I
Ma soeur, plus jeune que moi d’à peine 18 mois, vis avec moi en colloc’ depuis qu’elle m’a rejoint à l’université. Nous partageons un petit appartement du centre ville, chacun dans nos chambres qui sont mitoyennes. Nous y déroulons une vie classique d’étudiants, faite de soirées studieuses alternant en fin de semaine avec des fêtes plus ou moins bruyantes avec des amis.
D’un naturel très timide, il m’arrive très rarement de ramener des filles à la maison et encore moins de les garder pour la nuit. Pourtant je crois pouvoir affirmer que je dispose d’un physique plaisant et je ne crois pas être de mauvaise compagnie. Mais que voulez vous, le tempérament est ce qu’il est et il est bien difficile de s’en affranchir. Pour ma soeur c’est tout le contraire. Bien qu’elle ne soit certes pas d’un tempérament exubérant, les codes sociaux font qu’elle passe rarement la nuit seule et encore plus rarement deux fois de suite avec le même homme. Il faut dire que son physique à elle est au-delà de plaisant. J’ai toujours trouvé ma soeur magnifique. Un visage d’ange encadré par de beaux cheveux ondulés châtains clairs, des courbes voluptueuses et une taille fine que j’ai souvent rêvé prendre à deux mains.
Parfois le soir, j’entend des bruits et des cris provenant de sa chambre et cela m’excite de façon indescriptible. Sitôt que la sarabande commence je commence à me masturber, redoutant que leurs ébats s’arrêtent avant que je ne jouisse mais bien sûr, ce n’est jamais le cas, loin s’en faut ! Il faut dire que les séances de sexe de ma soeur sont longues et passionnés, pour mon plus grand bonheur et le leur manifestement.
II
Depuis quelques semaines, une fois n’est pas coutume, ma soeur sort régulièrement avec un de mes amis, Eric, qu’elle a connu à l’une de mes soirées puisqu’il est en cours avec moi. Il passe régulièrement des nuits chez nous et je m’attends à ce qu’il aménage d’un jour à l’autre tant il semble bien s’entendre avec ma soeur. Leur vie sexuelle semble également des plus harmonieuses, ce qui n’est pas pour me déplaire ! Petit à petit, une routine s’installe entre nous trois et ses nuits à la maison se font de plus en plus fréquentes.
Eric et moi discutons aussi beaucoup entre nous et il me raconte bien des choses de sa relation avec ma soeur. Il est très attentif et bienveillant et je lui en sais gré. Il me parle également des jeux sexuels que ma soeur lui propose et auxquels il se prête bien volontiers. Rien de très original d’ailleurs et c’est pour cela qu’il s’en ouvre si facilement avec moi. Et il connait notre très grande proximité à ma soeur et moi. Après quelques mois à se fréquenter, elle lui a raconté bien des choses sur notre enfance, dont certaines que j’aurais sans doute préféré qu’elle garde pour elle… Mais ces confidences un peu gênantes l’ont amené à la proposition extravagante qu’il vient de me faire. Mais avant de vous la raconter, il faut donc que je vous mette au parfum… Flashback sur notre enfance.
III Flashback
Adolescents, nous partagions la même chambre dans la petite maison de notre enfance. Stéphanie – c’est le prénom de ma soeur, je ne crois pas vous l’avoir encore dit – était déjà une fille magnifique, ce qui lui donnait manifestement beaucoup d’assurance. Je l’ai toujours trouvée incroyablement impudique, se baladant nue entre la chambre et la salle de bain sans retenue tous les soirs, me donnant à admirer ses formes prometteuses en devenir.
Une fois même où elle avait trouvé une de mes revues érotiques – un vieux Newlook, je m’en souviens comme si c’était hier ! – elle avait tenu à ce que nous le feuilletions ensemble, commentant les photos de femmes plus ou moins dénudées avec une décontraction qui me tétanisait. Elle s’en apercevait bien évidemment et en jouait, me mettant au supplice en me demandant ce que je ferais si je croisais l’une de ces femmes, ou si j’aimais la transparence de cette robe légère qui laissait deviner les formes d’une beauté blonde. Bien sûr, elle me demandait si je me masturbais en les regardant. La réponse était évidente et très vite, ayant pris l’habitude de feuilleter mon Newlook régulièrement, elle me demanda de me masturber devant elle pour, me dit elle, voir à quoi cela ressemblait.
J’avoue n’avoir pas même hésité tant j’avais du mal à maitriser mes érections d’adolescent et à attendre que nous soyons couchés et dans le noir pour assouvir mes envies. Quand elle me le demanda, je n’hésitais donc pas une seconde avant de descendre mon bas de pyjama pour libérer ma queue gonflée à bloc et la branler. D’abord doucement, guettant la réaction de Stéphanie. Elle semblait apprécier le spectacle qu’elle observait avec le plus grand sérieux. Nous étions tous les deux assis dans son lit et son odeur contribuait grandement à mon excitation. Je sentais le plaisir monter en moi et très vite, bien plus tôt que je ne l’aurais voulu, je répandis de longs traits de sperme sur mon ventre, soucieux de ne pas salir ses draps. Elle écarquillait les yeux devant ce spectacle et couru me chercher un kleenex pour que je puisse m’essuyer.
L’habitude était prise et la scène se reproduisit de temps à autre pendant les mois qui suivirent. Je commençais à y prendre goût et à attendre nos séances avec impatience. D’autant plus que Stéphanie avait décidé en m’observant de partir elle aussi à la découverte de son anatomie et à la recherche de son propre plaisir. Je voyais maintenant sa main se promener sous son pyjama-short pendant que je m’astiquait le manche et cela me rendait fou de plaisir. Je la voyais qui de plus en plus se laissait aller et ses petits cris, qu’elle étouffait parfois sur mon épaule pour ne pas alerter nos parents, avait sur moi un puissant effet aphrodisiaque.
