Préambule
En ces temps sombres et froids, l’Europe est une mosaïque de petit royaume dont la puissance est intimement liée à la démographie. Le nombre des sujets fait la puissance des armées et la capacité à construire routes et fortification. La natalité est très forte mais elle est fortement oblitérée par la mortalité infantile et les épidémie. La reine Boadicée, qui règne sur le vaste royaume du Norfolk, le sait mieux que quiconque en tant que femme et mère de deux magnifiques enfants, la Princesse Maëlys, âgée de vingt ans et le prince Rory, de deux ans son cadet. La reine sait que la dynamique procréatrice de sa population est bonne mais elle sait aussi que la consanguinité affecte sérieusement la qualité génétique de ses sujets. Comment leur en vouloir ? Les habitants de chaque village ne peuvent guère s’en éloigner et vont bien souvent chercher parmi leurs cousins, cousines ou parfois même frères et soeurs, celui ou celle avec qui créer un foyer et avoir des enfants. Pour palier cette dérive, Boadicée décide d’organiser une « tournée ». Celle de son fils, désormais homme et dont elle connait les qualités, pour aller ensemencer quelques jouvencelles dans chacun des villages de son royaume. Il voyagera confortablement dans un char à boeufs et sous bonne escorte. Sa soeur Maëlys et sa dame de compagnie Kiara l’accompagneront dans cette mission. Des émissaires rapides partent sans attendre prévenir les chefs de village pour qu’ils préparent chacun 5 jeunes filles encore vierges et fécondes.
I
Tout a été fait pour rendre le char confortable, malgré les chaos du chemin. Les grandes roues en bois cerclées de métal avalent efficacement la plupart des reliefs. Le fond du char a abondamment été garni de tapis et de coussins et une grande toile blanche l’isole complètement de l’extérieur, mettant ses occupants à l’abris du vent, de la pluie et des regards. Le départ a été donné voici 2 heures et le prince Rory somnole déjà appuyé contre un bord, adossé à 3 ou 4 coussins. L’excitation du départ, le discours de la Reine et la parade du convoi au travers de la ville semble déjà bien loin. Il faut dire qu’il a belle allure l’aréopage qui emmène le Prince et sa soeur à travers le pays. Au char royal s’ajoute un char de secours, chargé des affaires personnelles de la famille royale, un char de provisions et de matériel en tous genres, et une escorte armée de 20 cavaliers commandée par le capitaine Cinaed, fidèle parmi les fidèle de la reine Boadicée et que certains jaloux décrivent comme l’amant de la reine depuis le décès de son mari.
L’ennui n’a pas tardé à s’installer dans le convoi et les mouvements désordonnés du char plonge ses occupants dans l’apathie. Le Prince Rory a quitté la ville avec regret, surtout sa douce amie avec laquelle il filait le parfait amour, quoique bien innocent encore. Il faut dire que Rory est fort bel homme avec sa haute taille, ses larges épaules et son torse musclé par son entrainement intensif au maniement des armes. Son visage a gardé une ombre enfantine qui vient adoucir une mâchoire carrée et des yeux noirs qui figent hommes ou femmes sur lequel ils se portent. Annoncer à se douce qu’il devait la quitter pour de longues semaines a été pénible, notamment parce que fidèle à son tempérament franc et honnête, il lui avait expliquer l’objet de son voyage. Elle avait ouvert de grands yeux bien vite remplis de larmes, comprenant qu’elle avait probablement perdu son homme…
II
Boadicée n’avait pas tourné autour du pot quand elle avait annoncé à ses enfants qu’ils partaient. En dépit de la délicatesse du sujet, elle avait utilisé des mots simples et crus pour leur expliquer le but de leur voyage sur les terre du royaume.
