IV
Je ne parviens plus à la quitter des yeux, fasciné par la situation et surtout par cette main qui travaille son entrejambe. Cela fait sourire Natacha, bien consciente de la situation. Elle prend même l’initiative d’ouvrir d’avantage la chemisette de sa soeur pour que j’ai une vue pleine et entière sur sa superbe poitrine. Bon Dieu que cherche t’elle ? Clarisse tourne un regard surpris mais approbateur vers sa soeur jumelle. Elle lâche même son sein pour attraper la main de sa soeur et la poser sur sa poitrine. Comme avant, quand jeunes adolescente nous partagions notre chambre et l’exploration de nos désirs… semble elle dire à sa jumelle. Je n’en crois pas mes yeux. Je suis brutalement rappelé à la réalité : je ne sens plus les caresses de Barbara, pourquoi s’arrête t’elle en si bon chemin ? Je tourne la tête vers elle et la trouve debout, les bras croisés. Je lui jette un regard interrogateur. Même Natacha a délaissé les seins de sa soeur et regarde Barbara.
Cette dernière nous annonce qu’elle a un petit souci en montrant mon entrejambe. Je baisse les yeux et je constate effaré que c’est un escargot rabougri qui pend entre mes cuisses. Ma tête incrédule doit être comique car Natacha éclate de rire, faisant même sursauter sa soeur ! Que se passe t’il ? demande Clarisse. Natacha lui montre d’un geste dépité la queue paternelle paresseusement lovée entre mes cuisses. Comment est-ce possible ? Je n’ai pas touché une femme depuis des années, je suis dans une situation des plus excitantes et voici que ma fidèle queue me joue des tours ? Ca n’est vraiment pas le moment et la situation est très embarrassante…
V
Clarisse, Natacha et même Barbara partent dans un énorme fou rire. Je note que celui de Barbara est peut être un peu crispé, elle doit être vexée et moi tellement embêté… Barbara… je murmure son nom en prenant sa main. Je suis désolé, je ne comprend pas. Peut être cela fait il trop longtemps que je n’ai pas fréquenté de femme. Reprenons je t’en prie, c’était délicieux ! Mais Barbara secoue la tête de droite à gauche et va s’assoir dans le canapé à la gauche de Clarisse sans même prendre la peine de refermer son kimono. Je vois encore sa poitrine généreuse et sa toison pubienne. Comment se fait il que je reste ainsi sans réaction ? Ne serais je plus capable de bander tout simplement ? Barbara semble lire dans mes pensées. C’est pas ça le souci dit-elle. Puis prenant Clarisse par le poignet, elle se lève et l’amène devant moi.
Avec beaucoup d’autorité, elle tire le bras de ma fille et vient poser la main de cette dernière sur mon sexe. Nous avons tous les deux un sursaut mais Barbara a la main ferme et je ne peux guère bouger. Le contact de la paume de Clarisse sur ma queue et mes testicules m’électrise et aussitôt je sens mon dard réagir. Barbara enveloppe maintenant la main de Clarisse de sa propre main et semble vouloir lui indiquer la marche à suivre. D’abord la passer sous mes boules, exercer une délicate pression en les massant, puis remonter doucement la main vers mon pieu. J’ai honte tant il se dresse maintenant puissamment. La main de Clarisse, toujours guidé par Barbara, s’en empare doucement et commence de légers mouvements de va et vient. Voilà… murmure Barbara qui lâche la main de son amie et se recule d’un pas pour admirer le spectacle. Clarisse et moi ne disons pas un mot, les yeux plongés dans le regard de l’autre. Mes mains sont collées aux accoudoirs du fauteuil et je suis tendu vers la sensation extrême du plaisir que me procure la main de ma fille sur ma queue. Elle commence à haleter et accélère le mouvement. Elle se déplace légèrement pour être plus à l’aise pour me branler mais aussi pour qu’elle soit à ma portée.
Je profite qu’elle se relève un peu pour passer ma main sous sa robe et la laisser se promener sur ses fesses nues. Je remonte le sillon fessier par l’arrière et vient titiller l’entrée de sa grotte céleste. Elle pousse aussitôt un râle de plaisir qui a le don de faire monter mon excitation en flèche ! Ainsi encouragés, mes doigts ne peuvent résister à la tentation d’y pénétrer. D’abord un doigt qui s’enfonce sans difficulté dans le vagin humide et grand ouvert. Clarisse geint de plus belle et je la pénètre immédiatement avec 3 doigts, tandis que mon pouce va chercher son clitoris. Je sens sa main qui astique mon manche avec toujours plus de vigueur, ses mouvements devenant quelque peu erratiques sous l’effet de l’excitation. Continue, continue ! je lui murmure, mais je sens le jus monter et je commence à craindre une éjaculation plus précoce que je ne le voudrais. J’essaye de me calmer, ouvrant les yeux et regardant du côté de Barbara et Natacha dont j’avais bien sûr complètement oublié l’existence.
