Résumé : Maximus est un valeur chef militaire romain et de passage à Rome, est sollicité par l’Impératrice Livie pour mettre enceinte ses 2 filles Maria et Maia, mariées à 2 sénateurs sans grandes qualités. Il est d’abord lavé et vidangé une première fois par Julia, la confidente de Livie, pour renouveler la semence du Centurion, puis il copule avec la fille ainée Maria. Après cela, Livie l’invite à diner dans ses appartements.
XII
C’est peu dire que Maximus est stupéfait quand s’ouvre la porte de l’appartement de l’Impératrice à laquelle il vient de toquer. C’est l’Empereur Tibère lui-même qui vient lui ouvrir ! Son voyage en province a t’il été annulé ? Peut être a t’il craint l’adultère de sa femme et reporté lui-même son déplacement ? Maximus est sur la défensive lorsqu’il pénètre dans les appartements de Livie.
- Entre sans crainte, lui dit l’Empereur. Je comprend ta surprise car j’ai moi-même organisé ce faux déplacement en Toscane. Nul ne doit savoir que je suis à Rome ce soir. C’est pour cela que nous ne serons que tous les trois si cela ne te gène pas.
Maximus hoche la tête en signe d’assentiment. L’heure doit être grave pour que Tibère prenne de tels risques. Et l’Empereur de poursuivre.
- Sache tout d’abord que ta femme et ton fils prendront la route demain sous bonne escorte, et devrait être là en fin de journée.
Maximus ne peut réfréner un grand sourire et de balbutier de vagues remerciements.
- Mais en attendant, Maximus, tu es tout à nous. Je te remercie d’avoir bien voulu répondre favorablement à notre demande de féconder nos filles. La survie de l’Empire est en jeu. Mais ce soir je voudrais te demander quelque chose de plus personnel si tu n’y vois pas d’inconvénient.
L’Empereur laisse quelques secondes à Maximus pour exprimer un quelconque désaccord qui ne vient pas. Il poursuit.
- Livie m’a dit que tes ébats avec Maria ne l’avaient pas laissé indifférente et que tu avais toi aussi du mal à cacher ton attrait pour mon épouse. Rassure toi j’en suis fort aise ! D’autant plus que l’âge m’a rattrapé et que depuis trop longtemps je ne peux honorer dignement Livie. Or son bonheur et son plaisir sont tout autant ma priorité que la descendance de mes filles. Aussi, je te demande de lui offrir le plaisir que je ne peux lui offrir moi-même et de m’autoriser à vous regarder faire, voire à participer à ma façon. Y consens tu ?
XIII
Entre son désir pour Livie et son sens du devoir envers l’Empereur, le choix de Maximus est bien vite fait.
- D’accord ô César, je t’obéirai une fois de plus et ce ne sera pas la plus difficile décision de ma vie ! Je reconnais bien volontiers que Livie est une femme magnifique que n’importe quel homme désirerai.
Tibère éclate de rire devant l’humour inattendu de son Centurion et sa franchise.
- Très bien ! Vois le bon bain chaud qui t’attend ici, dit l’Empereur en désignant une grande baignoire trônant au milieu de la pièce, Fais attention l’eau doit être très chaude. Vas y, Livie va te rejoindre.
Aussi impatient qu’intimidé, Maximus quitte en quelques mouvements la toge légère qui couvrait son corps. C’est entièrement nu qu’il se glisse dans l’eau chaude.
- Ton corps est l’authentique livre de tes exploits et de tes sacrifices ! lui lance Tibère en faisant allusion à ses nombreuses cicatrices. S’approchant de Maximus, il en touche une particulièrement imposante sur sa poitrine. Celle-ci a dû être bien pénible… ajoute t’il d’un air songeur.
Maximus ne crois pas utile de répondre et sa relative pudeur lui commande de se mettre dans l’eau. Son corps enveloppé du liquide chaud est un délice pour celui qui n’avait pas connu pareil privilège depuis deux ans. Maximus s’allonge de tout son long, sans parvenir à toucher l’autre extrémité de la baignoire tant elle est grande, et appuyé contre le rebord, se laisse aller à fermer les yeux.