Après plus d’un an de masturbation commune, nous étions arrivé à un niveau de complicité exceptionnel, déclenchant nos séances sans même avoir besoin d’en parler, nous installant confortablement sur son lit, collé l’un à l’autre. Nous n’avions plus besoin de mon vieux Newlook et nous jouissions du spectacle de l’autre se donnant du plaisir. Je pouvais maintenant voir la main de ma soeur jouer avec son petit clitoris ou pénétrer sa chatte à un ou deux doigts. Parfois sa main gauche s’égarait sur sa poitrine et je pouvait apercevoir ses minuscules tétons qui se développaient avec ses seins. Cette vue chavirante me comblait et m’amenait immanquablement à l’éjaculation en quelques minutes. Souvent Stéphanie prenait un peu plus de temps et j’aimais aussi ce moment où je ne faisait que la regarder s’amener méthodiquement à l’orgasme.
IV
Le bac approchait pour moi et dans quelques semaines, nous le savions tous les deux, j’allais quitter la maison. Nous n’en parlions guère mais cette perspective nous rendais manifestement mélancoliques. Cela ne nous empêchait pas de continuer nos séances et c’est lors de l’une d’elle, alors que nous étions à mi-chemin de l’extase, qu’elle me demanda si elle pouvait me remplacer. Et de diriger d’autorité sa main vers mon sexe pour remplacer la mienne. Le contact de ses doigts fins sur ma queue m’a littéralement électrisé, la sensation a été extraordinaire. J’ai su à ce moment là que j’avais une nouvelle référence en matière de plaisir sexuel et pour la première fois de ma vie, c’est une main qui n’était pas la mienne qui m’amena à l’éjaculation. Cette première expérience fut évidemment de courte durée mais il y en eut bien d’autres avant mon départ !
Tant et si bien qu’au moment de nous séparer, nous étions devenu des experts de la masturbation mutuelle ! Car j’ai naturellement eu également le droit de rendre la monnaie de sa pièce à ma soeur qui ne demandait que ça. Mes doigts acquérir bien vite une dextérité de pianiste et elle n’avait pas besoin de répéter deux fois ses consignes pour que j’obéisse. J’apprenais très vite et les résultats étaient là, Stéphanie jouissant systématiquement à tel point qu’elle en oubliait de s’occuper de moi. Je développais alors des stratégies de lenteur volontaire au début pour lui laisser le temps de me mener à l’orgasme, tout en laissant le plaisir monter doucement en elle. Puis l’éjaculation passée, je passais la vitesse supérieure pour la finir à son tour dans les meilleurs délais dans de puissants orgasmes aux sonorités étouffés.
V
Finalement arriva ce maudit mois de septembre où il fallut nous quitter. La veille de mon départ, nous nous offrons une dernière séance pleine de tendresse et de mélancolie. Nous ne disons mot de notre séparation toute proche mais elle flotte dans l’atmosphère. Stéphanie envoie directement sa main dans mon caleçon et vient jouer – elle m’a avoué aimer ça – avec mon sexe mou au repos. Cela dit il ne le reste pas longtemps et elle poursuit ses jeux de mains en caressant du bout des doigts ma queue et mes bourses. Je suis parcouru de frissons et passe mon bras sur son épaule pour que ma main puisse aller jouer avec ses petits seins. Puis sans dire un mot, elle se penche et prend mon pieu dans sa bouche. Je tressaille de surprise mais je me reprend aussitôt en lui caressant, idée plutôt stupide, la tête en guise d’agrément. Mais elle n’en a que faire et je vois sa bouche commencer un va et vient méthodique sur ma queue. Je vois ses jolies lèvres qui coulissent régulièrement sur mon sexe et je sens sa langue qui teste des mouvements. Certains d’entre eux m’arrachent de petits cris d’extase que j’ai bien du mal à contenir. Je plaque un oreiller sur ma bouche pour étouffer les sons et je sens déjà l’éjaculation qui approche. J’essaye de respirer calmement pour la retarder autant que possible mais elle accélère le mouvement, prenant manifestement aussi beaucoup de plaisir à cette première fellation. Quand elle envoie sa main m’agripper les testicules, tirant dessus sans ménagement, c’en est trop et je lâche dans sa bouche de longues et abondantes giclées de sperme.
Sur le coup je me rend compte que j’aurais pu la prévenir mais j’avoue que j’avais perdu le contrôle de mon cerveau ! Elle le sait et quand elle me sourit, après s’être redressée, elle a déjà tout avalé. Elle s’essuie vaguement la commissure des lèvres et me déclare tout de go avec un peu de tristesse que c’était mon cadeau de départ. Sur le coup, j’ai même compris à demi-mots que c’était peut être le point final à nos expériences onanistes.
Le lendemain je partais pour l’appartement où débute cette histoire et où Stéphanie me rejoindrait deux ans plus tard. Quand elle s’installa, bien des choses avaient changées et nos séances ne trouvèrent pas de prolongations dans notre logement étudiant, à mon grand regret. Car comme vous l’avez compris je suis resté un grand pratiquant de l’onanisme, à défaut de trouver des filles pour sortir avec moi. Et c’est donc la tête pleine de souvenirs que je me masturbe en écoutant ma soeur jouir dans les bras d’un autre. Sans me douter que bientôt mon tour viendrait par un tour de passe-passe improbable.
Mais revenons à notre histoire.
(à suivre avec le chapitre 2)