I
Mes deux filles Natacha et Clarisse ont 31 ans toutes les deux. Elles sont jumelles et se ressemblent toujours comme deux gouttes d’eau. Depuis le premier jour, les gens ne parviennent pas à les distinguer et même ma femme et moi, quand elles décidaient de nous tromper en guise d’amusement, nous laissions prendre ! C’était l’un de leurs jeux favoris enfant, parfaitement emblématique de la complicité qu’elles ont toujours eu. Car en plus de la ressemblance physique, leurs tempéraments est également très proche. Libres, énergiques, sûres d’elles. Il faut dire que leurs beautés éclatantes les y a beaucoup aidées. Elles ressemblent tellement à leur mère. Depuis son décès il y a 5 ans, des suites d’une longue maladie selon l’expression tristement consacrée, elles sont les seules boussoles de ma vie. Mais je vois revivre leur mère au travers d’elles et il m’arrive souvent d’admirer leurs silhouettes, d’y retrouver la taille mince de mon amour, surmontant des hanches et des fesses exubérantes, surmonter par une poitrine menue et bien formée. Leurs beaux visages encadrées de longs cheveux blonds ondulés appellent mes caresses qu’elles reçoivent en souriant gentiment. Maman leur manque également et elles comprennent mon besoin de les étreindre, de fermer les yeux et d’imaginer, pendant quelques secondes, qu’elle est toujours là. Je laisse parfois ma main glisser sur leurs fesses et sentir leur galbe se caler gentiment dans le creux de ma paume. Je pourrais rester ainsi des heures mais elles finissent par me repousser doucement, tendrement.
Particulièrement ce jour de noël. Nous réveillonnons comme toujours tous les trois et nous avons beaucoup à faire pour préparer une soirée que chacun prédit comme mémorable. Clarisse et Natacha m’ont annoncé une surprise de taille ! Un vrai cadeau de noël comme peu en reçoivent. Je les regarde interrogateur et vaguement circonspect. J’y tiens à ma soirée de noël avec mes filles et à son rituel. Après un excellent diner, nous avons pour habitude de regarder un bon film classique, serrés dans mon petit canapé, une fille de chaque côté, sous une petite couverture, bien au chaud. Un instant calin comme je n’en n’ai plus guère, mes soirées étant solitaire la plupart du temps… J’aime tellement ce temps de contact et de chaleur humaine. J’avoue même parfois chercher le contact physique lorsque négligemment je laisse pendre ma main, mon bras sur son épaule, en direction de sa poitrine. Je ne fais que l’effleurer, sentir sa souplesse ferme, mais cela me suffit et me ravit. Cela ne semble pas la contrarier non plus, elle qui se colle d’avantage à moi et pose ses mains sur ma cuisse, à quelques centimètres de mon entrejambe, sans aucune gêne. Seules leurs jambes nues dépassent de la couverture, posées sur la table basse. Et j’admire leurs lignes galbées, leurs fines chevilles et je me remémore le temps où j’aimais glisser ma tête entre les cuisses de ma défunte femme et l’envoyer au 7ème ciel par des cunnilingus interminables. Bon sang qu’elle aimait ça ! Et moi aussi. Je ne pouvais m’empêcher de me demander si ses filles aimaient ça aussi, et de m’imaginer la tête entre leurs jolies jambes.
