I
Ma soeur Coralie et moi partageons une chambre de notre petit T3 familial depuis respectivement nos 8 et 9 ans. Mes parents l’ont acheté il y a 11 ans quand les prix de l’immobilier dans le XVIIIeme arrondissement de Paris étaient encore presque raisonnables… Nous poursuivons tous deux nos études sur Paris et n’avons pas quitté le cocon familial, n’ayant pas les moyens de nous offrir de chez nous. Mais cette vie nous convient bien, notre famille est heureuse et soudée, seules nos vies intimes en pâtissent et nous demandent un peu de débrouillardise pour s’épanouir. Autant dire que Coralie comme moi passons beaucoup de temps en soirée à l’extérieur et découchons de temps en temps.
Notre chambre, avec ses 12 m2 aurait pu être confortable mais à deux elle est un peu exiguë. Nos lits occupent 2 murs à 90°, nos pieds sont presque au contact mais nos tables de chevet sont ainsi un peu éloignées, un choix que nous avons fait car ma soeur aime lire assez tard et sa lumière me dérange un peu. Dans l’angle opposé à nos lits trône un large bureau double que nous partageons pour travailler mais je dois avouer que son côté est nettement plus poncé que le mien… Que voulez-vous, en plus d’être très jolie, ma soeur est sans conteste la plus studieuse et la plus maline de nous deux. Ses yeux brillent d’intelligence derrière ses lunettes qui les agrandissent, des yeux bien mis en valeur par sa longue chevelure châtain clair légèrement ondulée. Elle possède le physique des grandes femmes – elle fait presque 1m80 – avec de longues jambes surmontées d’un fessier relativement généreux et superbement bombé (Dieu que je l’ai observé, plus ou moins discrètement !). Son buste est en V très prononcé grâce à une taille de guêpe et une poitrine généreuse.
De l’autre côté de la cloison qui borde le lit de Coralie se trouve la chambre de mes parents. Les cloisons sont fines dans cette construction des années 1970 et papa nous demande souvent de baisser la musique, pourtant à un niveau très raisonnable, qui accompagne nos séances de travail en soirée. J’ai parfois l’impression d’habiter dans une maison en carton… Mais cette acoustique médiocre a aussi ses avantages !
II
Car mes parents sont toujours, après 25 ans de vie commune, des amants passionnés. Et j’en suis très heureux tant l’ambiance au sein de notre famille est heureuse, épanouie et bienveillante. L’amour y règne en maître. Tous deux mènent une vie saine et équilibrée entre travail et vie de famille, entre sport et activités culturelles. Malgré ses cheveux poivre et sel, mon père est resté physiquement très jeune grâce à son abondante chevelure au désordre soigneusement organisé et un physique bien entretenu. Il possède notamment des abdominaux en tablette de chocolat que je le vois travailler quotidiennement et qui me rendent presque jaloux !
Ma mère quant à elle est le sosie de ma soeur sur le plan physique. Sa grande taille lui a valu de jouer à haut niveau au volley-ball, lui façonnant ce corps sculptural de déesse romaine sur lequel le temps semble avoir glissé. Elle porte régulièrement des jeans moulant qui font souvent se retourner les hommes dans la rue. Elle est également une adepte des débardeurs amples qui offrent des échancrures et décolletés merveilleusement assortis à ses longues jambes.
Sur le plan sexuel, le temps ne semble pas non plus avoir eu de prise sur leurs ébats, toujours aussi longs, fréquents et passionnés. Je le sais puisque comme je vous le disais, les murs chez nous ont des oreilles… Souvent le soir, quand tout l’appartement est plongé dans le noir, j’entend monter de petits cris de la chambre de mes parents. Au début étouffés, ils prennent en général rapidement de l’ampleur, notamment ceux de ma mère. Et je l’avoue sans honte, ils ont un effet terriblement aphrodisiaque sur moi. L’entendre haleter sous les coups de langue ou de boutoir de mon père provoque invariablement chez moi, dès les premiers décibels maternels, une érection violente. Je tends alors l’oreille, la respiration bloquée pour mieux écouter tant les débuts sont faibles, pour m’assurer que je ne me trompe pas. Mais le son enfle rapidement et la satisfaction et l’excitation grimpent en flèche. C’est bien plus efficace que les vidéos pornos que je regarde de temps en temps !
