V
L’homme retrouva vite une certaine apathie et c’est la femme qui du se déplacer pour se retrouver face à lui et tenter de lui arracher une réaction après cette expérience pour le moins extraordinaire. Elle ne parvint qu’à décrocher un vague sourire mais nota le mouvement de son bras droit. Elle baissa les yeux pour constater qu’il lui tendait une culotte, une culotte simple, en coton blanc, mais elle ne fut jamais aussi contente d’en voir une ! Elle l’attrapa sans un mot et l’enfila promptement, quoi qu’elle avait fini par se sentir parfaitement à l’aise nue.
Sans perdre de temps, elle examina les deux caleçons blancs des 2 autres hommes. L’un avait pour motif un t-shirt et l’autre un pantalon. Son choix, si c’en était un, se porta sur le t-shirt. Elle se dirigea donc vers le caleçon au motif idoine, qui contenait un homme d’une trentaine d’années bien sonnées mais qui avait su échapper à la mode du dad’s bode et arborait des abdominaux qu’elle eut du mal à quitter des yeux. Elle se rapprocha de l’homme qui lui-même se tenait à proximité du comptoir du magasin, derrière lequel se cachait la jeune vendeuse. Devinant la présence de sa cliente qui s’avançait vers elle – vers l’homme en réalité – elle leva la tête et lui adressa un absurde : vous trouvez votre bonheur ? auquel la femme ne prit même pas la peine de répondre, la vendeuse n’ayant pas attendu la réponse et replongé dans le fil sans fin de ses vidéos tik-tok.
La femme s’approcha frontalement de l’homme et, suivant son instinct, posa sa main sur les abdos de l’homme, le bout de ses doigts suivant les creux dessinés par les muscles. La sensation était délicieuse et elle se prit à considérer cet être humain comme son jouet, comme sa poupée. Sa main glissa vers le bas, repoussant l’élastique du caleçon dont l’amplitude ne permettait pas de deviner quoi que ce soit de son contenu. Aussi, quand la main de la femme arriva jusqu’au sexe de l’homme, pourtant toujours au repos, elle ne put retenir un petit cri de surprise. Jamais elle n’avait tenu un engin de cette taille. De ses deux mains elle baissa le caleçon avec précipitation, curieuse de constater de visu ce que le toucher lui avait fait supposer. Et en effet, la queue qui pendait entre les cuisses musclées de l’homme était non seulement d’une longueur inhabituelle, mais aussi d’un diamètre impressionnant, bien qu’elle soit parfaitement relâchée. La femme en conçu d’ailleurs un peu de surprise et, pourquoi le taire, un peu de vexation…
VI
Comme on ne change pas une équipe qui gagne, elle se faufila dans le dos de l’homme pour s’assurer une meilleure prise de son sexe, d’autant plus qu’il était d’un extraordinaire gabarit. Elle commença à masser langoureusement la queue et ses testicules mais elle dut se rendre rapidement à l’évidence. Il ne se passait rien, l’homme et sa bite ne réagissaient pas et cette dernière gardait désespérément sa position flasque. Il fallait manifestement changer quelque chose dans sa stratégie et elle retourna se placer en face de l’homme pour essayer de lire dans son regard quelques indices. En vain. Elle se concentra alors sur l’engin proprement dit et fut frappée de constater qu’il était parfaitement épilé sur tous le pourtour pubien. Pas simplement rasé avec ses disgracieuses petites tâches noires au milieu des plaques rouges de l’irritation, non. Là, la peau était parfaitement lisse, comme si l’homme était imberbe, ce qui n’était pas le cas puisque son visage arborait une belle barbe de trois jours et que son torse comportait une élégante petite touffe de poils.
Elle se pencha pour essayer de comprendre le phénomène ou la technique dépilatoire et constata, du bout des doigts, que la peau était même très douce autour du sexe de l’homme. Approchant son visage de la queue pour mieux l’observer, elle constata un léger mouvement érectile. Levant les yeux, elle vit que l’homme l’observait avec intensité et bienveillance. Elle se risqua à déposer un baiser sur le sexe massif et vit avec plaisir son effet : la queue entamait une érection vigoureuse et prometteuse. Elle entrouvrit la bouche et tenta d’y faire entrer le gland. Il lui fallut l’ouvrir bien plus pour faire entrer simplement les premiers centimètres du sexe dont l’érection était maintenant presque entière. Elle utilisa ses deux mains pour contrôler le monstre de chair et commença à se contorsionner pour trouver le meilleure angle qui lui permettrait de faire entrer la queue dans sa bouche.