II
Mais elles avaient décidé d’un tout autre programme et m’avaient commandé de m’habiller soigneusement. Dressant une table pour 4, elles m’annoncèrent une invitée surprise pour ce réveillons. D’abord contrarié de devoir renoncer à mes traditionnelles papouilles vaguement perverses devant un bon film, la curiosité avait pris le dessus. Que me réservaient mes diablesses qui, je l’avais tout de suite remarqué, étaient non seulement très chics mais également sensuelles en diable. Natacha portait son éternelle jupe courte qu’elle avait assorti à un chemisier de flanelle très échancré. Il était très difficile d’arracher son regard de son décolleté et quand on y parvenait, c’était pour noter ses bas noirs à jarretelle élastique que l’ont apercevait au moindre mouvement. Elle était sublime. Quant à sa soeur Clarisse, elle avait adopté le style robe de soirée estival, à dos nu et relativement courte puisqu’elle finissait au dessus des genoux. Comment se fait il que ces deux là ne soit pas encore mariées et mères me demandais-je. Les prétendants ne devaient pas manquer or je n’en avais encore rencontré aucun. Pas le moindre ! Je m’égarais dans mes pensées, les observant le regard vague, toutes les deux collées à un téléphone et semblant taper frénétiquement des messages. Enfin Natacha posa le téléphone sur le bar de la cuisine et m’annonça l’arrivée imminente de mon « cadeau ». Seigneur, qu’avaient elles encore inventé !?
De fait, on sonne à la porte quelques minutes plus tard et j’ouvre à une personne… comment dire ? A laquelle je ne m’attendais pas. C’est une femme d’une quarantaine d’année, très belle quoiqu’un peu trop maquillée à mon goût. Ses fringues sont manifestement conçus pour mettre en valeur son généreux sillon mammaire et son cul qui, je dois bien le reconnaître, est superbe. Elle me salut doucement et m’annonce s’appeler Barbara, pénétrant avant même que je l’y invite dans la maison. Elle a vu mes 2 filles juste derrière moi et leur a fait un sourire entendu. Je referme la porte et je les suis toutes les 3 dans le salon. 3 fessiers de compétition ne puis-je m’empêcher de penser. Mais que diable fait cette Barbara ici ? Assied toi dans le canapé papa me dit Clarisse. On va tout t’expliquer. Barbara est une amie du travail, je la connais depuis plus de 3 ans. Avec Natacha, on a remarqué que tu étais en manque de câlin, et on le comprend ! Maman n’est plus là depuis si longtemps. On voit bien que tu as du mal à imaginer la remplacer, et ça aussi on le comprend ! Barbara a des loisirs un peu particuliers. Il lui arrive les week-end de passer du temps avec des messieurs dans des clubs libertins. Nous voulons que Barbara passe la soirée avec nous et que, si tu le souhaites, vous puissiez ensuite prendre ensemble du bon temps. C’est ça notre cadeau !
Je sens dans son regard plus d’inquiétude qu’elle ne voudrait le laisser paraitre. Natacha aussi guette ma réaction. J’avoue être estomaqué. Mes filles jouent les entremetteuses ! L’intention est bonne et je perçois leur affection derrière cette démarche surprenante. Je souris un peu crispé, mon regard passe de l’une à l’autre avant de se poser, gêné, sur Barbara. Son attitude calme et bienveillante me rassure d’un coup et je parviens enfin à articuler quelques mots. Comme c’est gentil ! je murmure. Barbara, soyez la bienvenue dans notre maison, je veux que vous vous sentiez à l’aise sans quoi… Je ne parviens pas à finir ma phrase mais tout le monde à compris. Barbara éclate de rire et m’invite à m’assoir à côté d’elle dans le canapé. Je m’exécute sans difficulté pendant que Natacha va chercher une bouteille de champagne au frigo. Elle la débouche et se penche pour remplir nos verres sur la table basse. Son porte jarretelle apparait avec le haut de ses jambes et je ne peux m’empêcher de les admirer. Cette divine vision m’émoustille et je pose ma main sur le genou de Barbara qui me regarde affectueusement. Nous trinquons alors à cette soirée de noël qui s’annonce très spéciale ! Toute ma contrariété s’est évaporée comme par magie.
