Résumé : Maximus est un valeur chef militaire romain et de passage à Rome, est sollicité par l’Impératrice Livie pour mettre enceinte ses 2 filles Maria et Maia, mariées à 2 sénateurs sans grandes qualités. Il est d’abord lavé et vidangé une première fois par Julia, la confidente de Livie, pour renouveler la semence du Centurion, puis il copule avec la fille ainée Maria. Après cela, Livie l’invite à diner dans ses appartements où ils s’accouplent à leur tour sous la houlette de l’Empereur lui-même.
XVII
C’est avec un sentiment de plénitude totale que Maximus regagne ses appartements dans le palais impérial qui domine Rome. La perspective de retrouver femme et enfant le lendemain emplit son coeur de joie que ne ternit pas l’adultère à répétition auquel il se livre avec l’Impératrice et ses filles. Son sens du devoir l’explique et l’impose et laisse intact l’amour qu’il porte à sa femme. D’ailleurs, la simple perspective de ses retrouvailles toutes proches redonne vie à son sexe qui regonfle sous sa toge…
Lorsqu’il regagne ses pénates, il prend tout juste la peine de se déshabiller et se jette nu sur son lit où il s’endort instantanément dans la moiteur de l’été romain.
XVIII
En bon soldat, Maximus se réveille avec le jour et quoique courte, la nuit l’a parfaitement reposé et il se sent une grande énergie. Il se rend sur la terrasse et constate que la journée s’annonce magnifique. L’air est déjà chaud et Maximus renonce vite à ses exercices matinaux, bien décidé à garder son énergie pour les défis physiques qui l’attendent aujourd’hui. Alors qu’il rentre dans son appartement, il entend frapper à la porte et celle-ci s’ouvre en grand sans même attendre son invitation à entrer ! Il reconnait la délicieuse Julia qui s’est si bien occupé de lui lors de son arrivée au palais. Il lui adresse un léger sourire et l’invite à s’exprimer.
- Ave Maximus. J’espère que ta nuit a été bonne. Tu es attendu dans les appartements de Maia, la seconde fille de Tibère et Livie, dans les meilleurs délais. Ils se trouvent juste à gauche de l’appartement de l’Impératrice dont tu connais le chemin je crois… A tout de suite.
Et Julia de tourner des talons et sortir comme un courant d’air. A t’il senti une pointe de jalousie dans la dernière phrase de Julia ? songe t’il en souriant. Peu importe il doit se hâter. Quelle idée que cette heure si matinale ?! Maximus n’a même pas le temps de prendre un petit déjeuner. Il fait sa toilette à la hâte mais soigneusement, attrape une pomme et sort de sa chambre, prenant la direction des quartiers impériaux.
XIX
Maximus frappe doucement à la porte juste à gauche de celle de l’Impératrice et comme la veille, il a la surprise de voir apparaitre le visage de l’Empereur quand on lui ouvre. Majesté… marmonne Maximus quelque peu déstabilisé.
- Entre ! lui dit l’Empereur. Je comprend à nouveau ta surprise mais tu commences à avoir l’habitude je pense. Je suis ici car je veux m’assurer que tout se passe conformément à mes souhaits, tout simplement. Et je dois être au Sénat à 10 heures ce matin, d’où cet horaire un peu matinal mais j’ai pensé que cela n’indisposerait pas un militaire comme toi.
Maximus réprime difficilement sa surprise et cherche Livie du regard mais elle ne se trouve pas dans la pièce. Il n’y a ici que l’Empereur, Maximus et sa jeune fille Maia qui dort encore à poing fermé sur son immense lit. Elle est totalement nue et le sommeil lui donne une pose tout à fait impudique, couchée sur le ventre, une jambe repliée vers le haut, dégageant son sillon fessier et sa vulve quasiment imberbe qu’elle offre à la vue de Maximus. Il se tourne vers l’Empereur et constate que ses yeux sont également fixés sur l’anatomie de sa propre fille. Tibère se tourne vers Maximus et l’invite à s’approcher du lit.
- Je compte sur toi pour lui offrir un réveil aussi doux qu’agréable ! lui lance l’Empereur.
XX
En s’approchant du lit de Maia, Maximus est frappé par sa ressemblance avec sa mère Livie. Des formes sublimes, un visage d’une beauté grave qu’accentue le sommeil. Le Centurion finit par s’assoir au bord du lit, ne sachant que faire. Il sent la présence de l’Empereur à ses côtés, qui s’impatiente et prend les choses en main.
- Qu’attends tu Maximus ? N’est elle pas assez jolie pour toi ? Réveille-la ! Caresse la par exemple.