III
Alors je fais discrètement glisser mon caleçon sur mes cuisses, tout en jetant un oeil en direction du lit de ma soeur pour m’assurer qu’elle dort. Pas de souci de ce côté là, elle est couchée en chien de fusil le visage tourné vers le mur. Je vois ses épaules bouger, sans doute sous l’effet de la respiration car le mouvement est régulier. Je m’empare alors doucement de mon sexe gonflé à bloc, commençant par le masser jusqu’aux testicules que je malaxe avec un peu plus d’énergie. Je tire sur la peau pour bien décalotter mon gland puis ma main revient sur ma queue que je commence à branler doucement. Je ne veux pas aller trop vite mais je sens en même temps que l’affaire de mes parents est déjà bien avancée car je les entend maintenant tous les deux souffler et grogner. Ma mère semble particulièrement gouter ce moment et j’essaye de deviner leur position.
Les images qui me passent par la tête font encore plus grimper mon excitation ! Ont ils adopté la traditionnelle position du missionnaire ? J’imagine alors papa entre les cuisses grandes ouvertes de maman, son sexe prodiguant un vigoureux va-et-vient dans la chatte humide de ma mère, ses abdominaux luisant de transpiration au-dessus du ventre plat de maman dont les seins, momentanément inutiles, s’étalent paresseusement sur sa poitrine. Je les imagine s’embrasser délicatement tandis que la queue de mon père, complètement enfoncée en elle, savoure l’étui chaud et étroit qui l’accueille et qui va immanquablement la conduire à cracher son liquide blanc.
Peut être ont ils préférés que maman prenne les commandes et chevauche papa. Je l’imagine assise les genoux de part et d’autre des hanches de mon père, frottant sa fente sur le sexe bandé, les mains appuyées sur la torse vigoureux de son homme. Je l’imagine lui jouissant du spectacle de sa femme surexcitée, la poitrine gonflée par l’étau de ses bras. Peut être même a t’il décidé de la pétrir avec ses mains, de pincer ces tétons extraordinairement sensibles ou de mettre en action son bassin pour accentuer les frottements de sa verge sur le clitoris de maman. Elle prendrait alors cette queue tant désirée de sa main droite et se redressant, la guiderait vers l’entrée de sa grotte. Elle s’empalerait alors doucement sur ce pieu chaud et raide et recevrait la foudre du plaisir violent qu’elle ne ferait ensuite qu’amplifier par des mouvements de plus en plus rapides et amples.
Ou peut être encore auront ils préférés une brutale levrette ou une sage cuiller. Je ne le saurais probablement jamais mais mon imagination continue de travailler ainsi que ma main droite qui branle maintenant vigoureusement ma queue. La tête remplie des cris de jouissance venant de la chambre voisine, je ne tarde pas à éjaculer en ne parvenant pas à retenir un souffle roque. J’éjacule longuement dans un t-shirt sale que j’avais rapidement attrapé, dégustant de longues secondes d’un plaisir intense et profond.
Enfin, j’essuie rapidement mon sexe, remet mon caleçon en place et je jette le t-shirt en boule sous mon lit où je tacherai de ne pas l’oublier demain. Je jette un oeil du côté de ma soeur pour vérifier que j’ai été suffisamment discret. A ma grande surprise elle est maintenant tournée vers moi, offrant à ma vue son beau visage et ses yeux heureusement fermés. Mais il me semble qu’elle affiche un petit sourire… j’espère qu’elle n’a rien remarqué !
Ah ! Si je savais ce qui passait par la tête de ma soeur, loin d’être endormie, à cet instant précis, j’en aurais été bien surpris ! Car il semblerait que je ne sois pas le seul à subir l’effet aphrodisiaque des ébats de nos parents !
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.