I
Une fois par an, parfois deux, ils arrivaient à réunir leurs deux enfants pour un diner entre adultes. Sans petits enfants donc. Ce temps plus calme était précieux pour aborder des sujets plus profonds et plus délicats avec leur fille et leur fils, accompagnés par leurs conjoints respectifs qui faisaient pleinement partie de la famille. Les quatre « jeunes » comme ils se plaisaient à les appeler avaient tous autour de quarante ans quand eux deux approchaient dangereusement des 70. Lui, avocat en retraite, avait garder sa stature imposante aussi bien physiquement – il était grand et large d’épaule – que psychologiquement puisqu’il guidait systématiquement les discussions et parlait plus souvent qu’à son tour. Elle présentait la psychologie opposée, effacée en dépit d’une grande culture qui lui aurait permis de disserter sur de nombreux sujets si elle l’avait voulu. Physiquement, elle était également très dissemblable de son mari, mince et élégante, affichant une ligne remarquable de fluidité et de volupté. Malgré cela, rien ne dissonait dans leur couple où la tendresse et l’énergie régnaient.
Leurs enfants avaient banalement exploité le patrimoine génétique, la fille ayant beaucoup pris physiquement à sa mère et le garçon à son père. Sur le plan psychologique, c’était moins tranché mais de façon générale, on pouvait dire que les deux enfants avaient recréé le couple parental en choisissant des conjoints tout aussi éloignés physiquement de chacun d’eux. Peut être était ce la recette du bonheur car les trois couples paraissaient parfaitement épanouis.
II
Ces repas n’étaient pas que le théâtre de discussions sérieuses à propos de placements, de successions ou de géopolitique. C’était également l’occasion d’un bon repas arrosé des meilleurs vins, gardés pour l’occasion. Le père et la mère combinaient leurs talents et leurs efforts pour proposer un excellent repas. Traditionnellement, seul le dessert échappait à leur savoir-faire et était confié à la pâtisserie de la ville voisine, à 20 ou 25 minutes de route. D’ordinaire, c’est la fille de la maison et son conjoint qui se chargeaient de le récupérer mais il n’était pas prêt cette fois et il faudrait y retourner. C’est pourquoi la fille buvait si peu de vin. Il y avait près d’une heure de route pour aller le récupérer. Mais l’excellent gâteau qui les attendait valait le déplacement !
Ces six là entretenaient finalement une belle amitié en dépit des écarts d’âges et de la difficulté, réelle ou supposée, d’intégrer les « pièces rapportées ». Le repas se déroula au gré de conversations plus ou moins ennuyeuses mais au fil de la soirée, les sujets fastidieux étaient évacués et l’alcool rendait la conversation plus légère. Nul ne saurait dire comment on en était arrivé à discuter de la sexualité du troisième âge (« des vieux nom de Dieu, pitié appelons les choses et les gens par leur nom ! » avait rugit le père.). Votre mère, ou belle-mère, et moi tenons à vous dire que l’âge ne fait rien à l’affaire, pas plus que l’andropause ou la ménopause, lança l’ancien avocat. Quand il y a amour et attirance, et Dieu sait que votre mère est restée attirante ! reprit il, le sexe est encore la meilleure chose qu’il soit ! Disant cela, il passa sa main sous la robe de sa femme qui était debout à sa droite et vint caresser ses fesses. Regardez moi ce cul ! cria t’il dans un grand éclat de rire.
Sa fille poussa un oh ! outragé tandis que son fils éclata de rire. Sa belle-fille rigola discrètement et le gendre ne put s’empêcher de penser que le vieux avait raison. Sa belle-mère avait un cul à se damner et lorsqu’il leva les yeux vers son visage, il vit qu’elle le fixait d’un air entendu. Un peu embêté par son regard sans ambiguïté, il se dit finalement qu’il n’y avait pas offense, bien au contraire. Les cris agacés de sa femme le sorti de sa torpeur. Elle jugeait l’attitude de son père totalement déplacée, malgré les mots apaisants de sa mère. Et comme son père, provocateur, refusa de lâcher la croupe de son épouse, la fille se leva brusquement et annonça qu’elle entendait aller chercher le gâteau. Compte-tenu de la durée du trajet, elle suggéra que son frère l’accompagne, et puis cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas discuté entre frère et soeur ! Il accepta de bonne grâce, d’autant plus que l’attitude de son père, manifestement ivre, commençait à le mettre mal à l’aise.