Joignant la parole et les actes, Tibère pose sa main sur le dos de sa fille et commence à la caresser délicatement. Puis sa main descend sur les fesses de Maia où elles se font langoureuses, prenant chaque petit globe au creux de sa main et se rapprochant progressivement du sillon offert à la vue des deux hommes. Maximus regarde, interdit, l’expression des désirs impurs de Tibère sur sa fille. Il lui prend alors la main et lui dit :
- Laisse moi faire mon Empereur, je pense avoir compris ce que tu attends.
Tibère le regarde d’un air hébété, surpris de l’autorité de son Centurion et déstabilisé par le spectacle qu’il vient d’offrir.
XXI
Maximus se penche alors sur la jeune fille de l’Empereur et vient déposer un baiser sur son épaule tout en reprenant les caresses de son père. La Princesse ne tarde pas à ouvrir les yeux et reconnaissant le soldat lui dit :
- Oh Maximus c’est toi ? Je ne t’attendais pas si tôt. Est-ce ma mère qui t’a fait venir ?
- Non princesse, c’est ton père lui-même qui m’a convoqué à cette heure matinale qui lui sied mieux semble t’il. Il pourra d’ailleurs te le dire en personne puisqu’il est là.
Maximus voit les yeux de Maia scruter la pénombre et, apercevant son père, lui lancer :
- Mère n’est pas là ? Elle m’a pourtant dit qu’elle m’accompagnerait de ses conseils dans notre mission avec Maximus.
- Non ta mère est retenue, je la remplace pour veiller à ce que tout se passe bien.
- Tu vas rester avec nous Père ? demande la Princesse un peu surprise. Cela ne t’embarrasse pas ?
- J’ai promis à ta mère de veiller sur toi et je vais le faire. Je vais m’installer dans ce fauteuil au fond de ta chambre je ne vous dérangerai pas.
XXII
La Princesse Maia semble accepter cette situation incongrue et se tourne vers Maximus. Elle pose sa main sur sa joue et lui demande :
- Comment veux tu que nous fassions ?
- Laisse moi faire si tu le veux bien Maia, je ferai en sorte que cela soit agréable et rapide.
En disant cela, Maximus invite du geste la Princesse à se coucher sur le dos au milieu de son lit. Puis se dirigeant vers elle à quatre pattes, lui fait écarter les jambes en poussant doucement sur ses deux genoux. Il vient se placer entre les jambes de Maia qui suit son manège d’un regard où se mêle appréhension et excitation. Est-elle encore vierge se demande Maximus. Sans doute pas puisqu’elle est mariée depuis 3 ans. Enfin, Maximus se penche est vient déposer un nouveau baiser sur le pubis, quasi glabre, de la Princesse. Aussitôt, celle-ci lui prend les cheveux comme elle attraperait la laisse d’un chien prêt à mordre, soit pour le retenir, soit pour l’encourager. Maximus opte pour la seconde option et laisse ses lèvres descendre vers la fente de Maia. Elle porte déjà des traces d’humidité et le Centurion envoie sa langue explorer la jeune cavité. La Princesse réagit comme si la langue de Maximus était de feu, se cambre et se contracte à chaque coup qui pénètre son intimité, la voulant plus large, plus vigoureuse et plus profonde. Elle tire sur les cheveux du militaire et croise ses jambes dans son dos, crochetant ses petits pieds pour pouvoir pousser encore davantage la bouche de Maximus contre sa vulve maintenant trempée.
Déjà les soupirs de plaisir de la Princesse résonne bruyamment dans toute sa chambre et cela rappelle à Maximus la présence de son Empereur. Relevant légèrement la tête pour s’occuper du clitoris de la Princesse, ses yeux se dirigent vers le siège où l’Empereur a pris place. A sa grande surprise, celui-ci a remonté sa toge pour libérer sa queue qu’il caresse et branle vigoureusement. La vision de sa propre fille jouissant entre les bras de Maximus l’excite au plus haut point et Maximus comprend enfin la raison de cette organisation de dernière minute, loin de l’Impératrice Livie.
XXIII
L’Empereur espérait sans doute calmer ses pulsions incestueuses en assistant à la fécondation de sa fille par le bel étalon. Mais de toute évidence, il obtient le résultat inverse et Maximus s’attend, non sans appréhension, à le voir traverser la pièce pour le rejoindre dans le lit avec sa fille à tout moment. Cela le décide à passer à l’acte plus rapidement qu’il ne l’aurait sans doute fait dans d’autres circonstances. Il remonte le long du ventre et de la poitrine de la Princesse par petites touches de baisers sur sa peau douce et bronzée. Enfin leurs deux visages se font face et ils s’embrassent doucement. Ce baiser n’est pas obligatoire mais la jeune Maia se révèle ardente amante et c’est elle qui mène le bal. Son jeu de langue témoigne d’une riche expérience et Maximus se laisse emporter sur le fleuve du plaisir qui le submerge.
