VI
Eric est plus ou moins au courant de nos « séances » avec ma soeur, que j’avais dû lui raconter un jour d’excès de boisson… Mais ce soir là, quand je le croise en caleçon dans le couloir alors que nous nous apprêtions, les uns et les autres, à nous coucher, il me fait signe de vite le suivre au salon. Il ferme la porte et me parle, sur-excité.
- Ta soeur est sur notre lit, attachée aux bras et aux jambes, les yeux bandés ! me dit-il à toute vitesse. Encore un de ces jeux qui la fait fantasmer, ajoute t’il et poursuivant, elle m’a dit qu’elle m’offrait entièrement à moi ou, je la cite, à qui je voulais qui se trouvait dans les parages. Et dans les parages, je ne vois guère que toi non ? Cela ressemble à un gros appel du pied si tu veux mon avis. Donc si tu veux, tu as là une occasion unique de revivre vos petites « séances » qui ont l’air de bien te manquer ! Vas y à ma place et si tu ne dis pas un mot, elle aura une bien belle surprise !
Je le regarde troublé par la situation et par l’urgence de prendre une décision. Je hoche la tête de haut en bas pour lui signifier mon accord et d’ores et déjà m’enfermer dans le mutisme de rigueur.
- OK me dit il, dans ce cas tire juste la chasse d’eau, je lui ai dit que j’allais pisser, et fonce !
Je souris un peu crispé, réouvre la porte du salon, remonte le couloir, passe par les toilettes rapidement puis je pousse la porte de la chambre de Stéphanie.
Elle est bien comme me l’avait décrite Eric et la pénombre de la lampe de chevet me permet de redécouvrir son corps nu qui a bien changé. C’est maintenant une femme et je suis immédiatement frappé par le volume pris par ses seins qui s’étalent largement sur sa poitrine. De même ses hanches qui laissent deviner une paire de fesses magnifiques. Je reconnais tout de suite ses petits pieds que j’aimais attraper lors de nos séances de masturbation mutuelle.
- Ah quand même s’exclama t’elle en m’entendant rentrer. Dépêche toi, je suis trempée tant tu me fais mariner !
Je souris. Si elle savait…
Je m’approche du lit et je saisis son pied gauche. Elle sursaute et soupire en même temps. Elle a toujours aimé de petits massages. Je travaille sa plante des pieds et étire ses orteils de la main droite tandis que de la main gauche je baisse mon caleçon et libère ma queue bandée comme jamais ! Je viens la poser sur le plat de son pied ce qui lui arrache de petits gémissements. Malgré les liens qui l’entravent, elle essaye de me frotter par de petits mouvements de son pied que je lui laisse mener. Ses orteils passent de mon gland à mes testicules et déjà je mesure à quel point le contact physique de ma soeur m’avait manqué. Nos mouvements combinés sont devenus quasiment frénétiques et si je les avais prolongés encore 30 secondes, il est bien possible que j’aurais éjaculé piteusement sur sa jambe. Heureusement je garde mon self-control et je lâche brutalement son pied. Elle proteste mollement mais je n’en n’ai que faire et je viens m’agenouiller sur le lit entre ses jambes. J’ai hâte de retrouver sa petite chatte et je commence à masser ses cuisses. Elle gémit et me supplie de continuer. Mes mains manipulent vigoureusement sa cuisse gauche fine et musclée et à la peau si douce. L’intérieur de ses cuisses m’attire terriblement et me guide doucement vers sa vulve. Je vois Stéphanie qui se tortille et écarte les jambes pour me signifier clairement la voie à suivre.
Je me sens étonnement apaisé, maître de la situation et décidé à la faire durer. Mes deux mains viennent se placer de part et d’autre de son sexe déjà détrempé et mes pouces entrent en action. Tantôt massant son bouton, tantôt écartant ses grandes lèvres pour découvrir sa grotte rose qui me fascine. Stéphanie ne cherche plus à masquer son plaisir et ses gémissement se font bruyants, ce qui a pour effet de m’exciter au plus haut point. Je me sens me transformer peu à peu en animal et je plonge bouche en avant sur sa chatte. Elle ne peut retenir un cri de surprise qui me fait sursauter mais ne me dévie pas de ma route. Dieu sait que j’ai rêvé de ce moment ! Mes lèvres et ma langue prennent vigoureusement possession du terrain, léchant, pinçant ou pénétrant tout et partout. Ma soeur semble perdre la tête et se met à crier, alternant les grossièretés et les onomatopées du plaisir.
