieuses formes de ma soeur, d’abord son fessier menu et rebondi, avant de s’aventurer sous son t-shirt à la rencontre de ses petits seins. Il veut tout connaitre, et tout de suite, de l’anatomie de Coralie et comme je le comprend !
Voir ma soeur qui commence à geindre sous les caresses de Victor m’excite terriblement. Je me tourne vers Alice et je constate qu’elle les dévore des yeux. Sa main est négligemment posée sur sa culotte qu’elle effleure et caresse lascivement. Je me redresse et viens carrément m’assoir sur ses genoux, provoquant une réaction de surprise d’Alice mais je sens bien que c’est une bonne surprise ! Elle m’accueille avec bienveillance et tire rapidement ma tête à elle pour m’embrasser. Ses lèvres se posent doucement sur les miennes et elle commence à les pincer tendrement, poussant de petit coups de langue comme pour déchiffrer le code d’entrée et j’y répond avec délice. Je ne peux m’empêcher de comparer Alice à Coralie et cela me met mal à l’aise. Laquelle embrasse la mieux ? Je rejette la conjecture avec agacement et décide de me concentrer sur la délicieuse Alice. Mais ma position dominante sur ses genoux se prête d’avantage à sa propre envie d’exploration. D’ailleurs, elle saisie le bas de mon t-shirt et le relève pour me l’enlever. Je la laisse faire bien volontiers et je me retrouve torse nu. Je gonfle mes pectoraux et ses mains ne tarde pas à venir les caresser. Il faut dire qu’entre mes pec’ et mes abdo soigneusement entretenus et développés, Coralie m’a maintes fois dit que j’étais irrésistible ! Et Alice n’y résiste pas manifestement…
LXX
Ses petites mains douces et agiles passent de mes pectoraux à mes abdominaux en caresses langoureuses. Elle vient même jouer de la pointe des doigts avec mes tétons et je découvre de nouvelles sensations, tout à fait délicieuses. Alice est observatrice et constate mon émoi. Alors, elle approche son visage de ma poitrine et commence à jouer de ses lèvres et de sa langue avec mes tétons. Mon Dieu c’est fou ! ne peux-je m’empêcher de penser. J’attrape la tête d’Alice et la presse doucement contre mon torse pour lui signifier mon intense plaisir. Alors, passant ses mains dans mon dos, sa bouche se déchaine, suçant, léchant tout sur son passage. Je ne peux retenir un petit cri qui attire l’attention de Coralie et Victor qui découvrent notre posture plutôt inhabituelle. Cela semble les inspirer puisque Coralie saute aussitôt sur les genoux de Victor, poitrine à l’air et le suppliant de la sucer elle aussi. Victor s’exécute sans rechigner et prenant les seins de ma soeur à pleine main, les suce et les lèche à son tour, passant alternativement de l’un à l’autre et provoquant instantanément les gémissements de Coralie.
Puis les mains d’Alice passe de mon dos à ma ceinture de jean. En 2 ou 3 mouvements elle l’ouvre et déboutonne mon pantalon. Aussitôt sa main s’engouffre dans mon caleçon et attrape ma queue qui, gonflée à bloc, ne demandait qu’à être libérée de son carcan de tissu. Je suis aux anges et je retiens mon souffle. Alice se recule dans le canapé et concentre son attention sur mon entre-jambe. D’une main elle dégage mon sexe qu’elle commence à branler doucement de l’autre. Je me penche légèrement en arrière pour dégager un peu plus ma bite et c’est finalement Alice qui, me guident par la queue, me fait lever. Ce sera bien plus facile !
