V
Haletant et abasourdi, il se retira et vit le sperme couler de l’orifice de sa douce. Celle-ci s’était légèrement redressée sur la table et cherchait une serviette des yeux. Son beau visage, paisible et épanoui, n’affichait aucune gène. Elle tendit une première serviette à son mari qui, à son tour, s’était appuyé sur la table à ses côtés et commença à s’essuyer la queue. Elle en trouva une deuxième et tenta à son tour de nettoyer le pourtour de son sexe. Son gendre, troublé au dernier degré, balbutia : En voulez-vous une autre belle-maman ? Elle sourit de sa gêne et lui murmura que oui, pourquoi pas. Et que s’il pouvait l’aider à se laver elle en serait ravie. Elle cru voir la mâchoire de son gendre se décrocher mais il se reprit très vite, fit le tour de la table et vint se poster à sa droite. Il jeta un oeil à son beau-père qui semblait se désintéresser de la scène.
Alors il posa sa main gauche sur le genou droit de sa belle-mère et entrepris d’enlever les fluides corporels qui maculaient l’intérieur de ses cuisses et son sexe. Il commença très délicatement, très lentement, et invita sa belle-mère à s’allonger confortablement. Elle se laissa volontiers aller et ferma les yeux pour savourer le plaisir de ces jeunes mains qui prenaient soin de sa chatte. Quand il vint enfin frotter sérieusement sa toison pubienne et son clitoris, elle laissa échapper un soupir de plaisir. Elle attrapa la main de son mari qui la regardait amoureusement. Seul semblait lui importer le bien-être et le plaisir de son aimée. Et pour le coup, il vit dans ses yeux que ce qui se passait lui convenait parfaitement.
Il se tourna vers sa belle-fille qui se tenait toujours à bonne distance. Elle avait toutefois elle aussi une serviette à la main et il lui fit signe d’approcher. Quand elle fut tout contre lui, elle descendit la serviette vers sa queue qui pendait mollement entre ses jambes décharnées. Elle avait perdu de sa superbe mais portait toujours beau. N’aies pas peur lui dit son beau-père, à mon âge on ne redémarre pas comme ça, tu es tranquille pour un moment ! Il partit dans un éclat de rire qu’elle ne partagea pas et, affichant un air des plus sérieux, commença à essuyer le sexe. Cela eu pour effet d’interrompre brutalement le rire de l’homme qui dû s’appuyer sur la table pour ne pas tressaillir. Elle l’essuya délicatement et longuement et elle entendit sa respiration devenir plus bruyante. Son souffle faisait écho à celui de son épouse qui de nouveau semblait la proie du plaisir sous la main habile et ferme de son gendre.
Celui-ci décida de s’accroupir et vint placer sa tête entre les cuisses de sa belle-mère. Il embrassa l’intérieur des cuisses de nombreuses fois, se rapprochant lentement de son sexe. Elle lui agrippa les cheveux et lui intima l’ordre silencieux d’aller plus vite. Il posa ses lèvres sur le sexe de la femme et envoya sa langue en mission exploratoire. Tour à tour elle titilla son clitoris ou pénétra dans son vagin vigoureusement. A chaque coup de langue la femme poussait tantôt un cri de surprise, tantôt un cri de plaisir qui raisonnèrent dans le salon. Ils eurent pour effet de faire monter le désir de la belle-fille qui à son tour, s’accroupît devant son beau-père et enfourna son sexe, encore mou, dans sa bouche. Elle se donna pour mission de le remettre en érection en un temps record et déploya tout son savoir-faire pour cela. Sa langue remontait toute sa queue jusqu’au prépuce, stimulait le gland avant que sa bouche fasse disparaitre entièrement le dard. Ses mains travaillaient les testicules dans un mélange infernal de fermeté et de douceur. Il lui fallut moins de 2 minutes pour que la queue de son beau-père soit de nouveau au garde à vous, dure comme du vieux chêne.
VI
C’est à vous de jouer beau-papa, susurra la bru à l’oreille de son beau-père après s’être relevée. Et elle alla s’assoir puis s’allonger près de sa belle-mère qui, les yeux clos, dégustait le broutage de minou sauvage de son gendre. Elle avait enlevé son jean et ne gardait qu’une mini-culotte en dentelle jaune. Son carré de poils pubiens apparaissaient même au travers tant la culotte était petite et fine. Son beau-père s’approcha et pris le temps d’admirer le sublime corps cambré par le plaisir de sa femme et son visage rayonnant de désir. Le spectacle provoqua chez lui un grand sourire et presque une larme. Il tourna la tête vers sa bru et découvrit la beauté de ce corps jeune à nu. Elle avait plié les jambes et posé ses mains sur les genoux pour adopter une position confortable en attendant les coups de boutoir de son beau-père. Il vint la soulager en passant ses mains derrière ses cuisses et vint frotter sa queue rigide contre son sexe et sa culotte.
