I
Nous sommes en l’an 69 après JC au coeur de l’été Romain, étouffant de chaleur. Le Premier Centurion Maximus déambule dans les rues de la capitale impériale qu’il n’avait pas vu depuis 2 ans, depuis son affectation à la 7ème Légion de Mogontiacum (l’actuelle ville de Mayence en Allemagne) en Germanie Supérieure. Il accompagne son chef le Légat Lucius Surat venu rendre compte devant le Sénat (il est lui-même Sénateur) de la situation aux marches de l’Empire, dans la difficile Germanie qui a déjà coûté tant de vies aux Légions romaines. Maximus est son adjoint mais c’est aussi un militaire expérimenté et respecté, une véritable légende dans l’armée romaine tant il a fait et mené de nombreuses batailles, très souvent victorieuses. Il est le vrai chef militaire de la 7ème Légion et cela justifie sa présence au côté de son chef Lucius Serat.
A l’issue de son passage devant le Sénat, prévu demain matin, il pourra regagner ses pénates et retrouver sa femme et son fils qu’il ne connait pas puisqu’il l’a conçu lors de sa dernière permission deux ans plus tôt. Comme tous les dignitaires de haut rang, Lucius et Maximus sont logés au palais impérial et ont même été brièvement accueilli par l’Empereur Tiberius qui tenait à leur exprimer son contentement. A ses côtés se tenait son épouse Livie, magnifique femme que Maximus ne put s’empêcher d’admirer. Il n’avait pas serré de corps féminin depuis 2 ans et la vue de l’Impératrice dans sa courte robe blanche presque transparente, les cheveux noués en tresses sur sa tête et les bras nus l’avait remué et fait monter la chaleur dans son bas ventre. Mais l’entrevue avait été courte et la torture n’avait pas durée. Malgré tout, Maximus avait cru remarquer que Livie ne l’avait pas quitté des yeux pendant toute l’entrevue et cela n’avait fait qu’aggraver son trouble.
II
Le lendemain après-midi, Maximus regagne son appartement après leur audience au Sénat qui n’avait été qu’une simple formalité. Il se sentait soulagé et pouvait maintenant tourner son regard et ses projets vers son domaine du Lazio et sa famille. Il s’allonge un moment sur son lit, s’accordant un bref repos avant de préparer, encore une fois, son paquetage. Il faut dire que le lit immense, luxueux avec sa tenture en baldaquin, est bien tentant comparé à la modeste couche de son casernement de Mayence. La fraicheur relative du palais invite au repos après le tumulte et la chaleur de la rue romaine.
Mais il n’a pas le temps de s’assoupir que l’on frappe à sa porte. C’est Julia la première confidente de l’impératrice Livie qui se présente.
- Salut à toi Premier Centurion Maximus. La reine Livie souhaite te voir. Peux tu te présenter dans les meilleurs délais à ses appartements ?
- Salut à toi Julia. Je viendrai dans quelques minutes, dis à ta reine que je prend un peu de temps pour me laver, la poussière et la chaleur en ville sont infernales.
La jeune Julia incline la tête en guise d’assentiment et ressort sans bruit. Maximus est intrigué mais n’est pas surpris. S’emparant du broc d’eau mis à sa disposition, il se lave soigneusement, parcourant son corps musclé et bronzé, couvert de nombreuses cicatrices, à l’aide d’une éponge du Nil et de savon gaulois. Il remplace son austère uniforme par une simple toge civile, plus légère et confortable, assortie d’une paire de sandales neuves achetée le matin même.
III
Au moment de toquer à la porte des appartements de l’impératrice, Maximus bombe le torse et prend une grande inspiration. Ce genre de rendez-vous est aussi excitant qu’inquiétant car peut être y joue t’il son destin, qui sait. Il se retrouve de nouveau face au beau visage de Julia quand la porte s’ouvre et elle s’efface immédiatement pour le laisser passer. Maximus fait quelques pas dans l’appartement et est presque déçu par la modestie de la décoration. Il est certes vaste mais finalement très peu meublé. Un grand lit de 2m sur 2 trône au fond de la pièce, avec une simple commode en bois sur son côté droit, un long paravent sur son flanc gauche, une table basse et 4 sièges assortis au milieu de la pièce, disposé sur un tapis d’origine persane.