Quand elle fut en bonne position, elle plaça ses deux mains sur les fesses de l’homme et entreprit de le sucer lentement, utilisant sa salive pour faciliter la pénétration et sa langue pour maximiser le plaisir. Malgré la taille du sexe qu’il lui fallait avaler, elle parvenait à garder fluidité et élégance dans le geste, ce que l’homme semblait beaucoup apprécier. Sa respiration devint bruyante et les premiers râles apparurent. La femme profitait des moments où elle devait reprendre son souffle pour jeter un oeil vers le visage de l’homme. Il ne semblait pas encore prêt à partir. Elle décida d’accélérer les choses et envoya sa main en mission exploratoire dans l’entre-jambe de l’homme. Elle malaxa les testicules et constata immédiatement l’effet produit. L’homme se mit à râler bruyamment et quand la femme fit glisser son index vers son anus, attaquant un vigoureux massage prostatique, la réaction fut brutale. L’énorme membre sembla se cambrer dans sa bouche puis elle sentit les flots de sperme envahir sa gorge.
Elle prit soin de tout avaler, en dépit du volume éjaculé, ne voulant pas d’avantage souiller le sol de la boutique. Elle se redressa prestement et tendit directement la main vers l’homme, qui lui remit immédiatement, comme par magie, un simple t-shirt blanc en coton. Elle l’enfila sans tarder et se sentit immédiatement plus à l’aise.
VII
Forte de son assurance retrouvée, la femme se dirigea vers le troisième homme. Son caleçon lui promettait un pantalon. Après ça, elle serait parée pour rentrer chez elle, dusse-t’elle marcher pieds nus dans la rue, le défi lui paraissant désormais bien ridicule. Elle se mis face à lui, glissa sa main dans le caleçon pour caresser sa queue qui, comme elle s’y attendait, ne manifesta aucun enthousiasme. Elle s’accroupit alors, entrainant le sous-vêtement de l’homme vers le bas dans sa descente, et enfourna promptement la bite dans sa bouche. Elle eu beau la sucer, la caresser de sa langue, le sexe de l’homme n’amorça pas la moindre érection. Voilà qui compliquait la tâche… Après la branlette et la pipe, c’était quoi la suite des opérations pour obtenir enfin son pantalon ?!
Les options n’étaient pas nombreuses et la femme se releva, tourna le dos à l’homme et, cambrée, vint frotter ses fesses sur la queue au repos. Elle fut surprise par la rapidité avec laquelle il l’attrapa par les hanches et vint frotter à son tour son sexe, enfin bien plus raide, contre la chatte de la femme. Il la fit pivoter pour qu’elle puisse prendre appui sur le comptoir, son visage à 50 cm de celui de la jeune vendeuse indifférente, et fit descendre sans ménagement sa petite culotte en coton toute neuve. Sa queue était maintenant en pleine érection et sembler chercher le chemin de sa petite chatte pour la démonter. La femme couina de plaisir à cette perspective. Elle allait enfin prendre part à la fête et avoir sa dose de plaisir. Elle cambra encore d’avantage les reins, offrant son cul et son petit trou à la pénétration espérée. Elle sentit des mains sur ses hanches mais aussi sur ses seins et ses cuisses. Les 2 autres hommes s’étaient approchés et semblaient d’accord pour lui offrir ce qu’elle pensait être le bouquet final.
Enfin une queue pénétra, sans effort, dans son sexe et la brula d’un plaisir qui remonta de sa croupe jusqu’à son cerveau. Elle ne pu retenir un cri d’extase qui sembla donner le départ aux deux acolytes adeptes de jeux de main. Ils se firent plus pressant, malaxant ses seins et ses cuisses, pressant ses tétons, glissant 2 doigts dans sa bouche qu’elle suçait avec enthousiasme. L’homme à l’arrière accéléra le mouvement de sa levrette et l’enfila avec puissance, la soulevant presque du sol, l’écrasant contre le comptoir. Le plaisir l’envahit totalement et le jeu à 6 mains la rendait folle. Ces mains qui l’enflammaient se faisaient toujours plus pressantes et son t-shirt commença à céder, de même que sa culotte, les deux vêtements partant en lambeau. Peu lui importait du moment que le paroxysme de l’orgasme était en vue. Et il arriva enfin, parfaitement synchrone avec les violents jets de sperme qui inondaient son sexe et commençaient déjà à couler le long de ses jambes. Elle posa sa tête sur le comptoir, éreintée, jetant un oeil à la vendeuse qui maintenant la dévisageait en rangeant son smartphone dans un tiroir.
VII
En se redressant, elle réalisa qu’elle était à nouveau nue, ses pauvres vêtements si chèrement acquis gisant en pièces à ses pieds. Elle réalisa que tout était à refaire, si toutefois c’était possible, et elle en conçue un grand découragement. Les 3 hommes étaient repartis dans leur errance sans but, les mains vides et n’offrant donc aucune solution. La femme se tourna vers la jeune vendeuse qui s’était levée derrière son comptoir pour en faire le tour et se poster devant elle. Elle se pencha doucement vers son visage et colla ses lèvres à celles de la femme. Elle l’embrassa délicatement, comme pour la consoler mais peut être un peu trop longtemps pour ce ne soit pas par pur plaisir également. Enfin, après quelques acrobaties de la langue qui provoquèrent une poussée de chaleur aux joues de la femme, elle se recula et lui tendit un paquet. Vos vêtements Madame, vous n’alliez pas partir sans eux tout de même !
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