La Princesse descend les mains et attrape la queue du beau Centurion, la dirige vers sa grotte désormais accueillante. Maximus est ravi et pousse sur ses reins sans tarder. La Princesse ne peut retenir un petit cri aux premiers centimètres de la pénétration mais très vite le cri se transforme en soupirs intenses.
- Oui Maximus, continue, prend moi, pénètre moi, féconde moi de ta précieuse semence, je le veux ! Encore, encore, plus fort, oui !
La Princesse Maia se révèle de plus en plus comme une épicurienne et une jouisseuse que sa condition et son éducation ne laissaient pas deviner. Maximus en éprouve un intense soulagement, sa mission se révélant alors bien plus simple qu’il ne le craignait. Il en ressent un regain de vigueur et décide de labourer plus vigoureusement les entrailles de la Princesse. Il est pressé de s’acquitter de sa tâche mais il est tout de même décidé à prendre son temps pour profiter de cette merveilleuse princesse sauvage et magnifique.
XXIV
Tandis que Maximus besogne avec ardeur et sent l’éjaculation arriver, il est frappé par le silence qui règne dans la chambre. Pourquoi n’entend il plus la Princesse ? S’est elle lassée ? Il se redresse sur les coudes pour voir le beau visage de Maia et ce qu’il découvre le stupéfie. Son père Tibère se tient debout au bord du lit, à côté de la tête de sa fille qui a le dard royal dans la bouche et le suce avec gourmandise. Maximus n’en crois pas ses yeux et arrête ses mouvements. Tibère et Maia se tournent dans un bel ensemble dans sa direction et la Princesse, lâchant la queue de son père, lui lance :
- Continue mon beau Maximus, je t’en prie continue ! C’est si bon de vous avoir tous les deux pour moi.
Maximus sent ses forces l’abandonner et le sang refluer dangereusement de son dard. La Princesse de reprendre :
- Je vous en prie, j’aimerai tellement que vous jouissiez tous les deux ensemble en moi, est ce trop demander ?
Tibère lance un regard à Maximus qui n’a nul besoin d’explication. Il doit s’exécuter. Maia reprend le sexe de son père dans sa bouche et reprend sa fellation avec une ardeur qui impressionne, et pour tout dire qui excite également terriblement Maximus dont le pieu retrouve toute sa vigueur.
Alors, s’abandonnant à son destin d’objet sexuel, Maximus reprend son labeur et remet en route son piston de chair, l’enfonçant désormais sans retenue, sans brutalité mais avec une vigueur qui arrache des cris étouffés à la Princesse. Maximus remonte les pieds de Maia sur ses épaules, en prend même un dans sa bouche, ouvrant ses cuisses de part et d’autre de la Princesse pour pouvoir pousser au plus profond de la Princesse. Elle semble perdre la tête mais continue malgré tout à sucer magnifiquement son père qui, les yeux fermés, grogne bruyamment son plaisir.
Maximus ne parvient pas à quitter des yeux les lèvres de Maia qui coulissent sur le dard paternel et il ne peut s’empêcher de l’envier. Peut être la réciproque est-elle vraie d’ailleurs car Tibère a le regard rivé sur le pieu du Centurion qui laboure les entrailles de sa fille. Petit à petit les deux hommes semblent se synchroniser et sans surprise, il explose tout les deux en même temps, dans le même râle de jouissance. Maximus voit la queue de l’Empereur se raidir et devine les larges giclées de sperme qui inonde la bouche de sa fille, tout comme les siennes inondent son sexe.
Ereinté, Maximus se laisse tomber aux côtés de la Princesse, couvert de sueur malgré l’air encore relativement frais de ce début de matinée. Tibère se tient debout et s’est prestement rhabillé.
- Que ceci reste entre nous trois, est ce bien compris Maximus ? Autant je te suis gré de ce qu’il vient de se passer, autant ma colère serait terrible si cela venait à se savoir. Y compris par Livie.
Et l’Empereur de tourner les talons et sortir de la pièce. C’est Maia qui brise le silence pesant qui s’en suit.
- Ne te fais pas de souci Maximus, Livie sait bien plus de choses qu’il ne le croit. Et je ne brise pas un secret en te disant qu’elle t’a préparé une surprise pour te remercier de ton dévouement ! dit elle dans un grand éclat de rire.
(à suivre)
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