VI
Toutes deux sont tendrement enlacées dans le canapé, Barbara a passé ses jambes par dessus celles de Natacha et elles s’embrassent délicatement, leurs lèvres se pinçant doucement, leurs langues se mêlant tantôt superficiellement, tantôt en profondeur. Natacha a profité du kimono toujours grand ouvert pour poser sa main gauche entre les cuisses de Barbara et lui prodiguer un doux massage du clitoris. Barbara a l’air de l’apprécier, ses yeux fermés et ses baisers de plus en plus passifs, laissant la conduite des opérations à Natacha. Natacha par contre a les yeux grands ouverts et ne perd pas une miette du spectacle de sa soeur branlant son père. Nos regards se croisent et elle me sourit, d’un sourire qui veut dire ne m’oublie pas, je t’attends ! Je lui souris à mon tour. Ne t’inquiète pas… Comme pour me provoquer ou accélérer le mouvement, Natacha écarte doucement de sa main les cuisses de Barbara pour que je puisse me repaitre de la vue de son sexe luisant, totalement soumis à la main experte de ma fille. Ses doigts longs et fins écartent ses grandes lèvres tandis que, sans me quitter des yeux, Natacha commence à doigter à son tour sa nouvelle amie. Barbara ne peut alors retenir de bruyant cris de plaisir, bon sang que cela m’excite. Natacha s’en rend compte et accélère le tempo, entre deux doigts dans le sexe de Barbara pour faire monter les décibels. Avec succès ! Alors elle me lâche des yeux et retour embrasser avec avidité Barbara qui n’est plus très loin de l’orgasme.
VII
Un peu en pilotage automatique, j’ai continué à doigter Clarisse qui ne parvient même plus à me masturber. C’est tant mieux car je sens l’orgasme monter en moi. Je sors les doigts de son vagin et comme pour la ramener sur tête, les lui donne à lécher. Elle me prend le poignet et les engouffre dans sa bouche, lapant goulument le jus luisant qui les enduit. Elle se redresse et vient sa placer devant moi, sans l’ombre d’une hésitation. Puis elle pose les genoux de part et d’autre de mes cuisses, me faisant toujours face, et vient positionner sa chatte à l’aplomb de ma queue. Je l’encourage en la prenant par la taille et en lui prodiguant mille caresses. De sa main droite elle s’empare de ma queue, tendue à se rompre, et la positionne à l’entrée de son sexe. Doucement, elle se laisse alors redescendre pour s’empaler sur mon pieu. Il est difficile de décrire la sensation de pénétrer ce fourreau ferme et chaud, qui semble fait pour envelopper mon sexe et lui faire cracher son jus. Mes mains quittent ses hanches pour venir prendre ses seins, nettement plus menus que ceux de Barbara mais tellement fermes ! Je les presse et m’empresse de venir sucer leurs tétons, alternant coups de langue et délicates morsures.
Clarisse a perdu le contrôle de son corps et les deux mains posées sur mes épaules, elle tressaute sur ma queue en rapide mouvements circulaires et de haut en bas. Chaque fois que mon pieu est complètement en elle, que nos pubis sont en contact, elle frotte intensément son clitoris contre mes poils pour en tirer un plaisir supplémentaire. J’adore sentir ma queue entièrement en elle, complètement prise entre ses parois qui exercent un mouvement de succion terriblement excitant. J’essaye d’amplifier ses mouvements par de petits balancements d’avant en arrière et le résultat ne se fait pas attendre. Ma fille, aux portes de l’orgasme, se met littéralement à crier son plaisir ce qui a pour effet de déclencher le mien. Mon pieu libère tout au fond de sa chatte de longs et puissants jets de sperme, liquide chaud qui vient immédiatement envelopper mon sexe que je laisse profondément enfouis en elle. Nous ne faisons plus que de tout petits mouvements de bassin pour accompagner la sensation unique de cet orgasme merveilleusement synchrone. Nous nous reposons, haletants, Clarisse toujours sur mes genoux et mon sexe en elle. Il ne semble pas vouloir débander trop vite mais malgré tout, du sperme commence à couler de sa chatte sur nos cuisses. Elle me regarde en souriant, je suis complètement hébété mais tellement heureux !