III
L’apéritif se prolonge d’une deuxième bouteille de Dom Pérignon puis nous passons à table. Le repas est très enjoué, il faut reconnaitre que Barbara a le don de mettre à l’aise et de créer une atmosphère très détendue. Nous nous tutoyons et il me semble même la connaitre depuis longtemps. Je suis bien décidé à profiter de cette belle opportunité que m’offrent mes filles et je ralentis même sur la consommation de vin pour garder une forme suffisante pour le reste de la soirée. C’est que je ne suis plus tout jeune ! Mais je ne me suis que rarement senti aussi gaillard. Nous avons même commencé à nous embrasser comme deux adolescents et nos mains se perdent régulièrement sous la nappe ! Mais le regard mi-amusé mi-accusateur de mes filles calme nos ardeurs et nous commençons à ressentir l’envie que le repas se termine vite !
Enfin nous passons au salon pour une tisane. Fidèle à ma stratégie, je n’ai pas poussé pour que nous prenions un digestif. Les filles m’installent dans le fauteuil cette fois-ci car, m’annoncent-elles, je ne suis pas encore au bout de mes surprises ! Barbara s’est éclipsée je ne sais où et Natacha à éteint le plafonnier pour créer une ambiance tamisée. Une musique sensuelle retentit et en même temps, Barbara apparait en face de moi, vêtue d’un simple kimono blanc. Est-elle nue dessous ? Je ne vais pas tarder à le savoir à mon avis… Au rythme de la musique, elle s’approche virevoltante de moi, enchainant les entre-chats et les tours sur elle-même. Enfin, elle vient se poser devant moi et attrape de ses deux mains la ceinture de son kimono. Son regard interrogateur semble me demander si je veux en voir plus. Tu m’étonnes ! Je glisse une main sous la soie et vais directement prendre sa fesse. Elle sursaute légèrement mais semble satisfaite de la réponse ! J’ai sous la main une merveille de chair, douce et ferme, parfaitement adaptée à la forme de ma main qui ne sait où donner des caresses.
Sa main droite tire alors sur la ceinture et son kimono s’ouvre, découvrant une poitrine magnifique, dominant son ventre plat et musclé. Je ramène les mains devant et vais explorer ces seins qui me sont réservés. J’avais même fini par oublier le bonheur de pouvoir jouer avec une belles paires comme celle-ci ! Quelle bonne idée ces deux coquines ont eu ! Je les cherche des yeux d’ailleurs et je constate qu’elles ne perdent pas une miette du spectacle. Il me semble même que Clarisse remonte vivement sa main quand mon regard s’est tourné vers elle. Curieusement, j’aime l’idée de leur présence et je ne ressent aucune gêne. Barbara s’est approché de moi encore un peu plus pour que je puisse embrasser ses tétons, les mordiller et les lécher. Elle soupire bruyamment et sa main gauche soulève l’un de ses seins pour me faciliter le travail. Ou maximiser son plaisir, va savoir ! Sa main droite quant à elle part explorer mon entrejambe. Elle a tôt fait de déboutonner mon pantalon et de se glisser dans mon caleçon. Je sens ses doigts frais qui caressent ma queue et vont chercher mes boules. Elles les prend à pleine main et fait mine de tirer dessus. Je tressaille de bonheur et elle éclate d’un rire qui m’enchante. Mes mains ne savent plus à quel sein se vouer et mon regard part à nouveau à la recherche de Clarisse et Natacha. Elles sont maintenant confortablement installées dans le canapé et nous observe sans vergogne. Natacha se tient bien droite, calée dans l’angle du canapé entre le dossier et l’accoudoir. Elle nous reluque avec son regard, intense et impassible en même temps, que j’ai toujours admiré. Sa soeur Clarisse est quant à elle vautrée dans le canapé, à moitié appuyée sur sa soeur et les 2 pieds posés sur la table basse. Elle nous regarde également mais avec un air presque inquiétant. Sa robe est remontée sur sa taille, ses jambes légèrement écartées et sa main court sous sa culotte en petit mouvement circulaire. Sa poitrine à moitié dénudée par sa main gauche qui masse ses seins se soulève à haute fréquence au rythme des halètement de plaisir que ma fille ne peut retenir.
(à suivre : second chapitre)