Voici une histoire originale qui mêle mythologie et zoophilie ! Et revisite donc un des mythes les plus connus, celui qui narre le fondation du continent européen. Zeus, roi des Dieux dans la mythologie grecque, tombe éperdument amoureux d’Europe, jeune princesse phénicienne (de l’actuel Liban) et décide de l’enlever. Pour cela il va user d’un stratagème particulièrement incongru puisqu’il va prendre l’apparence d’un magnifique taureau blanc. Pourquoi un taureau, animal imposant qui effrayera à coup sûr la frêle princesse ? Pourquoi ne pas choisir un animal beaucoup plus attirant pour une jeune femme comme un cheval (car il faut l’emmener sur son dos ensuite, rappelons-le !) ?
Nombre de représentations graphiques de l’enlèvement d’Europe par Zeus montre la princesse en petite tenue comme celle ci-dessus, signée de François Boucher en 1747, ou dans des postures lascives. Il n’y a donc aucun doute que le caractère charnel de l’amour que porte Zeus à Europe fait partie du mythe. J’ai donc essayé de lui donner vie ici.
Pourquoi avoir choisi le mythe d’Europe ?
Pourquoi avoir choisi le mythe d’Europe pour une histoire porno zoophile ? Voilà qui est un peu radical d’envisager une relation sexuelle entre une femme et un taureau… Certes. Mais il faut noter que l’union n’est pas totalement consommée dans l’histoire, de façon descriptive j’entends, même si on s’en rapproche dangereusement. Le mythe d’Europe a fait l’objet d’un nombre incalculable d’oeuvre, aussi bien littéraires que cinématographiques, mais surtout picturales avec un grand nombre de tableaux executés par les plus grands tels que Véronèse, Le Titien, Rubens ou même Rembrandt. Selon les artistes, cet enlèvement est tantôt représenté comme violent, contre le gré d’Europe, tantôt comme une fuite à deux accompagnés des amis divins de Zeus.
Dans tous les cas, Europe est représentée très belle (c’est logique puisque Zeus s’en est épris) mais aussi très sexy, souvent partiellement dénudée et dans des positions équivoques, pour ne pas dire franchement érotique. C’est-à-dire que la dimension physique de la relation amoureuse de Zeus et Europe est clairement envisagée par les artistes, et sans doute fantasmée. Nous n’avons finalement que voulu aller au bout d’une histoire multimillénaires et clairement zoophile !
Je n’envisage pas d’écrire d’histoire érotique ou pornographique zoophile sans ce ressort historique ou mythologique, qui donne un sens à cet acte sexuel trans-espèce, voire contre nature. Si vous voyez un mythe ou un compte qui recèle, selon vous, une dimension zoophile (le grand Gotlieb en avait vu une dans le Petit Chaperon Rouge par exemple), alors n’hésitez pas à me le signaler via le formulaire de contact.
En savoir plus sur le mythe d’Europe (Wikipedia).