VIII
J’ai besoin de souffler un peu et d’entamer le redressement de ma queue. Je me penche pour déposer de délicats baisers à l’intérieur de ses cuisses. Ma soeur retient son souffle et je vois son bassin se soulever sous l’effet de la contraction de ses fesses. Ses jambes sont libres maintenant et je les replie en poussant sur mes mains placées derrière ses genoux. Je les pousse vers sa poitrine pour faire basculer son bassin et exposer directement sa chatte à mon regard et à ma queue que je commence à frotter sur ses lèvres et son clitoris. Stéphanie ne peut retenir un râle de plaisir et de satisfaction tandis que ma queue retrouve sa dureté impitoyable.
Du coin de l’oeil, je vois Eric dans l’encadrement de la porte entrouverte. Depuis combien de temps est il là ? Peu importe, sa présence me laisse indifférent, je n’ai absolument pas l’intention de lui laisser la place. Il a du le sentir car il tient sa queue à la main et la branle doucement, manifestement résigné à sa position de voyeur. Son regard passe du visage de ma soeur à mon sexe, anticipant la réaction de cause à effet qui va la faire couiner dès la pénétration engagée.
J’ai maintenant placé ses talons sur mes épaules et j’appuie brutalement avec ma queue sur son clitoris en un frottement frénétique. J’ai très envie de la pénétrer mais je sais également que ce sera bref alors je décide d’attendre encore, de donner ainsi à ma soeur un plaisir qui semble total. Je frotte encore et encore sa chatte désormais ruisselante, attrapant son pied droit pour le porter à ma bouche et commencer à sucer ses orteils. Elle semble gouter la manoeuvre et pousse son pied entre mes lèvres, m’étouffant presque. Je garde le contrôle et prend son gros orteil entre mes lèvres comme si c’était une bite à sucer, à aspirer, l’entourant de ma langue chaude. Je synchronise mes coups de langue sur son orteil et de queue sur son clitoris ce qui semble la mener directement à l’extase.
Mes mains vont se perdre sur ses fesses enfin accessibles. Elles tombes parfaitement dans mes paumes et je sens leur douceur du bout de mes doigts. Je les malaxe fermement et sans brutalité, glissant sur ses hanches pour guider son bassin vers la lime de mon sexe qui continue d’agacer son clitoris.
Je la vois tenter de détacher ses mains pour enfin pouvoir attraper ma queue et la guider vers sa grotte humide. Mais les liens résistent pour mon plus grand plaisir et je sens la folie s’emparer de ma soeur. Elle tente des mouvements de bassin pour forcer ma queue à s’enfiler dans sa petite chatte mais je ne la laisse pas faire et continue mon travail sur son clitoris. Enfin j’arrête de lécher son pied et d’un coup je calme mes mouvements. Stéphanie frissonne, saisie par l’attente et l’excitation et se détend. Je laisse ses jambes pour venir écarter ses grandes lèvres avec ma mains droite. De la gauche je saisis mon sexe et le dirige vers l’étroite cavité de ma petite soeur.
Même Eric, toujours sur le seuil de la chambre, semble suspendu à ma décision et a arrêté de se branler. La peur peut être d’éjaculer trop tôt sous l’effet de l’excitation…
IX
Je dépose le gland gonflé de mon sexe sur l’entrée du vagin de Stéphanie, me penche légèrement en avant prenant appuis sur mes poings de part et d’autre de ses hanches. Je pousse alors d’un délicat coup de rein et mon sexe pénètre doucement mais sans résistance dans le fourreau chaud et étroit de ma soeur. J’y ai pensé tant de fois ! Mais je suis malgré cela surpris par la douceur et la violence du plaisir que je ressens. Stéphanie semble partager cette sensation de jouissance extrême et pousse un profond soupir de bonheur. Je pousse ma queue en douceur mais directement à fond pour atteindre rapidement la plénitude d’une pénétration totale. Stéphanie croise les jambes dans mon dos et les serrent fortement pour me bloquer ainsi. Nous restons ainsi immobiles et je me penche lentement pour venir prendre ses lèvres avec ma bouche. Elle m’attendait, nous sommes de nouveau en symbiose totale.
Nous nous embrassons par petites touches, nous mordillant les lèvres, mêlant nos langues par petites touches. Je sens ses jambes se relâcher et j’interprète cela comme un signal. Je commence lentement un va et vient, sortant entièrement ma queue pour la réintroduire d’un seul coup, de plus en plus fort, de plus en plus loin. Stéphanie se remet à gémir et haleter, accompagnant mes coups de pistons de ses mouvements de bassin, de haut en bas mais aussi circulaires et qui me rendent dingue ! Son fourreau semble avoir pris vie, me masturbant, me suçant, m’aspirant dans le même temps. Je ralentis mes mouvements et les réduits pour lui laisser l’initiative. Son bassin tourne avec précision autour de ma queue et sa chatte aspire et relâche mon sexe à volonté.
J’aperçois Eric qui maintenant se branle frénétiquement et je crains au moment où il éjacule, sous mes yeux, qu’il ne parvienne à retenir ses cris. Mais il se mord violemment les lèvres et aucun son ne sort de sa bouche quand de longues trainées de sperme giclent sur le sol de la chambre de Stéphanie.
Je ne parviens à me retenir que quelques secondes de plus devant les mouvements experts de ma soeur et je lâche à mon tour des vagues de sperme au fond de son sexe, ne parvenant plus à retenir mes cris qui se mêlent à ceux de ma soeur. Je m’écroule sur elle et le rythme soutenu de nos deux souffles font se frotter de façon chaotique nos thorax couverts de sueur. Après quelques dizaines de secondes de repos, je me retire délicatement, sentant le sperme encore chaud qui coule entre ses cuisses. Sans dire un mot je me lève, quittant la chambre sans même un regard pour Eric que je laisse se débrouiller avec la situation.
Epilogue
Cet épisode de ma vie sexuelle a été une étape importante, comme vous pouvez vous en douter. Elle m’a ouvert les portes d’une vie sentimentale enfin débridée grâce au gain de confiance engrangé à cette occasion. Il a été aussi une source de frustration de ne pouvoir l’évoquer directement avec ma soeur et de ne pas savoir si elle l’eut apprécié de la même façon les yeux débandés. Par la suite, ma complicité avec Eric s’est développée et j’ai eu l’occasion de l’associer à mes propres jeux érotiques avec mes petites amies, du moins les plus ouvertes d’esprit (la plupart je dois dire !).
Jusqu’à cette soirée de week-end où tous les 4, avec Alice ma copine de l’époque, nous avons franchit ensemble les limites des conventions, me permettant enfin de profiter d’une sexualité totale et épanouie avec ma soeur.
Peut être vous la raconterai-je un de ces jours si vous en manifestez l’envie…
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.