XIV
C’est le bruit de l’eau qui le sort de sa torpeur. Debout face à lui, Livie pénètre à son tour dans la baignoire. Elle est nue et Maximus admire toutes les formes de sa reine. Il est tout d’abord frappé par son ventre plat et sculpté, à la taille étroite qui surmonte des hanches généreuses. Au-dessus de son ventre pendent 2 superbes seins tout aussi généreux, qui oscillent paresseusement au gré des mouvements de Livie pour venir s’assoir en face de Maximus. Elle s’adosse à son tour et laisse glisser ses jambes qui entrent en contact avec celles du Centurion. Il en frissonne de plaisir et sa main droite attrape le petit pied de l’Impératrice qu’il commence à masser tendrement. Tibère est assis à proximité de la baignoire et ne perd pas une goutte du spectacle sensuel qui s’engage. A travers l’eau il aperçoit le pied droit de Livie qui se faufile vers l’entrejambe du militaire. Maximus ne peut réprimer un léger sursaut quand les orteils de l’Impératrice se pose doucement sur sa verge et commence à la masser. Il se laisse aller en arrière pour mieux savourer la sensation délicieuse de ce petit pied, bien vite rejoint par le deuxième et qui de concert commence à le branler avec une habileté diabolique, alternant les caresses du plat du pied aux piétinements, à la limite de la douleur, de ses testicules. Maximus sent qu’il est en train de perdre le contrôle et attrape les 2 mollets de la reine pour se donner une contenance. Ils sont longs et fins et très doux, il le sent sous ses doigts qui jouent avec les muscles longilignes. Il voit l’Empereur qui s’est rapproché pour embrasser sa femme et caresser ses seins, comme pour l’encourager à aller plus loin. Leurs lèvres se séparent et Tibère glisse délicatement sa main dans le dos de sa femme et, la poussant doucement, l’invite à se rapprocher de Maximus. L’Empereur a décidé qu’il était l’heure de s’accoupler.
XV
Livie se laisse glisser vers Maximus et bien vite leurs bassins entre en contact. Livie sent la queue raide du Centurion se plaquer contre son pubis et elle commence à se frotter. Ses grandes lèvres viennent envelopper le sexe de Maximus et le limer avec ardeur. Livie ne peut retenir de petits gémissements de plaisir qui prennent rapidement du volume. Tibère semble être aux anges de voir sa femme jouir de plus en plus et accompagne de sa main posée sur le bas de son dos les mouvements de bassin d’avant en arrière de l’Impératrice. Le torse bombé, elle pose littéralement ses seins sur le visage de Maximus qui s’y perd bien volontiers, léchant, suçant et aspirant le moindre téton qui se présente à lui. Livie se cabre et se redresse, ses mouvements deviennent désordonnés sous l’effet du plaisir, elle est presque hors de l’eau, couchée sur Maximus qui étouffe presque. L’Impératrice est en train de devenir folle songe Maximus, folle de plaisir et de désir.
Il voit la main gauche de l’Empereur se poser sur l’épaule de son épouse, comme pour la calmer. Dans le même temps, il sent la droite qui a attrapé sa verge raide comme un cierge. Cela ne lui déplait pas, d’autant plus que Tibère présente la queue de Maximus à l’entrée du fourreau de sa femme. Livie ne se fait pas prier et sans ménagement, s’empale sur le sexe de Maximus, le poussant d’emblée au fond de ses entrailles brulantes. Bien appuyée sur les bords de la baignoire et sans égard pour les éclaboussures qui souillent le sol de ses appartements, Livie entame une série de va-et-vient énergiques qui la fond couiner comme une charretière. Tibère s’est légèrement reculé pour se protéger de l’eau et mieux jouir du spectacle, et semble subjugué p ar la capacité de jouissance de sa femme. Sa main se perd sous sa toge et tente, en vain, de ranimer son propre sexe. Maximus a posé ses deux mains sur les fesses de l’Impératrice et accompagne ses mouvements de bassin, l’encourageant à être plus ample et plus vigoureuse. Il est fasciné par le spectacle de sa propre queue qui disparait puis réapparait dans la fente de sa partenaire. Il pense à ce moment-là qu’il ne verra jamais rien de plus beau que ce sexe écartelé par son pieu et rougis par les pénétrations qui se succèdent à haute fréquence.
Alors, terriblement sensible aux glapissements de Livie qui atteignent des sommets, Maximus lâche sa semence et éjacule au fond de la grotte de Livie qui s’effondre sur lui en même temps, terrassée par l’orgasme. Tout deux restent ainsi de longues minutes avant qu’ils n’émergent pour s’embrasser longuement.
- Merci Maximus, lui dit Livie, cela fait longtemps que je n’avais pas pris autant de bon temps. Et merci à toi Tibère mon amour d’y avoir participé, mes pensées n’ont cessé d’être tournées vers toi.
XVI
Sortant du bain et s’enveloppant rapidement d’une grande serviette, L’Impératrice poursuit.
- Repose toi Maximus. Demain sera une nouvelle journée chargée en efforts et en émotions. Tu devras t’occuper de notre benjamine Maia qui entre dans sa période de fécondité à son tour. Elle est jeune mais n’a pas froid aux yeux, comme sa mère. Je te demanderai la même douceur pour elle que pour ça soeur. Et puis ta femme arrive demain soir, je pense qu’elle sera aussi très impatiente ! Passe une bonne nuit.
(à suivre)