Je sens le liquide qui ruisselle de son sexe couler entre mes lèvres et j’envoie ma langue en sortir plus, toujours plus ! Stéphanie semble enchainer les orgasmes car je ne parviens pas à m’arrêter. Combien de temps cela a t’il durer ? Je ne saurais le dire. Mais quand le corps de ma soeur, après un dernier soubresaut, s’affaisse d’épuisement, je semble reprendre mes esprits. Je me recule, sors du lit et me remet sur mes jambes. Stéphanie halète, le souffle court, tournant la tête à droite et à gauche, semblant chercher ma présence.
- Eric ? demande t’elle. Tu es là ? C’était fantastique ! Détache moi je t’en prie, je voudrais m’occuper de toi, tu l’as mérité !
Déstabilisé par ce brusque rappel à la réalité, je ne dis mot bien sûr et réfléchis à la suite des opérations.
VII
Pas question de mettre un terme à la séance en m’éclipsant, c’est beaucoup trop tôt. Je remonte le lit par la gauche et vient me placer à côté de sa main droite. Je pose délicatement mon sexe tendu à craquer dans sa main qui aussitôt s’en empare et la branle énergiquement, malgré la faible latitude que lui laisse son lien. Aussitôt ses petits doigts sur ma queue me rappellent une multitude de souvenirs et je sens de nouveau le plaisir monter. Sa dextérité est telle, même entravée, que l’éjaculation approche de nouveau à grands pas. J’arrache mon sexe à sa main puis, posant un genou sur le lit, je le présente devant sa bouche. Elle lève immédiatement la tête autant qu’elle le peut pour venir s’en emparer et rentrer ma queue le plus profond possible dans sa bouche. Malgré l’inconfort de la position, elle se met à me sucer frénétiquement, jouant de la langue avec une habileté qui montrait une grande expérience.
Je ne peux quitter des yeux ses lèvres qui coulissent sur mon pieu et son joli visage aux yeux bandés dont les joues sont déformées par mon gland. Je suis aussitôt happé par le plaisir et bientôt je n’envisage plus de sortir de sa bouche. Je voudrais y rester jusqu’à la fin de mes jours, continuer à sentir ses lèvres humides en action, sa langue chaude qui me caresse la queue avec tant de délicatesse. Je donne des petits coups de reins pour l’aider et je soutiens sa tête de mes mains. Je l’incite à rentrer totalement ma queue dans sa bouche, ce qu’elle parvient fort bien à faire. C’est tellement délicieux que je ne peux me retenir plus longtemps et que je gicle une quantité qui me parait phénoménal de sperme dans sa gorge. J’attend ainsi, entré à fond, que la dernière goutte du liquide blanc soit passée pour doucement me retirer.
Ma soeur semble épuisé, haletante et tremblante et je la regarde un peu inquiet. Un grand sourire éclaire son visage, me voilà rassuré ! Je m’assois sur le lit, contemplant mon sexe flasque qui pend entre mes jambes. Mais je sens qu’il n’en n’a pas finit, loin s’en faut. Alors, me dirigeant vers ses pieds, je détache les liens qui serrent ses chevilles et je viens de nouveau me placer entre ses cuisses. Déjà je sens la vigueur regagner mon sexe à la vue de sa petite chatte luisante de sécrétions. Stéphanie a compris quelle serait la prochaine étape, crispée par l’attente et l’impatience. Mais je suis bien décidé à prendre mon temps.
(à suivre avec le chapitre 3)
Note de l’auteur. Ceci est une histoire pornographique d’inceste. Le thème de l’inceste est très délicat et c’est pour cela que j’ai évoqué le fait et mes motivations d’écrire des histoires d’inceste sur ce billet de blog. Je vous invite à vous y reporter si ce type d’histoire vous mets mal à l’aise.