III
Le temps que la fratrie s’équipe et prenne la poudre d’escampette, la mère s’était assise sur les genoux de son mari dans l’espoir de le calmer. Mais loin de le calmer, il reprit de plus belle son plaidoyer, s’adressant à son gendre et à sa belle-fille. J’imagine que vous pensez qu’à nos âges on ne baise plus hein ?! Le gendre fit une moue dubitative, presque provocante car la situation pour le moins baroque l’excitait quelque peu. Son beau-père la remarqua naturellement et le rouge lui monta au front. Et bien laissez moi vous dire que vous vous trompez dans les grandes largeurs. Nous faisons encore l’amour comme à nos quinze ans ! Ce fut sa belle-fille qui l’interrompit cette fois-ci par un petit gloussement sceptique qui eu le don de l’énerver un peu plus. Est ce à dire que tu ne me crois pas ? lui lançât il d’une voix étonnamment calme. Elle ne sut que bafouiller quelques mots inaudibles et il enchaina.
Votre belle-mère et moi avons des organes sexuels en bon état de marche, c’est un fait. En disant cela, sa main avait repris ses explorations sous la robe et était venue jouer avec le sexe de son épouse. Il le sentit brûlant et humide, ce qui provoqua chez lui un petit sentiment de surprise. Se pouvait il qu’elle goûte la situation ? Il nota également que son gendre avait un air particulièrement concentré et dévorait des yeux sa femme, dont le spectacle de l’abandon au plaisir était fort excitant. Même sa belle-fille avait les yeux rivés sur sa main, ou plutôt la bosse que sa main dessinait sous la robe par ses mouvements de frottement. Il n’écouta que son instinct quand il poussa délicatement sa femme à se lever devant lui, lui baissa sa culotte et l’assis sur la table, la robe grossièrement retroussée.
IV
Sa femme avait commencé à défaire la ceinture de son mari, déboutonné son pantalon et baissé sa braguette. Elle extirpa de son slip un sexe rose et bandé à craquer, qui dénotait entre ses cuisses flasques à la peau blanche de personne âgé. La belle-fille s’était décalé vers le bout de la table pour mieux voir et apprécier le spectacle et elle ne put retenir un petit cri d’admiration en découvrant la queue de son beau-père. Celui-ci attrapa les deux jambes de son épouse qui se laissa aller en arrière, couchée sur la table. Des deux mains, elle attrapa le sexe de son mari et le guida vers son sexe qu’elle tenait ouvert. Il s’y engouffra précipitamment, comme pour s’y cacher aux yeux de son gendre et de sa bru, mais mû en réalité par un désir et une excitation féroce provoqués par cette exhibitionnisme improvisé.
Il enchaina les coups de reins, stimulé par les cris de jouissance que ne pouvait retenir sa femme. Il sentit que le coup allait partir plus vite qu’à l’accoutumé dans ces conditions et essaya de se détendre. Mais quand sa belle-fille s’approcha encore pour ne rien perdre du spectacle, il sentit que ça allait être difficile. Il arracha ses yeux du décolleté de sa bru et regarda sa femme. A sa grande stupéfaction, elle découvrit qu’elle avait pris le poignet de son gendre, resté de l’autre côte de la table lui, et suçait deux de ses doigts avec une avidité un peu effrayante. C’en était trop, beaucoup trop. Il sentit le sperme monter en jet dans sa queue et lâcha ses décharges au fond du sexe de son épouse, la queue entrée jusque’à la garde, comme il aimait le faire.