- On me rapporte des cas de plus en plus nombreux de dégénérescence et de crétinisme dans nos village, leur dit-elle, et je dois agir. Ta constitution est robuste mon fils et ton esprit est clair, je souhaite que tu ailles rependre ta semence dans nos villages pour y apporter du sang neuf. Tu seras attendu dans chacun d’eux par de jeunes pucelles que tu devras saillir. Ta soeur Maëlys et sa demoiselle Kiara t’accompagneront pour veiller à ton confort pour que tu gardes toute ton énergie sans perdre de temps. Vous partez demain à la première heure.
Rory mit du temps à réaliser ce que lui demandait sa mère, d’habitude si pudique et délicate. Il comprenait la mission mais pourquoi lui et pas un des solides guerriers de la garde personnelle de la reine ? Il n’avait aucune expérience en la matière et les quelques jeux auquel il se livrait avec sa douce étaient encore bien innocents…
- Je t’ai choisi car cette tournée sera également l’occasion d’assoir ton autorité sur nos sujets, ajouta la reine qui semblait lire dans ses pensées. Et encore une fois, je ne connais pas de meilleure combinaison des valeurs physiques et morales qui sont les tiennes, conclut elle.
Le Prince acquiesça silencieusement tandis que la Princesse Maëlys semblait vouloir prendre la parole. La Reine la coupa.
- Quant à toi Maëlys, ton rôle est primordial dans l’accompagnement de ton frère et la réussite de sa mission. Mais j’ai aussi une mission pour toi dont je souhaite t’entretenir en tête à tête. Rory, laisse nous et va préparer ton départ, je dois parler à ta soeur.
Légèrement vexé, le Prince se retira et croisa Kiara qui attendait dans le couloir son amie.
III
Un chaos plus brutal tira le Prince de sa torpeur. Il ouvrit les yeux et vit sa soeur Maëlys et Kiara appuyées l’une sur l’autre à l’autre bout du chariot, tout aussi bien installées et somnolentes. Toutes deux du même âge, elles étaient également magnifiques quoi que différentes et Rory avait toujours eu un faible pour Kiara, sans bien sûr jamais le lui avouer. Il admirait souvent ses formes généreuses, sa poitrine gonflée et ses hanches magnifiquement galbées mais ce sont ses grands yeux bleus qui le désarmaient le plus et dont il lui arrivait de rêver, se réveillant alors avec une érection qui ne laissait aucun doute sur l’effet que lui produisait Kiara. Et pour la première fois, ils allaient passer beaucoup de temps ensemble.
Son regard glissa sur sa soeur dont la tête était posé sur l’épaule de Kiara et la main sur sa cuisse. Rory cru déceler un léger mouvement des doigts, sa soeur était elle en train de caresser son amie ? Tu t’égares pensa le Prince, même s’il devait bien admettre qu’il aimait également à contempler les formes de Maëlys qu’il avait naturellement vu maintes fois nue. Il aimait particulièrement sa taille fine et ses petites fesses, assorties à sa poitrine menue. Les deux filles lui offraient un spectacle ravissant et il sentit sa queue prendre du volume tandis que ses pensées vagabondaient.
IV
Kiara fut la première à ouvrir les yeux, découvrant Rory dévorant sa soeur du regard.
- Tu te sens prêt pour ta mission ? demanda t’elle. On a connu tâche plus pénible non ? ajouta t’elle avec un sourire en coin.
- Je ne sais pas… je n’ai aucune expérience en la matière. Mère est parfois un peu présomptueuse je trouve. Mais je vais faire de mon mieux. Répond le Prince.
- Tu n’as donc jamais connu les plaisirs de la chair !? Une sacrée initiation ma foi ! éclata de rire Kiara.
Et la demoiselle d’honneur de reprendre, retrouvant son sérieux devant la moue dépité de Rory.
- As tu déjà vu la grotte sacrée ? Le sexe d’une femme ? Voudrais tu que je t’explique deux ou trois choses sur le sujet ?