- Entre Maximus et viens t’assoir avec moi ! lui dit l’impératrice en indiquant de la main l’un des sièges. Est tu reposé et rafraichi ? On m’a dit que votre audience ce matin au Sénat a été un succès et que tu avais fait forte impression lors de ton rapport militaire. Sais tu que mon mari Tiberius songe à te confier le commandement d’une Légion ?
- Je l’ignorais ma Reine, je ne mérite pas votre bienveillance et celle de l’Empereur, je ne fais que mon devoir.
- Je sais que tu es impatient de retrouver femme et enfant. Je suppose que tu as hâte de retrouver ton épouse Nona, on m’a dit qu’elle est fort belle, le temps doit paraitre bien long à un homme de ta trempe et de ton énergie non ? Ou trouve tu de quoi patienter auprès des prostituées ou des femmes violentées lors de vos pillages ?
Maximus regarde Livie avec de grands yeux. Que signifie ces questions aussi futiles qu’indiscrètes ? Où veut elle en venir ? L’Impératrice devine son trouble et éclate de rire. Mais Maximus ne lui laisse pas le temps de reprendre la parole et décide d’avancer ses pions dans la partie d’échec qui manifestement s’engage.
- Nous ne pillions pas les villages que nous traversons et j’ai tué de ma propre main le premier homme qui sous mon commandement s’est livré au viol. Je peux te garantir ma Reine que ce fut le dernier. Quant aux prostituées, je ne les fréquente simplement pas, je considère que nul ne devrait avoir à vendre son corps pour vivre.
- Que de vertus dans un seul homme ! s’exclame la Reine. Je savais que j‘avais fait le bon choix !
- De quel choix parles tu Livie ? demande le Premier Centurion qui avait opté pour le tutoiement et la franchise, comme il sied à son caractère.
IV
- Tu les sais peut être, reprend Livie, Tibère et moi avons eu 2 filles. Maria l’ainée a 19 ans et a épousé le Sénateur Valerius, de trente ans son ainé. Maia la cadette a 18 ans et vient de se marier avec le Légat du Nord Sextus, lui aussi bien plus âgé qu’elle. Ces alliances garantissent à la descendance de Tibère l’accès au trône et à la succession. Zeus et Venus voudront bien j’en suis sûr être plus favorables qu’avec moi et leur donner des garçons.
Maximus écoute l’Impératrice avec attention et commence à entrevoir ce qu’elle attend de lui. Il la laisse poursuivre son laïus, le regard fixé sur le visage de Livie où la beauté et la finesse le dispute à la détermination. Elle reprend :
- Valerius et Sextus sont de bons alliés politiques mais sont dépourvus de qualités morales, intellectuelles ou même physiques. Je ne veux donc pas qu’ils soient les géniteurs de ma descendance. Est ce que tu me suis ?
Maximus se contente de hocher la tête en guise d’encouragement à poursuivre, et se tient prudemment coi, laissant Livie dérouler son projet.
- J’irai donc droit au but en te demandant de nous accorder 1 mois ou 2, le temps de féconder mes deux filles. Je sais d’avance tes réticences morales, tu viens de les exprimer, mais je te demande de faire cela pour le bien de l’Empire. Et accessoirement, Tibère possède un vaste domaine à côté du tiens qui compte trois métairies et plus de 500 oliviers. Il te sera donné en échange de ce grand service.
L’Impératrice s’enfonce dans son fauteuil pour signifier qu’elle avait terminé et qu’elle attendait désormais la réponse de Maximus.
V
Maximus était homme à prendre des décisions rapides et à être clairvoyant quant à une demande qui ressemblait passablement à un ordre.