VIII
C’est Barbara qui vient nous ramener les pieds sur terre et quelques kleenex pour enlever les effluves séminales. Clarisse se lève, provoquant la sortie à regret de ma queue et tout deux nous essuyons. Barbara a gardé un mouchoir et vient éponger délicatement une goutte de sperme sur le côté de ma cuisse, posant sa main libre sur mon aine. Aussitôt, mon sexe manifeste son enthousiasme en entamant un spectaculaire redressement. On dirait bien qu’on a débloqué quelque chose me murmure t’elle. Mais garde tes forces, j’en connais une qui a besoin de toi ! ajoute t’elle en désignant le sofa où Natacha patiente. Sa chemise est grande ouverte, sans doute le fruit de ses ébats avec Barbara pendant que j’enfilais sa soeur. Ses pieds nus sont posés sur la table basse, bien espacés mais ses genoux sont serrés, comme pour me dire : Viens les écarter si tu peux ! Elle me regarde impassible et je suis de nouveau impressionné par son charme et son charisme.
Je me lève avec difficulté tant je quitte à regret ce fauteuil synonyme de bonheur. Mais Natacha tend sa main vers moi et je me précipite pour répondre à son appel. Ses doigts sont si fins et sa main si menue ! Je la prend et l’embrasse doucement mais longuement. Puis je passe mon bras droit sous ses genoux, les soulève un peu et de la main gauche je déplace la table basse. A l’autre bout du canapé, Clarisse et Barbara se sont installées confortablement, pressentant que le spectacle et la soirée étaient loin d’être terminés. Elles sont collées l’une à l’autre et je sens entre elles une attirance qui va au-delà du jeu sexuel.
IX
La table décalée, je peux me placer en face de Natacha et je m’agenouille lentement. De mes mains je remonte sa courte jupe, dégageant complètement ses jambes entièrement nues. Elle ne porte plus ses bas, pas plus que sa culotte. Posant mes mains sur ses genoux pour les écarter, je commence à lui embrasser l’intérieur des cuisses. Sa peau est douce et chaude mais cela ne l’empêche pas de frissonner brutalement. D’emblée, elle se met à geindre exactement comme le faisait sa mère. Elle écarte encore un peu plus les cuisses, pour me signifier clairement le chemin à suivre. Mais je suis décidé à prendre le temps de savourer la réalisation de ce qui était mon fantasme ultime, je m’en rend bien compte maintenant. Mes baisers rebondissent d’une cuisse à l’autre, de plus en plus appuyés. Je pince parfois sa chair entre mes lèvres, comme pour lui faire un suçon et cela a le don de la faire monter dans les décibels. Je me redresse légèrement et attrapant ses chevilles, je porte maintenant ses petits pieds à ma bouche. Je commence à mordiller et sucer ses orteils. Je pompe sur le gros comme si c’était une queue et je la sens qui fond de plaisir.
Un coup d’oeil sur ma gauche me montre que Barbara et Clarisse sont fascinées par le tableau qu’elles ont sous les yeux, regardant tantôt Natacha avec envie, tantôt ma bouche au travail. Toutes deux ont la main glissée entre leurs cuisses et tente de se donner un plaisir comparable. Enfin je me décide à attaquer frontalement le sexe de ma fille, donnant un grand coup de langue de bas en haut pour finir par une longue succion de son clitoris. Les 3 filles râlent de concert, y compris les 2 qui par procuration, vivent le plaisir indicible qui s’affiche sur le visage extatique de Natacha. Sa main droite vient attraper mes cheveux, comme pour s’assurer que ma bouche ne la ferait plus languir et ne quitterait plus l’entrée de sa caverne, tandis que la gauche martyrise ses tétons qu’elle tourne et tire sans délicatesse.
Alors je me déchaine, sentant son jus ruisseler autour et dans ma bouche, lançant ma langue en avant, sur les côtés, mes lèvres pinçant son clitoris pour le malaxer et le tirer, je suis littéralement en transe face au sexe de ma fille. Elle m’encourage à accentuer la pression et à faire pénétrer encore d’avantage ma langue qui commence à fatiguer. Clarisse s’est approchée de nous et m’encourage de sa petite voix. Vas-y papa, vas-y ! Elle passe en même temps sa main sous mon ventre et vient attraper ma queue qui est dure comme tu bois. Elle la caresse et la masturbe doucement, mais il n’est décidément pas nécessaire de la stimuler. Enfin, je me redresse et sors la tête de l’entrejambe de Natacha pour reprendre mon souffle. Elle a lâché mes cheveux et, tout en me regardant droit dans les yeux, me murmure : Viens maintenant…
X
Alors je finis de me redresser, tout en restant à genoux pour être à bonne hauteur. Mes mains encadrent et caressent le visage de Natacha, sans me préoccuper de mon pieu, bien aux mains de Clarisse. Celle-ci le tire légèrement en direction du sexe de sa soeur qu’elle vient frotter du bout du gland. Natacha ne peut retenir ses gémissements et ferme les yeux, attrapant ma tête dans ses bras et la poussant vers sa poitrine. Je commence à l’embrasser et à lécher ses tétons mais mon esprit est concentré sur mon sexe, à la merci de Clarisse. J’ai tellement envie de pénétrer sa soeur, j’espère qu’elle ne voudra pas jouer trop longtemps ! C’est Natacha qui donne le signal à Clarisse d’un simple mouvement de tête. Je sens alors ma queue fermement guidée vers le vagin de Natacha et qui la pénètre avec autorité.