Son excitation était telle qu’elle ne put retenir ses paroles. Défonce moi maintenant beau-papa, ne t’occupe plus de ta meuf elle est entre de bonnes mains ! C’est mon tour maintenant. Joignant le geste à la parole, elle écarta sa culotte et attrapa la queue beau-paternelle pour la guider dans sa chatte. Puis plaçant ses mains sur ses hanches, elle lui intima l’ordre de la pénétrer brutalement. Son sexe ruisselait et la bite s’enfila sans à-coups jusqu’à la garde. Elle râla de plaisir sauvage et lui cria de la prendre encore et encore, de lui donner ce qu’elle méritait, une grosse fessée s’il le fallait. Elle tirait maintenant sans retenu sur les hanches de son beau-père qui lui-même ne retenait plus ses coups de boutoir. Ils trouvèrent ainsi un rythme de croisière et elle pria pour qu’il puisse le tenir suffisamment longtemps.
Elle tourna la tête à droite et vit que sa belle-mère la regardait. Elle en fut brièvement interloquée mais celle-ci lui sourit avec une bienveillance indiscutable. Elle vit son beau-frère se relever et enlever à son tour son jean. Il sortit de son caleçon une queue d’une taille remarquable et vint la tapoter sur le pubis de sa belle-mère. Celle-ci quitta sa bru du regard pour admirer le pieu qui allait faire exploser sa vieille chatte. Elle s’offrit d’abord une petite séance de caresses et masturba son gendre tendrement. Quelle merveille que cette jeune queue douce et vigoureuse !
VII
Elle sentit qu’il ne fallait pas abuser des préliminaires sans quoi son beau-fils allait exploser entre ses doigts. Elle fut heureuse de constater l’effet qu’elle pouvait faire sur un homme dans la force de l’âge. Sa queue toujours en main, elle l’introduisit dans son sexe soyeux et maintenant parfaitement lubrifié. Il y coulissa doucement, comme si son gendre craignait sa fragilité de vieille personne. Elle décida de le débrider et enlaça sa taille avec ses deux jambes. Ses talons firent vigoureusement pression sur ses reins et lui intimèrent l’ordre d’être plus vigoureux dans ses coups de boutoirs. Le gendre s’exécuta en l’attrapant vigoureusement par sa taille fine, bien calé sur ses hanches, et l’empala avec véhémence. Elle lâcha un cri d’extase et un grognement d’approbation. Elle relâcha la pression de ses talons pour l’inciter au va et vient et il ne se fit pas prier pour enclencher un mouvement de piston savamment dosé d’avant en arrière mais aussi du bas vers le haut, afin d’offrir à sa belle-mère les sensations les plus complètes. Elle n’en attendait pas moins et se mit à geindre sans retenu, exprimant un plaisir total.
Les deux hommes étaient maintenant en action, côte à côte, leurs pieux parallèles piochant de concert les sexes offerts. L’homme contempla sa femme qui s’abandonnait au plaisir, plus belle que jamais. Il se pencha légèrement en avant, à la fois pour accentuer la pression de sa queue sur le sexe de sa belle-fille, et aussi pour prendre la main de sa femme. Leurs doigts se croisèrent et la connexion, curieusement, eu pour effet de synchroniser les coïts. Ils entrèrent en résonance, les mouvements devinrent à la fois plus fluides et plus puissants, parfaitement simultanées. Les cris et les râles des uns et des autres se firent écho et leur puissance monta synchrone. Le miracle alla jusqu’à l’orgasme que les 4 connurent en même temps. Les deux hommes déchargèrent leur sperme dans le même mouvement tandis que les dames plongèrent dans la béatitude en même temps.
VIII
Quand enfin le gâteau et son escorte arrivèrent, le frère et la soeur furent surpris de trouver une table dans un désordre indescriptible, jusqu’aux serviettes qui trainaient en boule par terre. Leurs parents et conjoints s’étaient installé au salon et semblaient discuter tranquillement. La fille ramassa les serviettes en râlant contre leur négligence et tous les quatre eurent un petit tressaillement coupable…