- Tes désirs sont des ordres ma Reine et je ferai ce que tu voudras et qui est bon pour l’Empire. Mais je n’ai nul besoin de ton domaine, je vous remercie Tibère et toi, mais je me contenterai du mien qui me suffit largement. J’ai par contre une faveur à te demander en échange. L’attente va être longue, je le comprend et l’accepte, alors s’il te plait fais venir ma femme et mon fils à Rome.
Livie est surprise de cette demande et en même temps la trouve fort logique. En son for intérieur, elle se félicite encore du choix de Maximus pour être le père biologique de ses petits-enfants et ne peut s’empêcher d’admirer l’homme et son tempérament.
- Très bien, il en sera ainsi, je vais donner des ordres pour que ta famille arrive au plus vite. Nous ne devons pas perdre de temps également et si tu es disposé, Maria est dans sa période de fertilité et n’attend que mon signe. Es-tu prêt ?
Maximus acquiesce d’un signe de tête et Livie tape des mains. Aussitôt sort de derrière le paravent la jolie Julia, une bassine et un linge à la main. Livie explique :
- Tu comprendras que je doive prendre quelques précautions. Julia va faire ta toilette intime et je voudrais savoir si tu as récemment eu l’occasion, d’une façon ou d’une autre, d’expulser ta semence.
Maximus rougit un peu et fait non de la tête. La dernière fois qu’il s’est masturbé remonte à longtemps. Julia s’agenouille devant son fauteuil et sans égard pour Livie ou lui, soulève sa toge pour dégager son sexe qui repose librement.
VI
Julia commence par laver avec l’eau tiède de la bassine la queue et les bourse de Maximus, en lents mouvements qui aussitôt font réagir le Centurions. Son sexe se gorge de sang en quelques secondes et atteint très vite une magnifique amplitude. Il ne quitte pas Livie des yeux et elle lui sourit pour tenter de le mettre à l’aise.
- Tu comprendras également que je veuille remplacer cette vieille semence peut être corrompue par de la nouvelle avant que tu n’insémines ma fille. Et que je surveille l’opération, je ne veux avoir aucun doute.
Maximus se contente de nouveau d’un simple hochement de tête, de plus en plus crispé par les mouvements de mains de Juila qui désormais le branle purement et simplement. Sa main droite, fine et douce, coulisse régulièrement le long de son dard, son pouce chatouillant à chaque passage son gland et son prépuce. Sa main gauche est passée sous ses bouses et les masse délicatement.
- Doucement ! demande Maximus, bien décidé à joindre l’utile à l’agréable.
Il continue de dévisager Livie pour bien lui montrer qu’il restait maitre de la situation, et parce qu’aussi il associait volontiers l’image de son beau visage et de ses formes sublimes au plaisir qu’il sent monter dans son bas-ventre. Livie semble lire dans ses pensées et descendant ses mains elle retrousse le bas de sa toge et la remonte sur son ventre, dégageant son pubis et son sexe dont elle offre la vue parfaite à Maximus. Elle commence alors à caresser de son index son petit bouton qui grossit lui aussi rapidement. Maximus est hypnotisé par ce spectacle pendant de longues minutes et lorsqu’il reprend ses esprits, c’est pour constater que c’est désormais la bouche de Julia qui coulisse sur sa queue en de rapides et profonds mouvements. Face à lui, Livie a fermé les yeux et commence à geindre doucement, ce qui a le don d’exciter Maximus au-delà de l’imaginable.
Cette vision divine combiné à l’expertise buccale de Julia l’amène très vite, trop vite, à exploser au fond de sa bouche et à éjaculer une quantité phénoménale de sperme. Même Julia a un bref mouvement de recul devant la quantité de liquide qui envahit sa bouche et sa gorge. Mais elle reste stoïque et avale consciencieusement la précieuse semence. Puis elle relâche la queue de Maximus et s’attache immédiatement à la nettoyer, même si elle semble parfaitement lustrée.
- Merci Julia, dit l’Impératrice, tu peux allé chercher Maria.