LXXI
Je suis debout et Alice en profite pour faire glisser mon jean et mon sous-vêtement par terre. Ma queue se tient raide sous ses yeux qui déjà la dévore. Elle se remet alors à l’astiquer paisiblement et profite d’un terrain de jeu bien plus dégagé pour venir me caresser les bourses du plat de la main. C’est tout à fait délicieux et je sens bien que si elle continue à ce rythme et avec ce talent, je ne tarderais pas à lui éjaculer sur le visage. Elle se rend compte que je suis sous pression et met un coup d’arrêt à ma masturbation. Je veux protester mais déjà elle me coupe en mettant son doigt sur la bouche puis me dit :
- Je veux t’offrir un orgasme hors norme mon petit conteur préféré ! Tu l’as mérité ! Alors sois patient s’il te plait.
Puis se tournant vers Coralie, elle l’invite à venir nous rejoindre, s’excusant par avance auprès de son frère en lui expliquant que c’est l’heure de ma récompense. Alice reprend :
- Place toi derrière ton frère s’il te plait Coralie, et commence à le branler si tu veux bien.
Je ne vois pas Coralie, je suis toujours debout face à Alice assise et ma soeur est dans mon dos. Mais je la sens qui viens se coller derrière moi et j’avoue éprouver de la joie à la savoir avec moi plutôt qu’avec Victor. Je sens ses petits seins dans mon dos et ses mains qui viennent se poser l’une sur ma queue et l’autre sous mes bourses. Je reconnais la finesse de ses doigts et la douceur de sa peau. Je reconnais aussi sa science du va-et-viens masturbatoire et aussitôt mon sexe redevient dur et gorgé de sang.
LXXII
Alice, toujours assise dans son canapé, se penche alors en avant et vient déposer un baiser sur le bout de ma queue. Je tressaille de plaisir et commence à comprendre où elle veut en venir. Aussitôt je me dis que ça va être chaud de ne pas jouir trop vite et j’essaye de me calmer en respirant profondément. Coralie a également compris et continue de me branler le plus à la base possible de mon pieu, laissant la moitié supérieure disponible pour Alice. Elle ne se fait pas prier et lentement, vient prendre ma queue dans sa bouche et commence à la sucer. Ses lèvres sont chaudes et humides et je les vois coulisser le long de mon dard à côté de la petite main de Coralie.
Alice joue de sa langue pour lécher ma queue sur toute sa longueur, l’enroulant autour du gland et alternant des léchages et des sussions terriblement sensuels. Je vois ma soeur et Alice travailler de concert, parfaitement harmonieuses et synchronisées, ma bite n’est plus qu’un réceptacle à sensations toutes plus délicieuses les une que les autres. Je sens mes entrailles se serrer et la giclée de sperme amorcer sa montée mais je fais tout pour la retarder. Dieu que c’est dur ! Je me concentre sur elles et je vois que Coralie commence à jouer avec les doigts de sa main qui me branle sur le visage d’Alice, lui offrant de délicates caresses à chaque fois que sa bouche engouffrait mon sexe et se rapprochait de la main de ma soeur. Parfois Alice délaissait ma queue, m’offrant un répit plutôt bienvenu, pour venir lécher et sucer un ou deux doigts de Coralie, ce qui avait le don de m’exciter plus que tout le reste !
Alors, tandis qu’Alice une nouvelle fois m’avait entièrement en bouche tandis que ma soeur me malaxait les couilles, je ne put me retenir plus longtemps. Je lâchais une première giclée de sperme monumentale dans la bouche d’Alice qui la reçue les yeux fermés, tout à son plaisir. Je lache encore 2 ou 3 traits de sperme en grognant comme un ours tandis qu’Alice libère ma queue en avalant mon foutre et la laisse entre les mains de Coralie qui connait mon goût pour une légère et lente branlette après l’éjaculation. Je tiens difficilement sur mes jambes tant l’orgasme est intense.
LXXIII
Nous sommes tous les 3 figés dans cette position, comme si nous n’avions pas envie d’interrompre ce délicieux moment. Coralie continu de me branler tandis qu’Alice vient déposer un nouveau baiser sur ma queue, puis sur la main de Coralie. Ma soeur comprend le message et vient essuyer les lèvres d’Alice avec son pouce. Celle-ci lui attrape le poignet et commence à lui sucer le pouce comme s’il s’agissait de sa bite ! Dans mon dos, j’entends Coralie qui soupire et se crispe. Elle tourne son pouce dans la bouche d’Alice en mouvement erratique, elle est clairement entrain de perdre pied et je n’avais jamais vu ma soeur dans cet état là.