La sensation est encore une fois plus que délicieuse, son étroit fourreau semble avoir été dessiné pour ma bite. Je la pénètre doucement, faisant entrer à peine plus que mon gland, puis je ressors complètement, avant de recommencer ce demi-mouvement, parfois avec l’aide de sa soeur lorsque je ressors un peu trop. Je crée de la frustration pour nous deux, je le sens bien à ses petits mouvements de bassin qui cherche à faire entrer plus profondément mon dard. Mais je veux garder le contrôle et faire durer le plaisir. Car bien que ce soit ma deuxième éjaculation de la soirée, je sens qu’une fois totalement en elle, il va m’être difficile de me retenir. Alors j’entame un mouvement régulier de va-et-vient qui, petit à petit, va plus vite et plus profondément dans le sexe de ma fille.
Natacha semble perdre totalement le contrôle de son état, ce qui contraste avec son habituel calme olympien. Elle se met à se tortiller frénétiquement, croisant ses jambes derrière mon dos et poussant violemment avec ses talons pour que je l’enfile toujours plus fort et plus profondément. J’ai de plus en plus de mal à résister à ses injonctions physiques qu’elle accompagne d’une litanie de Baise moi ! qu’elle répète à l’envie. Baise moi ! Baise moi ! Je suis maintenant totalement en elle, la soulevant littéralement du canapé à chaque mouvement avant de l’y écraser dans un fracas de gémissements à chaque poussée.
J’ai à peine le temps d’apercevoir que Clarisse, délaissant son père et sa soeur, est venue se positionner aux pieds de Barbara et, suivant mon exemple, lui broute la chatte avec frénésie. Je vois qu’elle essaye, par des regards en coin, de combiner son cunnilingus et le spectacle que je lui offre avec Natacha. Sa main s’agite également sur son sexe en des mouvements que l’excitation rend désordonnés. Barbara halète les yeux fermés et semble proche de l’orgasme. Je vois des petits jets d’urine couler entre ses cuisses et qui ne semblent pas perturber Clarisse, bien au contraire.
XI
Nos orgasmes sont parfaitement synchronisés. Pendant que Barbara se cabre sous les coups de langue de Clarisse, je remplie le sexe de Natacha de puissantes giclées de sperme. Je le sens déjà qui ruisselle le long de ma queue et qui commence à gouter sur mes cuisses. Je m’affale doucement sur elle et maintient ma queue totalement bien au chaud au fond de sa chatte où elle se sent si bien. Cette jouissance est absolument indescriptible, d’autant plus qu’elle est partagée avec ces personnes si précieuses. Nous restons ainsi tous les quatre de longues minutes, reprenant nos esprits.
C’est Clarisse une nouvelle fois qui brise le silence. Il va y avoir un peu de nettoyage à faire ! dit-elle en éclatant de rire. Tous nous rions de bon coeur. Nous nous revêtissons sommairement pour remettre un peu d’ordre dans la maison avant d’aller nous coucher. Nous sommes tous épuisés. Je propose à Barbara de rester dormir avec nous, et avec moi pour être plus précis, les filles ayant déjà regagné leur chambre. Elle me fait la joie d’accepter.
Nous prenons une longue douche ensemble, pendant laquelle le désir a le temps de reprendre place dans nos esprits. Barbara est une belle personne dans tous les sens du terme et je suis heureux de trouver la force de faire l’amour avec elle avant que nous sombrions dans le sommeil.
Epilogue
Trois ans plus tard, Barbara est devenue le pilier de ma vie et ma compagne. C’est elle qui m’a incité à écrire et publier ce texte. Mes deux filles continuent à passer nous voir très régulièrement et nous revivons souvent, à 3 ou à 4, les instants magiques que vous venez de lire. Toutes les deux sont désormais en couple. Natacha avec Thomas, un ami rencontré au club de tennis et Clarisse avec… une collègue de bureau, Sali. Tous les deux sont au courant de nos ébats intra-familiaux et même y ont pris part. Peut être serez vous intéressé à ce que je vous les raconte ?
**************************
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise tout en vous attirant.