Rory hocha la tête en signe d’assentiment, tout en se redressant pour marquer son application. La jeune Kiara se tourna franchement vers le Prince et remonta lentement sa robe tout en écartant ses jambes nues. Rory découvrit avec délice le dessin galbé des mollets de Kiara puis ses cuisses blanches et lisses avant d’apercevoir son entrejambe et sa petite plaque de poils noirs. Kiara plaça ses mains de chaque côté de son sexe et regarda le Prince pour mesurer l’effet du spectacle offert.
Rory avait la bouche entrouverte et les yeux rivés sur le sexe de la magnifique demoiselle d’honneur. Kiara fut émue de l’état dans lequel elle plongeait le jeune Prince et décida de lui offrir tout ce qu’elle pouvait. Ses mains se rapprochèrent de sa fente et ses deux index vinrent écarter légèrement ses lèvres. Son majeur vint prendre le relais de l’index de la main droite qui, libérée, vint se poser sur le haut de son sexe.
- Ici c’est le clitoris, le siège du plaisir féminin. C’est ici que tu peux faire perdre la tête à une fille. Tu peux le masser avec tes doigts ou avec ta bouche. Je vais te montrer.
Lentement, Kiara mis sa main droite en mouvement, caressant du bouts des doigts son petit sexe. De légers gémissements ne tardèrent pas à sortir de sa bouche, qu’elle tentait d’étouffer en se mordant la lèvre et en enfouissant son beau visage dans les coussins. Très vite les mouvements s’accélérèrent, ses jambes produisant des soubresauts d’autant plus amples que le plaisir était intense. Le massage de son clitoris s’intensifia rapidement et bien vite il ne suffit plus à la jeune Kiara que la vue du Prince visiblement fasciné et chauffé à blanc par le spectacle excitait au plus haut point. S’exhiber ainsi sans aucune pudeur la surprenait elle-même et non seulement ne la gênait pas mais décuplait son plaisir pour atteindre des sommets encore inconnus pour elle.
Ses caresses, aussi intenses soient elles, ne suffisait plus. Le majeur de sa main gauche pénétra le fourreau ruisselant de la demoiselle d’honneur, bien vite rejoint par un deuxième doigt. Tout deux entamèrent un rapide mouvement de pénétration et les vigoureux va-et-vient arrachèrent des cris rauques à Kiara qu’elle parvenait à peine à modérer. Heureusement, la piste était caillouteuse et le roulement du char fort bruyant. Kiara s’autorisa à se laisser aller, se tordant pour toujours mieux se pénétrer à tel point que c’est quasiment toute sa main qui maintenant élargissait son orifice, entrant et sortant avec une violence presque inquiétante.
V
L’orgasme l’atteint et la projeta au fond de ses coussins, manquant bousculer sa meilleure amie qui dormait toujours. Respirant profondément, elle ouvrit les yeux pour découvrir le Prince le sexe à la main, se masturbant frénétiquement. Kiara lui adressa un sourire pour le rassurer et lui dire qu’elle ne le jugeait pas, qu’elle était même plutôt flattée et heureuse de voir qu’ils étaient en phase. Curieusement, cela eu pour effet de lui couper l’envie car aussitôt, Rory ralentit ses mouvements pour quasiment les arrêter. Il continuait néanmoins à se caresser la queue et Kiara put en admirer les détails, ainsi que la force et la puissance que dégageait le bel engin.
- Bon sang mais que faites vous !? gronda la Princesse qui, se réveillant, découvrait son amie à moitié nue et son frère la bite à la main.
Sa demoiselle d’honneur lui expliqua doucement la situation tandis que son frère se rebraillait prestement. Maëlys hocha la tête en signe de compréhension, sinon d’assentiment. Elle n’eut finalement que leur imprudence à leur reprocher.
- Imaginez si un garde vous avait entendu et avait soulevé la bâche du char, comment auriez vous réagit ?
- Ca dépend s’il est mignon ou pas ! Répondit Kiara dans un grand éclat de rire que tout trois partagèrent aussitôt.