D’ailleurs elle ne tarde pas à m’abandonner pour venir s’assoir à côté d’Alice dans le canapé où toutes les deux commencent à s’embrasser avec une fougue qui fait presque peur ! C’est au tour d’Alice de venir sur les genoux de Coralie et de lui dévorer la bouche. Coralie arrache pratiquement la robe d’Alice qui se retrouve bien vite quasiment nue sur ses genoux. Coralie passe de sa bouche à ses seins et semble vouloir la dévorer toute crue. Alice quant à elle a passé une main dans l’entre-jambe de Coralie et frotte sa vulve à travers son jean. Les deux filles gémissent de plaisir et leurs cris ne tardent pas à ranimer ma queue. D’autant plus que j’ai sous les yeux la petite culotte d’Alice qui dissimule avec peine une magnifique croupe aux proportions divines ! Ce n’est pas un cul, c’est un chef d’oeuvre que sa robe nous avait bien dissimulé jusqu’à présent !
Obéissant à mon instinct, je m’approche et des deux mains je saisis la culotte et la descend sur ses cuisses. Alice ne se tourne même pas vers moi, elle se contente de se redresser, de se mettre sur les genoux entre les cuisses de ma soeur, et de me tendre son cul. Quel vision merveilleuse, quel cadeau ! Je me penche pour venir poser mes lèvres sur une fesse, puis sur l’autre, et enfin venir lécher sa fente. Alice gémit de plaisir. J’envoie ma langue explorer tous les recoins de sa chatte, la lécher du haut en bas et même jusqu’au petit trou de son anus. Mais je n’y tiens plus et tandis que les filles continuent de s’embrasser, je me redresse et présente mon dard à l’entrée de sa grotte magique. Je pousse doucement et je pénètre Alice jusqu’à la garde, poussant à fond pour lui tirer un cri de surprise et de plaisir. Elle a abandonné Coralie qui continue à la caresser tout en m’observant forniquer avec la soeur de son ami. Nous ne nous lâchons pas des yeux et même quand je commence à labourer Alice, c’est Coralie que je regarde. Et curieusement, cet échange de regard m’apporte la sérénité et la puissance.
Alice geint de plaisir sous mes coups de boutoir variés et puissant, alternant les jurons et les encouragements, se pinçant les seins ou les portant à la bouche de Coralie en la suppliant de les sucer. Je la tiens par les hanches et j’enchaine les mouvements. Je rentre, je sors, je rentre à fond, je sors complètement ce qui lui fait perdre la tête et m’ordonner d’y retourner. Ce que je fais bien volontiers. Grâce à la branlette vieille d’à peine 15 minutes, je suis beaucoup plus endurant et pendant de longues minutes, je pilonne le cul somptueux d’Alice. Malicieusement, Coralie a envoyé son pied nu sous Alice en direction de mes testicules qu’elle vient malaxer de ses oreilles. Pas question qu’elle reste en dehors du jeu ! Mais ce faisant, elle y met un terme car la sensation délicieuse du petit pied de ma soeur contre mes couilles fait encore grimper mon excitation et pour la deuxième fois, je remplis de sperme un orifice d’Alice. Bien calé au fond de sa chatte, j’envoie à nouveau de longs traits de foutre en grognant de bonheur. Quel pied…
Nous sommes tous les 3 en sueur et essoufflés, nous regardant avec un grand sourire plein de tendresse. Et comme une seule personne, nous nous tournons vers Victor, seul dans son canapé et qui nous dit :
– Joli spectacle messieurs-dames ! Merci ! Et s’il vous reste un peu d’énergie, je suis disponible !
A suivre
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.